Vous êtes aimé

Dieu n’avait pas besoin de la création. Il est éternel et autosuffisant. Le Créateur a placé l’homme dans la création pour qu’il soit en communion avec Lui.

Dieu a béni Adam et Eve, leur a donné une bonne nourriture, un beau jardin, agréable à voir et bon à manger. (Gen 2.8)

Dieu plaça au milieu du jardin la plus grande preuve d’amour: la liberté, le libre arbitre, la possibilité de s’éloigner du Créateur en mangeant le fruit de la connaissance du bien et du mal. Cet arbre, Adam ne l’a pas découvert en faisant des recherches ou par hasard. Non, cet arbre défendu était au milieu du jardin. De la même façon, la liberté est au centre de l’amour de Dieu. Avant même de planter cet arbre, Dieu avait déjà prévu la solution à la désobéissance d’Adam. Jésus est l’agneau immolé dès avant la fondation du monde. Cela nous montre l’immensité de l’amour de Dieu pour nous. Son amour inconditionnel ne recule pas devant la souffrance et le sacrifice.

Adam a été formé à partir de la poussière, mais il est le sujet de l’amour de Dieu, car il a été créé à son image. Si Adam est un individu unique, il représente aussi l’humanité, car il est notre ancêtre. Notre corps retourne à la poussière après la mort, mais nous ne sommes pas qu’un corps, nous ne sommes pas que poussière. Nous sommes aussi des âmes vivantes, des esprits immortels (seul Dieu est éternel, c’est-à-dire qu’Il n’a ni commencement ni fin).

Le souffle de vie du Saint-Esprit a animé Adam et lui a donné la vie. Nous sommes faits pour respirer la présence de Dieu. C’est pourquoi la prière et l’adoration sont essentielles à notre santé spirituelle.

Comment va votre respiration spirituelle ? Êtes-vous en apnée ? Êtes-vous sur le point d’étouffer en respirant un air pollué ?

Si vous ne vous sentez pas digne de vous approcher de Dieu, souvenez-vous qu’Il se souvient que vous n’êtes que poussière, mais qu’Il vous aime. Vous êtes précieux pour Lui. Laissez-vous aimer par votre Créateur et votre Papa céleste. Venez dans le secret de sa présence pour respirer son amour.

Que Dieu vous bénisse,

David Théry
PS : J’ai un cadeau pour vous à la fin de ce plan de lecture.