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Romains 8:3-38

Romains 8:3-38 JND

car ce qui était impossible à la loi, en ce qu’elle était faible par la chair, DIEU, ayant envoyé son propre Fils en ressemblance de chair de péché, et pour [le] péché, a condamné le péché dans la chair, afin que la juste exigence de la loi soit accomplie en nous, qui ne marchons pas selon [la] chair, mais selon [l’]Esprit. Car ceux qui sont selon [la] chair ont leurs pensées aux choses de la chair ; mais ceux qui sont selon [l’]Esprit, aux choses de l’Esprit ; car la pensée de la chair est [la] mort ; mais la pensée de l’Esprit, vie et paix ; – parce que la pensée de la chair est inimitié contre DIEU, car elle ne se soumet pas à la loi de DIEU, car aussi elle ne le peut pas. Et ceux qui sont dans la chair ne peuvent plaire à DIEU. Or vous n’êtes pas dans [la] chair, mais dans [l’]Esprit, si du moins [l’]Esprit de DIEU habite en vous ; mais si quelqu’un n’a pas [l’]Esprit de Christ, celui-là n’est pas de lui. Mais si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie à cause de [la] justice. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité le Christ d’entre les morts vivifiera vos corps mortels aussi, à cause de son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères, nous sommes débiteurs, non pas à la chair pour vivre selon [la] chair ; car si vous vivez selon [la] chair, vous mourrez ; mais si par [l’]Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez. Car tous ceux qui sont conduits par [l’]Esprit de DIEU, ceux-là sont fils de DIEU. Car vous n’avez pas reçu un esprit de servitude pour être de nouveau dans la crainte, mais vous avez reçu [l’]Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba, Père ! L’Esprit lui-même rend témoignage avec notre esprit, que nous sommes enfants de DIEU  ; et si [nous sommes] enfants, [nous sommes] aussi héritiers ; héritiers de DIEU, cohéritiers de Christ ; si du moins nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui. Car j’estime que les souffrances du temps présent ne sont pas dignes [d’être comparées] avec la gloire à venir qui doit nous être révélée. Car la vive attente de la création attend la révélation des fils de DIEU. Car la création a été assujettie à la vanité (non de sa volonté, mais à cause de celui qui l’a assujettie), dans l’espérance que la création elle-même aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour [jouir de] la liberté de la gloire des enfants de DIEU. Car nous savons que toute la création ensemble soupire et est en travail jusqu’à maintenant ; et non seulement [elle], mais nous-mêmes aussi qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi, nous soupirons en nous-mêmes, attendant l’adoption, la délivrance de notre corps. Car nous avons été sauvés en espérance : or une espérance qu’on voit n’est pas une espérance ; car ce que quelqu’un voit, pourquoi aussi l’espère-t-il ? Mais si ce que nous ne voyons pas, nous l’espérons, nous l’attendons avec patience. De même aussi l’Esprit nous est en aide dans notre infirmité  ; car nous ne savons pas ce qu’il faut demander comme il convient ; mais l’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables ; – et celui qui sonde les cœurs sait quelle est la pensée de l’Esprit, car il intercède pour les saints, selon DIEU  ; – mais nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment DIEU, de ceux qui sont appelés selon [son] propos. Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, pour qu’il soit premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu’il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu’il a justifiés, il les a aussi glorifiés. Que dirons-nous donc à ces choses ? Si DIEU est pour nous, qui sera contre nous ? Celui même qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous fera-t-il pas don aussi, librement, de toutes choses avec lui ? Qui intentera accusation contre des élus de DIEU  ? – C’est DIEU qui justifie ; qui est celui qui condamne ? – C’est Christ qui est mort, mais plutôt qui est aussi ressuscité, qui est aussi à la droite de DIEU, qui aussi intercède pour nous ; qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ ? Tribulation, ou détresse, ou persécution, ou famine, ou nudité, ou péril, ou épée ? Selon qu’il est écrit : « Pour l’amour de toi, nous sommes mis à mort tout le jour ; nous avons été estimés comme des brebis de tuerie ». Au contraire, dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni principautés, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances