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2 Corinthiens 1:3-21

2 Corinthiens 1:3-21 BFC

Louons Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père riche en bonté, le Dieu qui accorde le réconfort en toute occasion! Il nous réconforte dans toutes nos détresses, afin que nous puissions réconforter ceux qui passent par toutes sortes de détresses en leur apportant le réconfort que nous avons nous-mêmes reçu de lui. De même en effet que nous avons abondamment part aux souffrances du Christ, de même nous recevons aussi un grand réconfort par le Christ. Si nous sommes en difficulté, c'est pour que vous obteniez le réconfort et le salut; si nous sommes réconfortés, c'est pour que vous receviez le réconfort qui vous fera supporter avec patience les mêmes souffrances que nous subissons. Ainsi, nous avons un ferme espoir à votre sujet; car, nous le savons, comme vous avez part à nos souffrances, vous avez aussi part au réconfort qui nous est accordé. Nous voulons en effet que vous sachiez, frères, par quelles détresses nous avons passé dans la province d'Asie: le poids en a été si lourd pour nous, si insupportable, que nous désespérions de conserver la vie. Nous avions l'impression que la peine de mort avait été décidée contre nous. Cependant, il en fut ainsi pour que nous apprenions à ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais uniquement en Dieu qui ramène les morts à la vie. C'est lui qui nous a délivrés d'une telle mort et qui nous en délivrera encore; oui, nous avons cette espérance en lui qu'il nous délivrera encore, et vous y contribuerez vous-mêmes en priant pour nous. Ainsi, Dieu répondra aux prières faites par beaucoup en notre faveur, il nous accordera ce bienfait et beaucoup le remercieront à notre sujet. Voici en quoi nous pouvons être fiers: comme notre conscience en témoigne, nous nous sommes conduits dans le monde, et particulièrement envers vous, avec la simplicité et la sincérité qui viennent de Dieu, en étant guidés par sa grâce et non par la sagesse humaine. En effet, dans nos lettres nous ne vous écrivons rien d'autre que ce que vous y lisez et comprenez. Et j'espère que vous parviendrez à comprendre parfaitement ceci – que vous comprenez maintenant en partie seulement –: au jour de la venue de Jésus, notre Seigneur, vous pourrez être fiers de nous comme nous le serons de vous. J'avais une telle confiance à cet égard que j'avais d'abord projeté d'aller chez vous afin qu'un double bienfait vous soit accordé. Je voulais, en effet, passer chez vous, puis me rendre en Macédoine et vous revoir à mon retour: vous m'auriez alors aidé à poursuivre mon voyage vers la Judée. En formant ce projet, ai-je donc fait preuve de légèreté? Les plans que j'établis sont-ils inspirés par des motifs purement humains, de sorte que je serais prêt à dire «oui» et «non» en même temps? Dieu m'en est témoin, ce que je vous ai dit n'était pas à la fois «oui» et «non». Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que nous avons annoncé chez vous, Silas, Timothée et moi-même, n'est pas venu pour dire «oui» et «non». Au contraire, en lui il n'y a jamais eu que «oui»: en effet, il est le «oui» qui confirme toutes les promesses de Dieu. C'est donc par Jésus-Christ que nous disons notre «amen» pour rendre gloire à Dieu. Et c'est Dieu lui-même qui nous affermit avec vous dans la vie avec le Christ. Dieu lui-même nous a choisis