Exode 21:12-36
Exode 21:12-36 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Le Seigneur dit encore à Moïse : « Celui qui frappe une personne et qui la tue, il faut le faire mourir. Mais supposons ceci : Cet homme n’avait pas l’intention de tuer. C’est moi, le Seigneur, qui lui en ai donné l’occasion . Dans ce cas, je te montrerai un endroit où celui qui a causé l’accident pourra se réfugier. Voici ce qui peut encore arriver : Quelqu’un attaque une personne par surprise pour la tuer. Même si cet homme s’est réfugié auprès de mon autel, vous l’arrêterez pour le faire mourir. « Si une personne frappe son père ou sa mère, il faut la faire mourir. « Voici un autre cas : Un homme enlève une personne. Il la vend ou bien il la garde chez lui. Il faut faire mourir cet homme-là. « Celui qui maudit son père ou sa mère, il faut aussi le faire mourir. » « Supposons ceci : Pendant une dispute, un homme frappe quelqu’un avec son poing, ou bien il lui jette une pierre. L’autre homme ne meurt pas, mais il doit rester couché. S’il peut se lever et marcher dehors en s’appuyant sur un bâton, l’homme qui l’a frappé ne sera pas condamné. Il devra seulement payer pour cet arrêt de travail et le faire soigner jusqu’à sa guérison. « Un homme frappe son esclave, homme ou femme, à coups de bâton, et la personne meurt. Cet homme-là doit être puni. Mais si la personne vit encore un jour ou deux et meurt ensuite, l’homme ne sera pas puni. En effet, la personne lui appartenait. « Pendant une dispute, des hommes se battent. Ils heurtent une femme enceinte, et alors la femme accouche trop tôt. S’il ne lui arrive rien de grave, le coupable doit payer la somme que le mari demande après discussions. Mais s’il arrive quelque chose de grave à la femme, le coupable sera puni : s’il a pris une vie, sa vie sera prise, s’il a crevé un œil, son œil sera crevé, s’il a cassé une dent, il aura une dent cassée, s’il a blessé quelqu’un à la main ou au pied, il recevra une blessure à la main ou au pied, pour une brûlure il recevra une brûlure, pour une plaie une plaie, pour un coup un coup. « Un homme frappe son esclave, homme ou femme, et il lui crève un œil. Il lui rendra sa liberté, en échange de son œil. S’il lui casse une dent, il rendra la liberté à son esclave, homme ou femme, en échange de sa dent. « Un taureau blesse un homme ou une femme à coups de cornes, et la personne meurt. On doit tuer l’animal en lui jetant des pierres et on ne mangera pas sa viande. Par contre, on ne déclarera pas le propriétaire coupable. Mais le taureau avait peut-être l’habitude de donner des coups de cornes. Le propriétaire le savait et il n’a pas surveillé le taureau. Dans ce cas, si cet animal tue quelqu’un, on le tuera en lui jetant des pierres, et on fera mourir aussi son propriétaire. Si on exige du propriétaire une rançon pour sauver sa vie, il devra donner tout ce qu’on lui demandera. Si le taureau tue un garçon ou une fille à coups de cornes, on suivra les mêmes règles. Si le taureau tue un esclave, homme ou femme, le propriétaire de l’animal devra donner trente pièces d’argent à son maître. Et on tuera le taureau en lui jetant des pierres. « Un homme laisse une citerne ouverte, ou encore il creuse une citerne sans la couvrir. Un bœuf ou un âne tombe dedans. Le propriétaire de la citerne doit payer en échange une somme d’argent au propriétaire de l’animal. Mais l’animal mort sera pour celui qui a payé. « Le taureau d’un homme blesse le taureau de quelqu’un d’autre, et cet animal meurt. Les deux propriétaires vendront le taureau vivant et ils se partageront l’argent. Ils partageront aussi l’animal mort. Mais tout le monde savait peut-être que ce taureau donnait des coups de cornes. Pourtant son propriétaire ne l’a pas surveillé. Dans ce cas, il devra remplacer l’animal mort par un taureau vivant. Mais l’animal mort sera pour lui. »
Exode 21:12-36 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Celui qui frappera un homme mortellement sera puni de mort. S’il ne lui a point dressé d’embûches, et que Dieu l’ait fait tomber sous sa main, je t’établirai un lieu où il pourra se réfugier. Mais si quelqu’un agit méchamment contre son prochain, en employant la ruse pour le tuer, tu l’arracheras même de mon autel, pour le faire mourir. Celui qui frappera son père ou sa mère sera puni de mort. Celui qui dérobera un homme, et qui l’aura vendu ou retenu entre ses mains, sera puni de mort. Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. Si des hommes se querellent, et que l’un d’eux frappe l’autre avec une pierre ou avec le poing, sans causer sa mort, mais en l’obligeant à garder le lit, celui qui aura frappé ne sera point puni, dans le cas où l’autre viendrait à se lever et à se promener dehors avec son bâton. Seulement, il le dédommagera de son interruption de travail, et il le fera soigner jusqu’à sa guérison. Si un homme frappe du bâton son esclave, homme ou femme, et que l’esclave meure sous sa main, le maître sera puni. Mais s’il survit un jour ou deux, le maître ne sera point puni; car c’est son argent. Si des hommes se querellent, et qu’ils heurtent une femme enceinte, et la fassent accoucher, sans autre accident, ils seront punis d’une amende imposée par le mari de la femme, et qu’ils paieront devant les juges. Mais s’il y a un accident, tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure. Si un homme frappe l’œil de son esclave, homme ou femme, et qu’il lui fasse perdre l’œil, il le mettra en liberté, pour prix de son œil. Et s’il fait tomber une dent à son esclave, homme ou femme, il le mettra en liberté, pour prix de sa dent. Si un bœuf frappe de ses cornes un homme ou une femme, et que la mort en soit la suite, le bœuf sera lapidé, sa chair ne sera point mangée, et le maître du bœuf ne sera point puni. Mais si le bœuf était auparavant sujet à frapper, et qu’on en ait averti le maître, qui ne l’a point surveillé, le bœuf sera lapidé, dans le cas où il tuerait un homme ou une femme, et son maître sera puni de mort. Si on impose au maître un prix pour le rachat de sa vie, il paiera tout ce qui lui sera imposé. Lorsque le bœuf frappera un fils ou une fille, cette loi recevra son application; mais si le bœuf frappe un esclave, homme ou femme, on donnera trente sicles d’argent au maître de l’esclave, et le bœuf sera lapidé. Si un homme met à découvert une citerne, ou si un homme en creuse une et ne la couvre pas, et qu’il y tombe un bœuf ou un âne, le possesseur de la citerne paiera au maître la valeur de l’animal en argent, et aura pour lui l’animal mort. Si le bœuf d’un homme frappe de ses cornes le bœuf d’un autre homme, et que la mort en soit la suite, ils vendront le bœuf vivant et en partageront le prix; ils partageront aussi le bœuf mort. Mais s’il est connu que le bœuf était auparavant sujet à frapper, et que son maître ne l’ait point surveillé, ce maître rendra bœuf pour bœuf, et aura pour lui le bœuf mort.
Exode 21:12-36 Bible J.N. Darby (JND)
Si quelqu’un frappe un homme, et qu’il en meure, il sera certainement mis à mort. Mais s’il ne lui a pas dressé d’embûche, et que DIEU l’ait fait tomber sous ses mains, je t’établirai un lieu où il s’enfuira. Et si un homme s’élève de propos délibéré contre son prochain, pour le tuer par ruse, tu l’arracheras de mon autel, pour qu’il meure. Et celui qui frappera son père ou sa mère sera certainement mis à mort. Et si quelqu’un vole un homme et qu’il le vende, ou qu’il soit trouvé en sa main, il sera certainement mis à mort. Et celui qui maudit son père ou sa mère sera certainement mis à mort. Et si des hommes contestent entre eux, et que l’un frappe l’autre avec une pierre ou avec le poing, et qu’il ne meure pas, mais tienne le lit : s’il se lève et marche dehors sur son bâton, celui qui l’a frappé sera tenu pour quitte ; seulement, il paiera son chômage, et le fera guérir complètement. Et si quelqu’un frappe du bâton son serviteur ou sa servante, et qu’il meure sous sa main, il sera certainement vengé ; seulement, s’il reste debout un jour ou deux jours, il ne sera pas vengé, car il est son argent. Et si des hommes se querellent, et que [l’un d’eux] heurte une femme enceinte et qu’elle accouche sans qu’il y ait de malheur, une amende sera payée selon ce que le mari de la femme lui imposera, et il la donnera suivant [la décision des] juges. Et s’il arrive malheur, tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure. Et si un homme frappe l’œil de son serviteur, ou l’œil de sa servante, et le lui fasse perdre, il les laissera aller libres pour l’œil ; et s’il fait tomber la dent de son serviteur ou la dent de sa servante, il les laissera aller libres pour la dent. Et si un bœuf frappe de ses cornes un homme ou une femme, et qu’ils en meurent, le bœuf sera certainement lapidé, et sa chair ne sera pas mangée ; mais le maître du bœuf sera [tenu pour] non coupable. Et si le bœuf frappait de ses cornes auparavant, et que son maître en ait été averti et qu’il ne l’ait pas tenu sous garde, et qu’il tue un homme ou une femme, le bœuf sera lapidé, et son maître aussi sera mis à mort. Et si une indemnité lui est imposée, il donnera la rançon de sa vie selon tout ce qui lui sera imposé. Soit qu’il ait frappé un fils, ou qu’il ait frappé une fille, il lui sera fait selon ce jugement. Si le bœuf a frappé de ses cornes un serviteur ou une servante, le possesseur donnera à son maître 30 sicles d’argent, et le bœuf sera lapidé. Et si un homme ouvre une fosse, ou si un homme creuse une fosse, et ne la couvre pas, et qu’un bœuf ou un âne y tombe, le propriétaire de la fosse donnera une compensation, il remettra l’argent au maître de la [bête] ; et la bête morte lui appartiendra. Et si le bœuf d’un homme heurte le bœuf de son prochain, et qu’il en meure, ils vendront le bœuf vivant, et en partageront l’argent, et ils partageront aussi le mort. Ou s’il était connu que le bœuf frappait de ses cornes auparavant, et que son maître ne l’ait pas tenu sous garde, il fera certainement compensation, bœuf pour bœuf ; et le [bœuf] mort lui appartiendra.
Exode 21:12-36 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Celui qui frappera un homme mortellement sera puni de mort. S'il ne lui a point dressé d'embûches, et que Dieu l'ait fait tomber sous sa main, je t'établirai un lieu où il pourra se réfugier. Mais si quelqu'un agit méchamment contre son prochain, en employant la ruse pour le tuer, tu l'arracheras même de mon autel, pour le faire mourir. Celui qui frappera son père ou sa mère sera puni de mort. Celui qui dérobera un homme, et qui l'aura vendu ou retenu entre ses mains, sera puni de mort. Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. Si des hommes se querellent, et que l'un d'eux frappe l'autre avec une pierre ou avec le poing, sans causer sa mort, mais en l'obligeant à garder le lit, celui qui aura frappé ne sera point puni, dans le cas où l'autre viendrait à se lever et à se promener dehors avec son bâton. Seulement, il le dédommagera de son interruption de travail, et il le fera soigner jusqu'à sa guérison. Si un homme frappe du bâton son esclave, homme ou femme, et que l'esclave meure sous sa main, le maître sera puni. Mais s'il survit un jour ou deux, le maître ne sera point puni; car c'est son argent. Si des hommes se querellent, et qu'ils heurtent une femme enceinte, et la fassent accoucher, sans autre accident, ils seront punis d'une amende imposée par le mari de la femme, et qu'ils paieront devant les juges. Mais s'il y a un accident, tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure. Si un homme frappe l'œil de son esclave, homme ou femme, et qu'il lui fasse perdre l'œil, il le mettra en liberté, pour prix de son œil. Et s'il fait tomber une dent à son esclave, homme ou femme, il le mettra en liberté, pour prix de sa dent. Si un bœuf frappe de ses cornes un homme ou une femme, et que la mort en soit la suite, le bœuf sera lapidé, sa chair ne sera point mangée, et le maître du bœuf ne sera point puni. Mais si le bœuf était auparavant sujet à frapper, et qu'on en ait averti le maître, qui ne l'a point surveillé, le bœuf sera lapidé, dans le cas où il tuerait un homme ou une femme, et son maître sera puni de mort. Si on impose au maître un prix pour le rachat de sa vie, il paiera tout ce qui lui sera imposé. Lorsque le bœuf frappera un fils ou une fille, cette loi recevra son application; mais si le bœuf frappe un esclave, homme ou femme, on donnera trente sicles d'argent au maître de l'esclave, et le bœuf sera lapidé. Si un homme met à découvert une citerne, ou si un homme en creuse une et ne la couvre pas, et qu'il y tombe un bœuf ou un âne, le possesseur de la citerne paiera au maître la valeur de l'animal en argent, et aura pour lui l'animal mort. Si le bœuf d'un homme frappe de ses cornes le bœuf d'un autre homme, et que la mort en soit la suite, ils vendront le bœuf vivant et en partageront le prix; ils partageront aussi le bœuf mort. Mais s'il est connu que le bœuf était auparavant sujet à frapper, et que son maître ne l'ait point surveillé, ce maître rendra bœuf pour bœuf, et aura pour lui le bœuf mort.
Exode 21:12-36 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Celui qui frappera un homme et causera sa mort, sera puni de mort. Cependant, s’il n’avait pas l’intention de donner la mort, mais que Dieu a fait tomber l’homme entre ses mains, je te désignerai un endroit où il pourra se réfugier. Par contre, si quelqu’un agit avec préméditation, et qu’il assassine son prochain par ruse, vous irez jusqu’à l’arracher à mon autel pour le faire mourir. Celui qui frappe son père ou sa mère sera puni de mort. Celui qui commet un rapt sera également mis à mort – qu’il ait vendu sa victime comme esclave ou qu’on la trouve encore entre ses mains. Celui qui maudit son père ou sa mère sera puni de mort. Si, au cours d’une dispute, un homme en frappe un autre du poing ou à coups de pierres sans causer sa mort, mais en l’obligeant à s’aliter, si la victime se relève et peut de nouveau se promener dehors – fût-ce en s’appuyant sur une canne – celui qui l’aura frappé sera acquitté. Toutefois, il dédommagera l’autre pour son temps d’arrêt de travail et il se chargera de le faire soigner. Si quelqu’un fait mourir son esclave ou sa servante en le frappant à coups de bâton, il devra être puni. Toutefois, si le blessé survit un jour ou deux, son maître ne sera pas puni, car il l’a acquis avec son propre argent. Si des hommes, en se battant, heurtent une femme enceinte et causent un accouchement prématuré, mais sans qu’il y ait d’autre conséquence grave, l’auteur de l’accident devra payer une indemnité dont le montant sera fixé par le mari de la femme et approuvé par arbitrage. Mais s’il s’ensuit un dommage, tu feras payer vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, contusion pour contusion. Si un homme blesse son esclave ou sa servante à l’œil au point de lui en faire perdre l’usage, il lui rendra la liberté en compensation de l’œil perdu. S’il lui fait tomber une dent, il lui rendra également la liberté en compensation de sa dent. Si un taureau frappe un homme ou une femme et les tue, il sera lapidé. On n’en mangera pas la viande, mais son propriétaire ne sera pas puni. Toutefois si, depuis quelque temps, ce taureau avait l’habitude d’attaquer les gens et que son propriétaire en a été formellement averti mais ne l’a pas surveillé, et si ce taureau tue quelqu’un, il sera lapidé et son propriétaire sera lui aussi mis à mort. Si on impose au propriétaire une rançon pour sa vie, il devra donner tout ce qu’on lui réclamera. Si le taureau frappe un garçon ou une fille, on lui appliquera la même loi. S’il heurte un esclave ou une servante, le propriétaire de l’animal versera au maître de la victime trente pièces d’argent, et le taureau sera lapidé. Si quelqu’un, après avoir enlevé le couvercle d’une citerne ou après avoir creusé une citerne, la laisse ouverte et qu’un taureau ou un âne tombe dedans, le propriétaire de la citerne paiera au propriétaire de la bête l’argent qu’elle valait, et la bête morte lui appartiendra. Si le taureau de quelqu’un blesse mortellement celui d’un autre, le taureau vivant sera vendu et les deux propriétaires se partageront l’argent et l’animal mort. Mais si l’on savait que le taureau qui en a tué un autre avait l’habitude de donner des coups de corne et si son maître ne l’a pas surveillé, celui-ci devra remplacer le taureau qui a été tué et l’animal mort lui appartiendra.
Exode 21:12-36 Bible Segond 21 (S21)
»Celui qui frappera un homme mortellement sera puni de mort. S'il ne lui a pas tendu de piège et que Dieu l'ait fait tomber entre ses mains, je te désignerai un endroit où il pourra se réfugier. Mais si quelqu'un agit méchamment contre son prochain en employant la ruse pour le tuer, tu iras jusqu’à l’arracher de mon autel pour le faire mourir. »Celui qui frappera son père ou sa mère sera puni de mort. »Celui qui enlèvera un homme, qu’il l’ait vendu ou qu’on l’ait trouvé entre ses mains, sera puni de mort. *»Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. »Si des hommes se battent et que l'un d'eux frappe l'autre avec une pierre ou avec le poing, sans causer sa mort mais en l'obligeant à garder le lit, celui qui a frappé ne sera pas puni dans le cas où l'autre viendrait à se lever et à se promener dehors avec son bâton. Seulement, il le dédommagera de son interruption de travail et le fera soigner jusqu'à sa guérison. »Si un maître frappe son esclave, homme ou femme, avec un bâton et que l'esclave meure sous ses coups, il sera puni. Mais si l’esclave survit un jour ou deux, le maître ne sera pas puni, car c'est son argent. »Si des hommes se battent, heurtent une femme enceinte et la font accoucher sans qu’il n’y ait de conséquence malheureuse, ils seront punis d'une amende imposée par le mari de la femme, qu'ils paieront devant les juges. Mais s'il y a une conséquence malheureuse, tu donneras vie pour vie, *œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, plaie pour plaie. »Si un homme frappe l'œil de son esclave, homme ou femme, et qu'il lui fasse perdre l'œil, il le laissera partir libre pour prix de son œil. Et s'il fait tomber une dent à son esclave, homme ou femme, il le laissera partir libre pour prix de sa dent. »Si un bœuf frappe de ses cornes un homme ou une femme et que la mort en résulte, le bœuf sera lapidé. On ne mangera pas sa viande et le maître du bœuf ne sera pas puni. Mais si le bœuf avait déjà tendance à frapper et si on en avait averti son maître, qui ne l'a pas surveillé, dans le cas où il tuerait un homme ou une femme, le bœuf sera lapidé et son maître sera puni de mort. Si on impose au maître un prix pour le rachat de sa vie, il paiera tout ce qui lui sera imposé. Si c’est un fils ou une fille que le bœuf frappe, on lui appliquera cette règle; mais si c’est un esclave, homme ou femme, on donnera 30 pièces d'argent au maître de l'esclave et le bœuf sera lapidé. »Si un homme retire le couvercle d’une citerne, ou bien si un homme en creuse une sans la couvrir, et qu'il y tombe un bœuf ou un âne, le possesseur de la citerne paiera au maître la valeur de l'animal en argent et gardera l'animal mort. »Si le bœuf d'un homme frappe de ses cornes le bœuf d'un autre homme et que la mort en résulte, ils vendront le bœuf vivant et en partageront le prix; ils partageront aussi le bœuf mort. Mais s'il est connu que le bœuf avait déjà tendance à frapper et si son maître ne l'a pas surveillé, ce maître rendra bœuf pour bœuf et gardera le bœuf mort.
Exode 21:12-36 Bible en français courant (BFC)
«Celui qui frappe et tue un être humain doit être mis à mort. Toutefois s'il n'y a pas eu de guet-apens, s'il s'agit d'un accident que Dieu n'a pas empêché, l'auteur de l'accident pourra se réfugier dans un endroit que je vous indiquerai. Par contre, si dans un geste de haine un homme en tue un autre, par ruse, vous l'arrêterez pour le mettre à mort, même s'il s'est réfugié près de mon autel. «Celui qui frappe son père ou sa mère doit être mis à mort. «Celui qui enlève une personne doit être mis à mort, qu'il ait vendu sa victime ou qu'on la trouve encore chez lui. «Celui qui maudit son père ou sa mère doit être mis à mort.» «Supposons que, au cours d'une dispute, un homme en frappe un autre du poing ou avec une pierre, et que la victime ne meure pas mais doive seulement s'aliter; si elle peut de nouveau se lever et se promener dehors, avec une canne, celui qui a frappé ne sera pas condamné, à condition de dédommager la victime pour son temps d'immobilisation et de payer les frais de guérison. «Si quelqu'un, à coups de bâton, bat à mort son esclave, homme ou femme, il doit être puni. Toutefois si la victime survit un jour ou deux, il ne doit pas être puni, car elle était sa propriété. «Si, au cours d'une dispute entre hommes, une femme enceinte est heurtée et que cela provoque un accouchement prématuré, mais sans conséquence grave pour la femme, le coupable devra payer, après arbitrage, l'indemnité réclamée par le mari. Mais s'il en résulte une conséquence grave pour la femme, le coupable sera puni: vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, coup pour coup. «Si quelqu'un frappe son esclave, homme ou femme, et lui crève un œil, il accordera la liberté à la victime, en compensation de son œil. S'il lui casse une dent, il lui accordera de même la liberté, en compensation de sa dent. «Si un taureau tue à coups de cornes un homme ou une femme, on le mettra à mort en lui jetant des pierres. On ne pourra pas en manger la viande. Quant au propriétaire, il ne sera pas tenu pour responsable. Toutefois si le taureau avait déjà l'habitude de donner des coups de cornes et que le propriétaire, averti, ne l'ait pas surveillé, si alors l'animal cause la mort de quelqu'un, il sera tué à coups de pierres, et son propriétaire aussi sera mis à mort. Si on admet que le propriétaire puisse verser une rançon pour sauver sa vie, il devra payer à titre de compensation la somme qu'on lui imposera. Si le taureau tue à coups de cornes un enfant, garçon ou fille, les mêmes mesures seront applicables. Si le taureau tue un esclave, homme ou femme, le propriétaire de l'animal devra verser trente pièces d'argent au maître de la victime, et le taureau sera tué à coups de pierres. «Si un homme ouvre ou creuse une citerne, néglige de la recouvrir, et qu'un bœuf ou un âne tombe dedans, le propriétaire de la citerne devra verser une compensation en argent au propriétaire de l'animal. Mais dans ce cas, le cadavre de l'animal lui reviendra. «Si le taureau de quelqu'un blesse à mort le taureau d'un autre homme, on vendra le taureau vivant, puis les deux propriétaires se partageront l'argent et l'animal mort. Toutefois si le taureau était déjà connu pour donner des coups de cornes et que le propriétaire ne l'ait pas surveillé, celui-ci devra remplacer le taureau mort par un vivant. Mais dans ce cas, le cadavre de l'animal lui reviendra en entier.»