DITES OUI À DIEUExemple

PRENEZ DES PHOTOS DE VOTRE FUTUR

Bonjour mon ami(e),

Vous est-il déjà arrivé de rester coincé(e) un certain temps dans un sas de banque ? Lorsque cela arrive, il nous faut premièrement fermer la porte qui est derrière nous, si l’on veut pouvoir entrer dans ce que l’on aperçoit devant nous ! Pareillement, c’est ainsi que, parfois, nous devrions fonctionner avec notre passé et notre futur.

Mon ami(e), dire OUI à Dieu, c’est :

• Dire non à l’ennemi.
• Accueillir le futur et le nouveau que Dieu a pour vous.
• Accepter que vous ne pouvez plus changer votre passé.

Satan ne peut pas changer votre passé. Ses attaques viennent révéler ce qui lui fait le plus peur dans votre futur. En revanche, votre Père céleste peut et veut transformer votre passé et en faire un fondement pour votre présent ! Alors, empêchez l’ennemi de vous faire vivre à nouveau les mêmes difficultés.

Il y a quelques semaines de cela, j’ai demandé à Dieu pourquoi le diable m’attaquait tout le temps sur mon passé. Dieu m’a alors répondu : "Si le diable n’a rien à te reprocher, c’est qu’il manque de matière ! Il est à bout. Rappelle-toi qu’il ne crée rien, qu’il ne peut que voler et déformer." 

Alors, dès que l’ennemi de votre âme vous remémore encore et toujours les mêmes vieilles photographies des échecs du passé, c’est qu’il est à court d’idées. Il ne cherche qu’à vous paralyser émotionnellement et spirituellement. Il est vital que vous embrassiez le futur que Dieu a pour vous.  

Mon ami(e), "Ne vous souvenez plus des événements passés, et ne considérez plus les choses d'autrefois ! Voici que Je vais faire une nouvelle chose merveilleuse ; elle est près d'éclore ; ne la reconnaîtrez-vous pas ? Je mettrai un chemin dans le désert, des fleuves dans la terre aride." (D’après Ésaïe 43.18-19.) 

Décidez de vous concentrer sur le "demain" que Dieu a pour vous, afin de vous éloigner du "hier" que le diable ramène continuellement dans vos pensées. Regardez attentivement la photographie du futur que Dieu dessine par Son amour pour vous. 

Merci d'exister,

Bruno Picard