Pendant l'avent, préparez votre cœur à Sa venue!Exemple
DIEU L’A PROMIS.
Dix ans c’est long, même à l’époque, où l’espérance de vie moyenne était de plus de cent ans. Cela faisait une décennie que Dieu avait dit à Abraham de quitter son pays et de Le suivre vers un pays inconnu, un pays dont ses descendants deviendraient les héritiers. Abraham quitta le pays des chaldéens à 75 ans et maintenant, s’approchant de 85 ans, il était encore sans enfant. Pourquoi une telle attente? Comment Dieu réaliserait-il Sa promesse? Selon ce qu’il voyait pour l’instant, et selon ce que toute personne logique conclurait, Abraham n’aurait pas d’héritier de sa propre chair. Abraham constata les faits et les confia tout simplement à Dieu, sans hésitation ni sans chercher à embellir sa pensée. Il était peut-être à bout, mais il ne sombra pas dans le cynisme ou l’incrédulité.
Tout en éprouvant un combat intérieur de foi, Abraham invitait implicitement Dieu à le contredire et lui assurer qu’il existait encore une fin autre que celle qu’il était en mesure d’entrevoir. Et Dieu répondit à l’invitation.
Abraham dut attendre encore quelques années avant qu’Isaac ne vienne au monde. Mais l’enfant de la promesse apporta avec lui une joie qui combla toutes les années de tristesse que ses parents avaient enduré en attendant sa venue.
Pendant les siècles précédant la venue du Messie, la même persévérance, en l’absence de Celui qui était tant désiré, fut ressenti par des milliers d’enfants d’Abraham. Ces descendants attendaient l’héritier ultime, l’Élu qui apporterait avec lui la délivrance, le salut et l’accomplissement final de la promesse que Dieu avait fait à Abraham au tout début (Gen. 12.1-3).
Dieu accomplit ses promesses, mais pas toujours selon notre entendement et nos échéances. Mais Sa réponse dépasse toujours la souffrance de l’attente. Soyons consolés et fortifiés dans notre attente et nos prières en sachant ceci: «Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui?» (Rom. 8.32).
Dix ans c’est long, même à l’époque, où l’espérance de vie moyenne était de plus de cent ans. Cela faisait une décennie que Dieu avait dit à Abraham de quitter son pays et de Le suivre vers un pays inconnu, un pays dont ses descendants deviendraient les héritiers. Abraham quitta le pays des chaldéens à 75 ans et maintenant, s’approchant de 85 ans, il était encore sans enfant. Pourquoi une telle attente? Comment Dieu réaliserait-il Sa promesse? Selon ce qu’il voyait pour l’instant, et selon ce que toute personne logique conclurait, Abraham n’aurait pas d’héritier de sa propre chair. Abraham constata les faits et les confia tout simplement à Dieu, sans hésitation ni sans chercher à embellir sa pensée. Il était peut-être à bout, mais il ne sombra pas dans le cynisme ou l’incrédulité.
Tout en éprouvant un combat intérieur de foi, Abraham invitait implicitement Dieu à le contredire et lui assurer qu’il existait encore une fin autre que celle qu’il était en mesure d’entrevoir. Et Dieu répondit à l’invitation.
Abraham dut attendre encore quelques années avant qu’Isaac ne vienne au monde. Mais l’enfant de la promesse apporta avec lui une joie qui combla toutes les années de tristesse que ses parents avaient enduré en attendant sa venue.
Pendant les siècles précédant la venue du Messie, la même persévérance, en l’absence de Celui qui était tant désiré, fut ressenti par des milliers d’enfants d’Abraham. Ces descendants attendaient l’héritier ultime, l’Élu qui apporterait avec lui la délivrance, le salut et l’accomplissement final de la promesse que Dieu avait fait à Abraham au tout début (Gen. 12.1-3).
Dieu accomplit ses promesses, mais pas toujours selon notre entendement et nos échéances. Mais Sa réponse dépasse toujours la souffrance de l’attente. Soyons consolés et fortifiés dans notre attente et nos prières en sachant ceci: «Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui?» (Rom. 8.32).
Écritures
À propos de ce plan
L’avent est la période pendant laquelle nous considérons tout ce que Jésus a mis de côté pour venir jusqu’à nous et Lui ouvrons nos cœurs afin qu’Il vienne prendre sa place au centre de nos vies. En mettant ce temps à part pour se remémorer la première venue de Christ, nous renouvelons aussi notre espérance et notre hâte de son retour. Un mystère si grand est assez puissant pour nous toucher encore aujourd’hui, et éveiller dans nos cœurs le désir de connaitre Jésus, le bébé né à Noël qui a tout changé.
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Tous nos remerciements à Focus Famille Canada pour ce Plan. Pour plus d'informations, veuillez visiter le site: www.focusfamille.ca