2 Corinthiens 1:3-21
2 Corinthiens 1:3-21 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père qui est plein de bonté, le Dieu qui réconforte dans toutes les situations. Il nous réconforte dans toutes nos détresses, afin qu’à notre tour nous soyons capables de réconforter ceux qui passent par toutes sortes de détresses, en leur apportant le réconfort que Dieu nous a apporté. De même, en effet, que les souffrances de Christ surabondent dans notre vie, le réconfort qu’il nous donne surabonde. Si donc nous passons par la détresse, c’est pour votre réconfort et votre salut. Et si nous sommes réconfortés, c’est pour que vous receviez, vous aussi, du réconfort afin de pouvoir supporter les mêmes souffrances que celles que nous endurons. Et nous possédons à votre sujet une ferme espérance. Car nous savons que si vous avez part aux souffrances, vous avez aussi part au réconfort. Il faut, en effet, que vous sachiez, frères et sœurs, quelle détresse nous avons connue dans la province d’Asie. Nous étions écrasés, à bout de forces, au point même que nous désespérions de conserver la vie. Nous avions accepté en nous-mêmes notre condamnation à mort. Cela nous a appris à ne pas mettre notre confiance en nous-mêmes, mais uniquement en Dieu qui ressuscite les morts. C’est lui qui nous a délivrés d’une telle mort et qui nous en délivrera encore. Oui, nous avons cette espérance en lui qu’il nous délivrera encore, et vous y contribuez en priant pour nous. Ainsi, le don de la grâce qu’il nous accorde en réponse aux prières de beaucoup, sera aussi pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet. S’il est une chose dont nous pouvons être fiers, c’est le témoignage de notre conscience ; il nous atteste que nous nous sommes conduits dans le monde, et tout spécialement envers vous, avec la sincérité et la pureté qui viennent de Dieu, en nous fondant, non sur une sagesse purement humaine, mais sur la grâce de Dieu. Car ce que nous vous écrivons dans nos lettres ne veut pas dire autre chose que ce que vous pouvez y lire et y comprendre. Et j’espère que vous le comprendrez pleinement – comme vous l’avez déjà compris en partie : vous pouvez être fiers de nous, comme nous le serons de vous au jour de notre Seigneur Jésus. Persuadé que telle était votre pensée, je m’étais proposé de me rendre chez vous en premier lieu, afin de vous procurer une double joie : je comptais passer par chez vous en allant en Macédoine, puis revenir de Macédoine chez vous. Vous auriez alors pu m’aider à poursuivre mon voyage vers la Judée. En formant ce projet, ai-je fait preuve de légèreté ? Ou bien mes plans seraient-ils inspirés par des motifs purement humains, en sorte que lorsque je dis « oui », cela pourrait être « non » ? Aussi vrai que Dieu est digne de confiance, je vous le garantis : la parole que nous vous avons adressée n’est pas à la fois « oui » et « non ». Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que moi-même comme Silvain et Timothée nous avons proclamé parmi vous, n’a pas été à la fois oui et non. En lui était le oui : car c’est en lui que Dieu a dit « oui » à tout ce qu’il avait promis. Aussi est-ce par lui que nous disons « oui », « amen », pour que la gloire revienne à Dieu. C’est Dieu, en effet, qui nous a fermement unis avec vous à Christ et qui nous a consacrés à lui par son onction.
2 Corinthiens 1:3-21 Bible Segond 21 (S21)
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père plein de compassion et le Dieu de tout réconfort! Il nous réconforte dans toutes nos détresses afin que nous puissions réconforter ceux qui se trouvent dans la détresse, grâce à l’encouragement que nous recevons nous-mêmes de la part de Dieu. En effet, de même que les souffrances de Christ abondent pour nous, de même aussi, c’est par Christ que notre réconfort abonde. Si nous sommes dans la détresse, c'est pour votre réconfort et pour votre salut; si nous sommes encouragés, c'est pour votre encouragement, pour vous permettre de supporter les mêmes souffrances que celles que nous endurons. Et notre espérance à votre sujet est ferme, parce que nous savons que si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi au réconfort. En ce qui concerne la détresse que nous avons connue en Asie, nous ne voulons en effet pas vous laisser ignorer, frères et sœurs, que nous avons été accablés à l'extrême, au-delà de nos forces, au point que nous désespérions même de rester en vie. Nous avions intérieurement accepté notre arrêt de mort afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes mais en Dieu qui ressuscite les morts. C'est lui qui nous a délivrés d'une telle mort et qui nous en délivre encore. Oui, nous avons en lui cette espérance qu'il nous en délivrera encore, et vous y contribuerez vous-mêmes par la prière. Ainsi, la grâce obtenue pour nous par beaucoup de personnes sera pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet. En effet, voici notre sujet de fierté et le témoignage de notre conscience: nous nous sommes conduits dans le monde, et plus particulièrement vis-à-vis de vous, avec la sincérité et la pureté qui viennent de Dieu, non pas avec une sagesse humaine, mais avec la grâce de Dieu. Nous ne vous écrivons rien d'autre que ce que vous lisez et comprenez. Et j'espère que vous comprendrez complètement, puisque vous l’avez déjà compris en partie, que nous sommes votre sujet de fierté, de même que vous serez aussi le nôtre, le jour du Seigneur Jésus. C'est avec cette assurance que je voulais d'abord aller chez vous, afin que vous puissiez avoir une double grâce. Je voulais passer chez vous en me rendant en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, avec l'espoir d’être soutenu par vous pour mon voyage en Judée. En formant ce projet, ai-je donc fait preuve de légèreté? Ou bien mes décisions sont-elles purement humaines, de sorte qu'il y aurait en moi à la fois le «oui» et le «non»? Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n'a pas été «oui» et «non». En effet, le Fils de Dieu, Jésus-Christ, que nous avons prêché au milieu de vous, Silvain, Timothée et moi, n'a pas été «oui» et «non». Au contraire, en lui il n'y a que le «oui». En effet, pour toutes les promesses de Dieu, c’est en lui que se trouve le «oui», et c’est [donc] aussi par lui que nous disons «amen» à Dieu, pour sa gloire. Or, celui qui nous affermit avec vous en Christ et qui nous a consacrés par son onction, c'est Dieu
2 Corinthiens 1:3-21 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque affliction! Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ. Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut; si nous sommes consolés, c’est pour votre consolation, qui se réalise par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous endurons. Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation. Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au-delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie. Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts. C’est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d’une telle mort, lui de qui nous espérons qu’il nous délivrera encore, vous-mêmes aussi nous assistant de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet. Car ce qui fait notre gloire, c’est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec sainteté et pureté devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez, et ce que vous reconnaissez. Et j’espère que vous le reconnaîtrez jusqu’à la fin, comme vous avez déjà reconnu en partie que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. Dans cette persuasion, je voulais aller d’abord vers vous, afin que vous eussiez une double grâce; je voulais passer chez vous pour me rendre en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m’auriez fait accompagner en Judée. Est-ce que, en voulant cela, j’ai donc usé de légèreté? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu’il y ait en moi le oui et le non? Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’a pas été oui et non. Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, et par Silvain, et par Timothée, n’a pas été oui et non, mais c’est oui qui a été en lui; car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c’est en lui qu’est le oui; c’est pourquoi encore l’Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu. Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c’est Dieu
2 Corinthiens 1:3-21 Bible J.N. Darby (JND)
Béni soit le DIEU et Père de notre seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le DIEU de toute consolation, qui nous console à l’égard de toute notre affliction, afin que nous soyons capables de consoler ceux qui sont dans quelque affliction que ce soit, par la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés de DIEU. Car comme les souffrances du Christ abondent à notre égard, ainsi, par le Christ, notre consolation aussi abonde. Et soit que nous soyons affligés, c’est pour votre consolation et votre salut, qui est opéré en ce que vous endurez les mêmes souffrances que nous aussi nous souffrons (et notre espérance à votre égard est ferme) ; soit que nous soyons consolés, c’est pour votre consolation et votre salut ; sachant que, comme vous avez part aux souffrances, de même aussi vous avez part à la consolation. Car nous ne voulons pas, frères, que vous ignoriez, quant à notre affliction qui [nous] est arrivée en Asie, que nous avons été excessivement chargés, au-delà de notre force, de sorte que nous avons désespéré même de vivre. Mais nous-mêmes nous avions en nous-mêmes la sentence de mort, afin que nous n’ayons pas confiance en nous-mêmes, mais en DIEU qui ressuscite les morts, qui nous a délivrés d’une si grande mort, et qui nous délivre ; en qui nous espérons qu’il nous délivrera aussi encore, vous aussi coopérant par vos supplications pour nous, afin que, pour le don de grâce qui nous est [accordé] par le moyen de plusieurs personnes, des actions de grâces soient rendues pour nous par plusieurs. Car notre gloire est celle-ci, [savoir] le témoignage de notre conscience, qu’avec simplicité et sincérité de DIEU, non pas avec une sagesse charnelle, mais par la grâce de DIEU, nous nous sommes conduits dans le monde et plus encore envers vous. Car nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous savez, et que vous reconnaissez, et que vous reconnaîtrez, je l’espère, jusqu’à la fin, comme aussi vous nous avez reconnus en partie, que nous sommes votre sujet de gloire, comme vous êtes aussi le nôtre dans la journée du seigneur Jésus. Et dans cette confiance j’avais voulu aller auprès de vous d’abord, afin que vous ayez une seconde grâce, et par chez vous passer en Macédoine, et de Macédoine de nouveau aller auprès de vous ; et puis que vous me fassiez la conduite vers la Judée. En me proposant donc cela, est-ce que j’aurais usé de légèreté ? Ou les choses que je me propose, me les proposé-je selon la chair, en sorte qu’il y ait en moi le oui, oui, et le non, non ? Mais DIEU est fidèle, que notre parole que nous vous avons adressée, n’est pas oui et non. Car le Fils de DIEU, Jésus Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, [savoir] par moi et par Silvain et par Timothée, n’a pas été oui et non, mais il y a oui en lui ; car autant il y a de promesses de DIEU, en lui est le oui et en lui l’amen, à la gloire de DIEU par nous. Or celui qui nous lie fermement avec vous à Christ et qui nous a oints, c’est DIEU
2 Corinthiens 1:3-21 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Rendons gloire à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ! Il est le Père plein de bonté et le Dieu qui nous encourage toujours. Il nous donne du courage dans toutes nos souffrances. Ainsi, il nous rend capables d’encourager tous ceux qui souffrent, et nous leur donnons le courage que nous-mêmes, nous recevons de Dieu. En effet, comme nous participons aux nombreuses souffrances du Christ, de la même façon, nous recevons beaucoup d’encouragements par le Christ. Si nous souffrons, c’est pour vous encourager et pour que vous soyez sauvés. Si nous sommes encouragés, c’est pour vous encourager à supporter les mêmes souffrances que nous. Nous sommes vraiment pleins de confiance quand nous pensons à vous. En effet, vous participez à nos souffrances, mais nous le savons, vous participez en même temps à l’encouragement que nous recevons. Oui, frères et sœurs chrétiens, nous voulons vous faire connaître ceci : dans la province d’Asie , nous avons supporté de grandes souffrances. Leur poids était très lourd, il a dépassé nos forces, nous avons même cru mourir. Nous étions sûrs d’être condamnés à mort. Ainsi, nous ne pouvions plus mettre notre confiance en nous-mêmes, nous devions mettre notre confiance en Dieu, qui réveille les morts. C’est Dieu qui nous a délivrés de ce danger de mort et il nous délivrera encore. Oui, nous avons confiance en lui, il nous délivrera encore. Vous aussi, vous nous aidez en priant pour nous. Ainsi, nous recevrons de Dieu des bienfaits, grâce aux prières de beaucoup de personnes. C’est pourquoi beaucoup aussi pourront remercier Dieu pour nous. Voici pourquoi nous sommes fiers, et notre conscience en est témoin : nous avons agi simplement et sincèrement avec tout le monde et surtout avec vous. Cela nous venait de Dieu, c’est la bonté de Dieu qui nous guidait, et non la sagesse humaine. En effet, dans nos lettres, nous vous écrivons seulement ce que vous lisez et ce que vous comprenez, et rien d’autre. Il y a une chose que vous avez comprise en partie, mais j’espère que vous la comprendrez totalement. Cette chose, la voici : vous pouvez être fiers de nous, comme nous serons fiers de vous, le jour où le Seigneur Jésus viendra. J’étais sûr de cela, c’est pourquoi je voulais passer d’abord chez vous, pour vous donner de la joie deux fois. De chez vous, je voulais aller en Macédoine, et à mon retour de Macédoine, je voulais revenir chez vous, pour que vous me donniez les moyens d’aller en Judée. Quand j’ai décidé cela, est-ce que j’ai agi sans réfléchir ? Ou bien, quand je prends une décision, est-ce que je fais seulement ma volonté en disant à la fois « oui » et « non » ? Dieu lui-même le sait bien : ce que nous vous disons, ce n’est pas à la fois « oui » et « non ». Silas, Timothée et moi, nous vous avons annoncé le Fils de Dieu, Jésus le Christ. Eh bien, Jésus n’a pas été « oui » et « non », mais il a toujours été « oui ». En effet, Jésus, est le « oui » à tout ce que Dieu a promis. C’est donc aussi par Jésus que nous disons notre « oui » à Dieu pour lui rendre gloire. Et c’est Dieu lui-même qui nous rend forts avec vous, pour le Christ. C’est lui qui nous a mis à part
2 Corinthiens 1:3-21 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que par la consolation dont nous sommes l'objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans l'affliction! Car, de même que les souffrances de Christ abondent en nous, de même notre consolation abonde par Christ. Si nous sommes affligés, c'est pour votre consolation et pour votre salut; si nous sommes consolés, c'est pour votre consolation, qui se réalise par la patience à supporter les mêmes souffrances que nous endurons. Et notre espérance à votre égard est ferme, parce que nous savons que, si vous avez part aux souffrances, vous avez part aussi à la consolation. Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de l'affliction qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au-delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie. Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu qui ressuscite les morts. C'est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d'une telle mort, lui de qui nous espérons qu'il nous délivrera encore; vous nous assistez vous-mêmes de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet. Car ce qui fait notre gloire, c'est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec sainteté et pureté devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu. Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez, et vous-mêmes le reconnaissez. Et j'espère que vous le reconnaîtrez jusqu'à la fin, comme vous avez déjà reconnu en partie que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus. Dans cette persuasion, je voulais aller d'abord vers vous, afin que vous ayez une seconde faveur; je voulais passer chez vous pour me rendre en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m'auriez fait accompagner en Judée. Est-ce que, en voulant cela, j'ai donc usé de légèreté? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu'il y ait en moi le oui et le non? Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n'a pas été oui et non. Car le Fils de Dieu, Jésus-Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, par Silvain, et par Timothée, n'a pas été oui et non, mais en lui, il n'y a que oui; car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c'est en lui qu'est le oui; c'est pourquoi encore l'Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu. Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c'est Dieu
2 Corinthiens 1:3-21 Bible en français courant (BFC)
Louons Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père riche en bonté, le Dieu qui accorde le réconfort en toute occasion! Il nous réconforte dans toutes nos détresses, afin que nous puissions réconforter ceux qui passent par toutes sortes de détresses en leur apportant le réconfort que nous avons nous-mêmes reçu de lui. De même en effet que nous avons abondamment part aux souffrances du Christ, de même nous recevons aussi un grand réconfort par le Christ. Si nous sommes en difficulté, c'est pour que vous obteniez le réconfort et le salut; si nous sommes réconfortés, c'est pour que vous receviez le réconfort qui vous fera supporter avec patience les mêmes souffrances que nous subissons. Ainsi, nous avons un ferme espoir à votre sujet; car, nous le savons, comme vous avez part à nos souffrances, vous avez aussi part au réconfort qui nous est accordé. Nous voulons en effet que vous sachiez, frères, par quelles détresses nous avons passé dans la province d'Asie: le poids en a été si lourd pour nous, si insupportable, que nous désespérions de conserver la vie. Nous avions l'impression que la peine de mort avait été décidée contre nous. Cependant, il en fut ainsi pour que nous apprenions à ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais uniquement en Dieu qui ramène les morts à la vie. C'est lui qui nous a délivrés d'une telle mort et qui nous en délivrera encore; oui, nous avons cette espérance en lui qu'il nous délivrera encore, et vous y contribuerez vous-mêmes en priant pour nous. Ainsi, Dieu répondra aux prières faites par beaucoup en notre faveur, il nous accordera ce bienfait et beaucoup le remercieront à notre sujet. Voici en quoi nous pouvons être fiers: comme notre conscience en témoigne, nous nous sommes conduits dans le monde, et particulièrement envers vous, avec la simplicité et la sincérité qui viennent de Dieu, en étant guidés par sa grâce et non par la sagesse humaine. En effet, dans nos lettres nous ne vous écrivons rien d'autre que ce que vous y lisez et comprenez. Et j'espère que vous parviendrez à comprendre parfaitement ceci – que vous comprenez maintenant en partie seulement –: au jour de la venue de Jésus, notre Seigneur, vous pourrez être fiers de nous comme nous le serons de vous. J'avais une telle confiance à cet égard que j'avais d'abord projeté d'aller chez vous afin qu'un double bienfait vous soit accordé. Je voulais, en effet, passer chez vous, puis me rendre en Macédoine et vous revoir à mon retour: vous m'auriez alors aidé à poursuivre mon voyage vers la Judée. En formant ce projet, ai-je donc fait preuve de légèreté? Les plans que j'établis sont-ils inspirés par des motifs purement humains, de sorte que je serais prêt à dire «oui» et «non» en même temps? Dieu m'en est témoin, ce que je vous ai dit n'était pas à la fois «oui» et «non». Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que nous avons annoncé chez vous, Silas, Timothée et moi-même, n'est pas venu pour dire «oui» et «non». Au contraire, en lui il n'y a jamais eu que «oui»: en effet, il est le «oui» qui confirme toutes les promesses de Dieu. C'est donc par Jésus-Christ que nous disons notre «amen» pour rendre gloire à Dieu. Et c'est Dieu lui-même qui nous affermit avec vous dans la vie avec le Christ. Dieu lui-même nous a choisis