Romains 8:3-38
Romains 8:3-38 Bible J.N. Darby (JND)
car ce qui était impossible à la loi, en ce qu’elle était faible par la chair, DIEU, ayant envoyé son propre Fils en ressemblance de chair de péché, et pour [le] péché, a condamné le péché dans la chair, afin que la juste exigence de la loi soit accomplie en nous, qui ne marchons pas selon [la] chair, mais selon [l’]Esprit. Car ceux qui sont selon [la] chair ont leurs pensées aux choses de la chair ; mais ceux qui sont selon [l’]Esprit, aux choses de l’Esprit ; car la pensée de la chair est [la] mort ; mais la pensée de l’Esprit, vie et paix ; – parce que la pensée de la chair est inimitié contre DIEU, car elle ne se soumet pas à la loi de DIEU, car aussi elle ne le peut pas. Et ceux qui sont dans la chair ne peuvent plaire à DIEU. Or vous n’êtes pas dans [la] chair, mais dans [l’]Esprit, si du moins [l’]Esprit de DIEU habite en vous ; mais si quelqu’un n’a pas [l’]Esprit de Christ, celui-là n’est pas de lui. Mais si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie à cause de [la] justice. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité le Christ d’entre les morts vivifiera vos corps mortels aussi, à cause de son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères, nous sommes débiteurs, non pas à la chair pour vivre selon [la] chair ; car si vous vivez selon [la] chair, vous mourrez ; mais si par [l’]Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez. Car tous ceux qui sont conduits par [l’]Esprit de DIEU, ceux-là sont fils de DIEU. Car vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour être de nouveau dans la crainte, mais vous avez reçu [l’]Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba, Père ! L’Esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit, que nous sommes enfants de DIEU ; et si [nous sommes] enfants, [nous sommes] aussi héritiers ; héritiers de DIEU, cohéritiers de Christ ; si du moins nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui. Car j’estime que les souffrances du temps présent ne sont pas dignes [d’être comparées] avec la gloire à venir qui doit nous être révélée. Car la vive attente de la création attend la révélation des fils de DIEU. Car la création a été assujettie à la vanité (non de sa volonté, mais à cause de celui qui l’a assujettie), dans l’espérance que la création elle-même aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour [jouir de] la liberté de la gloire des enfants de DIEU. Car nous savons que toute la création ensemble soupire et est en travail jusqu’à maintenant ; et non seulement [elle], mais nous-mêmes aussi qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi, nous soupirons en nous-mêmes, attendant l’adoption, la délivrance de notre corps. Car nous avons été sauvés en espérance : or une espérance qu’on voit n’est pas une espérance ; car ce que quelqu’un voit, pourquoi aussi l’espère-t-il ? Mais si ce que nous ne voyons pas, nous l’espérons, nous l’attendons avec patience. De même aussi l’Esprit nous est en aide dans notre infirmité ; car nous ne savons pas ce qu’il faut demander comme il convient ; mais l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables ; – et celui qui sonde les cœurs sait quelle est la pensée de l’Esprit, car il intercède pour les saints, selon DIEU ; – mais nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment DIEU, de ceux qui sont appelés selon [son] propos. Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, pour qu’il soit premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à ces choses ? Si DIEU est pour nous, qui sera contre nous ? Celui même qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ? Qui intentera accusation contre des élus de DIEU ? – C’est DIEU qui justifie ; qui est celui qui condamne ? – C’est Christ qui est mort, mais plutôt qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de DIEU, qui aussi intercède pour nous ; qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ ? Tribulation, ou détresse, ou persécution, ou famine, ou nudité, ou péril, ou épée ? Selon qu’il est écrit : « Pour l’amour de toi, nous sommes mis à mort tout le jour ; nous avons été estimés comme des brebis de tuerie ». Au contraire, dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni principautés, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances
Romains 8:3-39 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
La loi de Moïse ne pouvait pas faire cela, parce que la faiblesse des êtres humains l’a empêchée d’agir. Mais Dieu a pu le faire : il a envoyé son Fils dans un corps semblable à celui des pécheurs pour les libérer du péché. Par là, Dieu a condamné le péché qui agit dans les êtres humains. Il a agi ainsi pour que nous soyons capables de vivre comme la loi le demande. Ainsi, ce n’est plus une façon de voir humaine qui nous dirige, c’est l’Esprit Saint. En effet, ceux qui suivent leur façon de voir obéissent à leurs désirs humains, mais ceux qui suivent l’Esprit Saint obéissent à ce que l’Esprit désire. Quand quelqu’un suit ses désirs humains, il va vers la mort, quand quelqu’un suit l’Esprit Saint, il va vers la vie et vers la paix. Oui, les désirs humains sont ennemis de Dieu, ils n’obéissent pas à la loi de Dieu. Pour eux, c’est même impossible. Et ceux qui suivent ces désirs ne peuvent pas plaire à Dieu. Or, vous, vous ne suivez plus ces désirs, vous suivez l’Esprit de Dieu parce qu’il habite en vous. Si quelqu’un n’a pas l’Esprit du Christ, il n’appartient pas au Christ. Mais le Christ est en vous. Bien sûr, votre corps va mourir à cause du péché. Mais, puisque vous avez été rendus justes, l’Esprit Saint vous donne la vie. Dieu a réveillé Jésus de la mort. Si l’Esprit de Dieu habite en vous, ce Dieu qui a réveillé le Christ de la mort donnera la vie par son Esprit à vos corps qui doivent mourir. C’est pourquoi, frères et sœurs, nous avons une dette. Ce n’est pas envers nos désirs humains que nous avons une dette : nous ne devons pas vivre comme ils le demandent. Si vous vivez en suivant ces désirs, vous mourrez. Au contraire, si, avec l’aide de l’Esprit Saint, vous faites disparaître vos façons de faire égoïstes, vous vivrez. En effet, tous ceux que l’Esprit de Dieu conduit sont enfants de Dieu. Et l’Esprit que vous avez reçu ne fait pas de vous des esclaves qui ont encore peur, mais il fait de vous des enfants de Dieu. Et par cet Esprit, nous crions vers Dieu en lui disant : « Abba ! Père ! » L’Esprit Saint lui-même nous donne ce témoignage : nous sommes enfants de Dieu. Alors, si nous sommes enfants de Dieu, nous recevrons en partage les biens promis par Dieu à son peuple, et ces biens, nous les recevrons avec le Christ. Oui, si nous participons à ses souffrances, nous participerons aussi à sa gloire. Comparons les souffrances d’aujourd’hui avec la gloire que Dieu nous montrera clairement plus tard. À mon avis, elles sont peu de chose. Oui, le monde créé par Dieu attend avec impatience le moment où Dieu montrera la gloire de ses enfants. Ce monde est tombé sous le pouvoir de forces qui n’ont aucune valeur. Ce n’est pas lui qui a voulu cela, mais c’est Dieu qui l’a mis sous ce pouvoir . Pourtant, il y a encore de l’espoir pour ce monde. Lui aussi, il sera libéré des forces qui le détruisent et qui le rendent esclave. Alors il participera à la liberté et à la gloire des enfants de Dieu. Nous le savons, tout le monde créé gémit et souffre encore maintenant, comme une femme qui accouche, mais il n’est pas le seul. Nous aussi, nous gémissons dans notre cœur en attendant d’être vraiment enfants de Dieu et de devenir complètement libres. Pourtant, nous avons déjà reçu l’Esprit Saint, comme première part des dons que Dieu a promis. En effet, nous sommes sauvés, mais en espérance seulement. Quand on voit ce qu’on espère, on n’appelle plus cela espérer. Les choses qu’on voit, est-ce qu’on peut encore les espérer ? Espérer ce que nous ne voyons pas, c’est l’attendre avec beaucoup de patience. De plus, l’Esprit Saint aussi vient nous aider, nous qui sommes faibles. Nous ne savons pas prier comme il faut. Alors l’Esprit Saint lui-même prie pour nous, avec des gémissements que la bouche ne peut pas redire. Mais Dieu voit le fond des cœurs, il sait ce que l’Esprit veut demander. Oui, l’Esprit Saint prie comme Dieu le veut pour ceux qui lui appartiennent. Nous savons encore une chose : Dieu fait tout pour le bien de ceux qui ont de l’amour pour lui. Ceux-là, il les a appelés selon son projet. En effet, ceux que Dieu a choisis d’avance, il a aussi décidé d’avance de les faire ressembler à son Fils. Ainsi, son Fils sera l’aîné d’une grande famille. Ceux que Dieu a choisis d’avance, il les a aussi appelés. Ceux qu’il a appelés, il les a aussi rendus justes, et ceux qu’il a rendus justes, il leur a aussi donné sa gloire. Que dire de plus ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Même à son Fils, Dieu n’a pas évité la souffrance, mais il l’a livré pour nous tous. Alors, avec son Fils, il va tout nous donner gratuitement. Qui peut accuser ceux que Dieu a choisis ? Personne ! En effet, Dieu les rend justes. Qui peut les condamner ? Personne ! En effet, le Christ Jésus est mort, de plus, il s’est réveillé de la mort : il est à la droite de Dieu et il prie pour nous. Qui peut nous séparer de l’amour du Christ ? Est-ce que c’est le malheur ? ou l’inquiétude ? la souffrance venant des autres ? ou bien la faim, la pauvreté ? les dangers ou la mort ? Les Livres Saints disent : « À cause de toi, nous risquons sans arrêt la mort. On nous traite comme des moutons de boucherie. » Mais dans tout ce qui nous arrive, nous sommes les grands vainqueurs par celui qui nous a aimés. Oui, j’en suis sûr, rien ne pourra nous séparer de l’amour que Dieu nous a montré dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les esprits, ni le présent, ni l’avenir, ni tous ceux qui ont un pouvoir, ni les forces d’en haut, ni les forces d’en bas, ni toutes les choses créées, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu !
Romains 8:3-38 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Car chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi soit accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'Esprit. Ceux, en effet, qui vivent selon la chair s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'Esprit s'affectionnent aux choses de l'Esprit. Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'Esprit, c'est la vie et la paix; car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. Or, ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu. Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'Esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'Esprit est vie à cause de la justice. Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. Si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez. Car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père! L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui. J'estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. Et ce n'est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps. Car c'est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l'espérance qu'on voit n'est plus espérance: ce qu'on voit, peut-on l'espérer encore? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance. De même aussi l'Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu'il convient de demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; et celui qui sonde les cœurs connaît la pensée de l'Esprit, parce que c'est selon Dieu qu'il intercède en faveur des saints. Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils soit le premier-né de beaucoup de frères. Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? Lui qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui? Qui accusera les élus de Dieu? C'est Dieu qui justifie! Qui les condamnera? Christ est mort; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous! Qui nous séparera de l'amour de Christ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée? selon qu'il est écrit:C'est à cause de toi qu'on nous met à mort tout le jour,Qu'on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir
Romains 8:3-38 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Car ce que la Loi était incapable de faire, parce que l’état de l’homme la rendait impuissante, Dieu l’a fait : il a envoyé son propre Fils avec une nature semblable à celle des hommes pécheurs et, pour régler le problème du péché, il a exécuté sur cet homme la sanction qu’encourt le péché. Il l’a fait pour que la juste exigence de la Loi soit pleinement satisfaite en ce qui nous concerne, nous qui vivons, non plus à la manière de l’homme livré à lui-même, mais dans la dépendance de l’Esprit. En effet, les hommes livrés à eux-mêmes tendent vers ce qui est conforme à l’homme livré à lui-même. Mais ceux qui ont l’Esprit tendent vers ce qui est conforme à l’Esprit. Car ce à quoi tend l’homme livré à lui-même mène à la mort, tandis que ce à quoi tend l’Esprit conduit à la vie et à la paix. En effet, l’homme livré à lui-même, dans toutes ses tendances, n’est que haine de Dieu : il ne se soumet pas à la Loi de Dieu car il ne le peut même pas. Les hommes livrés à eux-mêmes sont incapables de plaire à Dieu. Vous, au contraire, vous n’êtes pas livrés à vous-mêmes, mais vous dépendez de l’Esprit, puisque l’Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. Or, si Christ est en vous, votre corps reste mortel à cause du péché, mais l’Esprit est source de vie, parce que vous avez été déclarés justes. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus habite en vous, celui qui a ressuscité Christ rendra aussi la vie à votre corps mortel par son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères et sœurs, si nous avons une obligation, ce n’est pas celle de vivre à la manière de l’homme livré à lui-même. Car, si vous vivez à la manière de l’homme livré à lui-même, vous mourrez, mais si, par l’Esprit, vous faites mourir les actes mauvais que vous accomplissez dans votre corps, vous vivrez. Car ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. En effet, vous n’avez pas reçu un Esprit qui fait de vous des esclaves et vous ramène à la crainte : non, vous avez reçu l’Esprit en conséquence de votre adoption par Dieu comme ses fils et ses filles. Car c’est par cet Esprit que nous crions : Abba , c’est-à-dire Père ! L’Esprit Saint lui-même témoigne à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Et puisque nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et donc cohéritiers de Christ, puisque nous souffrons avec lui pour avoir part à sa gloire. J’estime d’ailleurs qu’il n’y a aucune commune mesure entre les souffrances de la vie présente et la gloire qui va se révéler en nous. En effet, la création attend, avec un ardent désir, la révélation des fils de Dieu. Car la création tout entière a été réduite à une condition bien dérisoire ; cela ne s’est pas produit de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise. Il lui a toutefois donné une espérance : c’est que la création elle-même sera délivrée de l’esclavage, de la corruption pour accéder à la liberté que les enfants de Dieu connaîtront dans la gloire. Nous le savons bien, en effet : jusqu’à présent la création tout entière est unie dans un profond gémissement et dans les douleurs d’un enfantement. Elle n’est pas seule à gémir ; car nous aussi, qui avons reçu l’Esprit comme avant-goût de la gloire, nous gémissons du fond du cœur, en attendant d’être pleinement établis dans notre condition de fils adoptifs de Dieu quand notre corps sera délivré. Car nous sommes sauvés, mais c’est en espérance ; or, voir ce que l’on espère, ce n’est plus espérer ; qui, en effet, continue à espérer ce qu’il voit ? Mais si nous ne voyons pas ce que nous espérons, nous l’attendons avec persévérance. De même, l’Esprit vient nous aider dans notre faiblesse. En effet, nous ne savons pas prier comme il faut, mais l’Esprit lui-même intercède en gémissant d’une manière inexprimable. Et Dieu qui scrute les cœurs sait ce vers quoi tend l’Esprit, car c’est en accord avec Dieu qu’il intercède pour les membres du peuple saint. Nous savons en outre que Dieu fait concourir toutes choses au bien de ceux qui l’aiment, de ceux qui ont été appelés conformément au plan divin. En effet, ceux que Dieu a connus d’avance, il les a aussi destinés d’avance à devenir conformes à l’image de son Fils, afin que celui-ci soit l’aîné de nombreux frères et sœurs. Ceux qu’il a ainsi destinés, il les a aussi appelés à lui ; ceux qu’il a ainsi appelés, il les a aussi déclarés justes, et ceux qu’il a déclarés justes, il leur a aussi donné sa gloire. Que dire de plus ? Si Dieu est pour nous, qui se lèvera contre nous ? Lui qui n’a même pas épargné son propre Fils, mais l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnerait-il pas aussi tout avec lui ? Qui accusera encore les élus de Dieu ? Dieu lui-même les déclare justes. Qui les condamnera ? Christ est mort, bien plus : il est ressuscité ! Il est à la droite de Dieu et il intercède pour nous. Qu’est-ce qui pourra nous arracher à l’amour de Christ ? La détresse ou l’angoisse, la persécution, la faim, la misère, le danger ou l’épée ? Car il nous arrive ce que dit l’Ecriture : A cause de toi, ╵ nous sommes exposés à la mort ╵ à longueur de jour. On nous considère ╵ comme des moutons ╵ destinés à l’abattoir . Mais dans tout cela nous sommes bien plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Oui, j’en ai l’absolue certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni le présent ni l’avenir, ni les puissances
Romains 8:3-38 Bible Segond 21 (S21)
car ce qui était impossible à la loi parce que la nature humaine la rendait impuissante, Dieu l'a fait: il a condamné le péché dans la nature humaine en envoyant à cause du péché son propre Fils dans une nature semblable à celle de l'homme pécheur. Ainsi, la justice réclamée par la loi est accomplie en nous qui vivons non conformément à notre nature propre mais conformément à l'Esprit. En effet, ceux qui se conforment à leur nature propre se préoccupent des réalités de la nature humaine, tandis que ceux qui se conforment à l'Esprit sont préoccupés par ce qui est de l'Esprit. De fait, la nature humaine tend vers la mort, tandis que l'Esprit tend vers la vie et la paix. En effet, la nature humaine tend à la révolte contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu et qu'elle n’en est même pas capable. Or, ceux qui sont animés par leur nature propre ne peuvent pas plaire à Dieu. Quant à vous, vous n’êtes pas animés par votre nature propre mais par l'Esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. Et si Christ est en vous, votre corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais votre esprit est vie à cause de la justice. Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus habite en vous, celui qui a ressuscité Christ rendra aussi la vie à votre corps mortel par son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères et sœurs, nous avons une dette, mais pas envers notre nature propre pour nous conformer à ses exigences. Si vous vivez en vous conformant à votre nature propre, vous allez mourir, mais si par l'Esprit vous faites mourir les manières d’agir du corps, vous vivrez. En effet, tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez pas reçu un esprit d'esclavage pour être encore dans la crainte, mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: «Abba! Père!» L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui afin de prendre aussi part à sa gloire. J'estime que les souffrances du moment présent ne sont pas dignes d’être comparées à la gloire qui va être révélée pour nous. De fait, la création attend avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. En effet, la création a été soumise à l’inconsistance, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise. Toutefois, elle a l'espérance d'être elle aussi libérée de l'esclavage de la corruption pour prendre part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu. Or nous savons que, jusqu'à maintenant, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'accouchement. Et ce n'est pas elle seule qui soupire, mais nous aussi, qui avons pourtant dans l’Esprit un avant-goût de cet avenir, nous soupirons en nous-mêmes en attendant l'adoption, la libération de notre corps. En effet, c'est en espérance que nous avons été sauvés. Or l'espérance qu'on voit n'est plus de l'espérance: ce que l'on voit, peut-on l'espérer encore? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance. De même l'Esprit aussi nous vient en aide dans notre faiblesse. En effet, nous ne savons pas ce qu'il convient de demander dans nos prières, mais l'Esprit lui-même intercède [pour nous] par des soupirs que les mots ne peuvent exprimer. Et Dieu qui examine les cœurs sait quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est en accord avec lui qu'il intercède en faveur des saints. Du reste, nous savons que tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés conformément à son plan. En effet, ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à devenir conformes à l'image de son Fils, afin que celui-ci soit le premier-né d’un grand nombre de frères. Ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés; ceux qu'il a appelés, il les a aussi déclarés justes; et ceux qu'il a déclarés justes, il leur a aussi accordé la gloire. Que dirons-nous donc de plus? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? Lui qui n'a pas épargné son propre Fils mais l'a donné pour nous tous, comment ne nous accorderait-il pas aussi tout avec lui? Qui accusera ceux que Dieu a choisis? C'est Dieu qui les déclare justes! Qui les condamnera? [Jésus-]Christ est mort, bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il intercède pour nous! Qui nous séparera de l'amour de Christ? Serait-ce la détresse, l'angoisse, la persécution, la faim, le dénuement, le danger ou l'épée? De fait, il est écrit: C'est à cause de toi qu'on nous met à mort à longueur de journée, qu'on nous considère comme des brebis destinées à la boucherie. Au contraire, dans tout cela nous sommes plus que vainqueurs grâce à celui qui nous a aimés. En effet, j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni le présent ni l'avenir, ni les puissances
Romains 8:3-38 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Car chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l’esprit. Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s’affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l’esprit s’affectionnent aux choses de l’esprit. Et l’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’esprit, c’est la vie et la paix; car l’affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu. Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. Si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l’Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions: Abba! Père! L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers: héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui. J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité, non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise, avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement. Et ce n’est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l’espérance qu’on voit n’est plus espérance: ce qu’on voit, peut-on l’espérer encore? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance. De même aussi l’Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu’il nous convient de demander dans nos prières. Mais l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; et celui qui sonde les cœurs connaît quelle est la pensée de l’Esprit, parce que c’est selon Dieu qu’il intercède en faveur des saints. Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à l’égard de ces choses? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous? Lui, qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui? Qui accusera les élus de Dieu? C’est Dieu qui justifie! Qui les condamnera? Christ est mort; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous! Qui nous séparera de l’amour de Christ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée? selon qu’il est écrit: C’est à cause de toi qu’on nous met à mort tout le jour, Qu’on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir
Romains 8:3-38 Bible en français courant (BFC)
Dieu a accompli ce qui était impossible pour la loi de Moïse, parce que la faiblesse humaine la rendait impuissante: pour enlever le péché, il l'a condamné dans la nature humaine en envoyant son propre Fils vivre dans une condition semblable à celle de l'homme pécheur. Dieu a accompli cela pour que les exigences de la loi soient réalisées en nous qui vivons non plus selon notre propre nature, mais selon l'Esprit Saint. En effet, ceux qui vivent selon leur propre nature se préoccupent de ses désirs; mais ceux qui vivent selon l'Esprit Saint se préoccupent des désirs de l'Esprit. Se préoccuper des désirs de sa propre nature mène à la mort; mais se préoccuper des désirs de l'Esprit Saint mène à la vie et à la paix. Ceux qui sont dominés par les préoccupations de leur propre nature sont ennemis de Dieu; ils ne se soumettent pas à la loi de Dieu, ils ne le peuvent même pas. Ceux qui dépendent de leur propre nature ne peuvent pas plaire à Dieu. Mais vous, vous ne vivez pas selon votre propre nature; vous vivez selon l'Esprit Saint, puisque l'Esprit de Dieu habite en vous. Celui qui n'a pas l'Esprit du Christ ne lui appartient pas. Si le Christ est en vous, votre corps reste tout de même destiné à la mort à cause du péché, mais l'Esprit est vie en vous parce que vous avez été rendus justes devant Dieu. Si l'Esprit de celui qui a ramené Jésus d'entre les morts habite en vous, alors Dieu qui a ramené le Christ d'entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères, nous avons des obligations, mais non envers notre propre nature pour vivre selon ses désirs. Car si vous vivez selon votre propre nature, vous allez mourir. Mais si, par l'Esprit Saint, vous faites mourir le comportement de votre être égoïste, vous vivrez. Tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont enfants de Dieu. Car l'Esprit que vous avez reçu n'est pas un esprit qui vous rende esclaves et vous remplisse encore de peur; mais c'est l'Esprit Saint qui fait de vous des enfants de Dieu et qui nous permet de crier à Dieu: «Abba, ô mon Père!» L'Esprit de Dieu atteste lui-même à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Nous sommes ses enfants, donc nous aurons aussi part aux biens que Dieu a promis à son peuple, nous y aurons part avec le Christ; car si nous souffrons avec lui, nous serons aussi avec lui dans sa gloire. J'estime que nos souffrances du temps présent ne sont pas comparables à la gloire que Dieu nous révélera. La création entière attend avec impatience le moment où Dieu révélera ses enfants. Car la création est tombée sous le pouvoir de forces qui ne mènent à rien, non parce qu'elle l'a voulu elle-même, mais parce que Dieu l'y a mise. Il y a toutefois une espérance: c'est que la création elle-même sera libérée un jour du pouvoir destructeur qui la tient en esclavage et qu'elle aura part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu. Nous savons, en effet, que maintenant encore la création entière gémit et souffre comme une femme qui accouche. Mais pas seulement la création: nous qui avons déjà l'Esprit Saint comme première part des dons de Dieu, nous gémissons aussi intérieurement en attendant que Dieu fasse de nous ses enfants et nous accorde une délivrance totale. Car nous avons été sauvés, mais en espérance seulement. Si l'on voit ce que l'on espère, ce n'est plus de l'espérance: qui donc espérerait encore ce qu'il voit? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec patience. De même, l'Esprit Saint aussi nous vient en aide, parce que nous sommes faibles. En effet, nous ne savons pas prier comme il faut; mais l'Esprit lui-même prie Dieu en notre faveur avec des supplications qu'aucune parole ne peut exprimer. Et Dieu qui voit dans les cœurs comprend ce que l'Esprit Saint veut demander, car l'Esprit prie en faveur des croyants, comme Dieu le désire. Nous savons que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qu'il a appelés selon son plan. Car Dieu les a choisis d'avance; il a aussi décidé d'avance de les rendre semblables à son Fils, afin que celui-ci soit l'aîné d'un grand nombre de frères. Ceux pour qui Dieu a pris d'avance cette décision, il les a aussi appelés; ceux qu'il a appelés, il les a aussi rendus justes devant lui, ceux qu'il a rendus justes, il leur a aussi donné part à sa gloire. Que dirons-nous de plus? Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous? Il n'a pas épargné son propre Fils, mais il l'a livré pour nous tous: comment ne nous donnerait-il pas tout avec son Fils? Qui accusera ceux que Dieu a choisis? Personne, car c'est Dieu qui les déclare non coupables. Qui peut alors les condamner? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur. Qui peut nous séparer de l'amour du Christ? La détresse le peut-elle ou bien l'angoisse, ou encore la persécution, la faim, les privations, le danger, la mort? Comme le déclare l'Écriture: «A cause de toi, nous sommes exposés à la mort tout le long du jour, on nous traite comme des moutons qu'on mène à la boucherie.» Mais en tout cela nous remportons la plus complète victoire par celui qui nous a aimés. Oui, j'ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour: ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d'autres autorités ou puissances célestes, ni le présent, ni l'avenir