Entrez dans l'extraordinaire divin ! Avec Éric CélérierSample

Dieu m’aime, un point c’est tout !

Quand votre corps vous lâche, tout devient compliqué ! En 1999, on venait de m’annoncer que je souffrais d’une maladie auto-immune assez rare, qui allait évoluer avec les années et par un malencontreux concours de circonstances, un vaccin avait contribué à dérégler davantage mon système immunitaire défaillant. Il m’arrivait parfois de me mettre subitement en colère, sans aucune raison apparente. Je faisais souffrir toute ma famille, ainsi que mon équipe. J’avais l’impression de vivre une double vie: d’un côté je me comportais en pasteur modèle, et de l’autre, j’étais un époux, un père et un patron irascible.

Quelque chose n’allait pas chez moi, quelque chose dans la chimie de mon corps mais également dans la chimie de mon âme. Je ne l’ai réalisé que des années plus tard: en fait, j’avais besoin de guérison intérieure, car "les gens blessés blessent les gens". J’ai blessé beaucoup de gens au cours de ma vie, notamment pendant mes premières années de fonction. Je me suis repenti et j’ai demandé pardon à ceux que j’avais offensés.

Après avoir passé trois jours dans la prière avec un frère, pour rechercher les raisons profondes de mes actions et réactions, nous avons découvert que plusieurs événements majeurs ayant eu lieu dans mon enfance, y compris lors de ma conception, m’avaient déterminé à prouver aux autres, à mes parents, et même à Dieu que j’étais le meilleur ! J’ai pu déposer ces comportements déviants au pied de la croix. Jésus m’en a libéré. À partir de ce moment, ma relation avec Dieu a changé radicalement. Ce nouveau départ a été extraordinaire.

Qu’en est-il de vous ? Y a-t-il dans votre passé une blessure que Dieu devrait guérir ? Ouvrez-lui le plus profond de votre être. Laissez-le vous montrer comment il vous voit. Vous serez surpris de constater que le regard qu’il porte sur vous est bien différent du regard que vous portez sur vous-même.

Dieu vous aime, un point c’est tout !

Je remercie Dieu pour vous,

Eric Célérier