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Proverbes 8:4-31

Proverbes 8:4-31 JND

À vous, hommes, je crie, et ma voix [s’adresse] aux fils des hommes ! Vous, simples, comprenez la prudence, et vous, sots, comprenez ce qu’est le sens. Écoutez, car je dirai des choses excellentes, et l’ouverture de mes lèvres [prononcera] des choses droites ; car mon palais méditera la vérité, et la méchanceté sera une abomination pour mes lèvres. Toutes les paroles de ma bouche sont selon la justice, il n’y a rien en elles de pervers ni de tortueux ; elles sont toutes claires pour celui qui a de l’intelligence, et droites pour ceux qui ont trouvé la connaissance. Recevez mon instruction, et non pas de l’argent, et la connaissance plutôt que l’or fin choisi ; car la sagesse est meilleure que les rubis, et rien de ce qui fait nos délices ne l’égale. Moi, la sagesse, je demeure avec la prudence, et je trouve la connaissance [qui vient] de la réflexion. La crainte de l’ÉTERNEL, c’est de haïr le mal. Je hais l’orgueil et la hauteur, et la voie d’iniquité, et la bouche perverse. À moi le conseil et le savoir-faire  ; je suis l’intelligence ; à moi la force. Par moi les rois règnent, et les princes statuent la justice. Par moi les chefs dominent, et les nobles, tous les juges de la terre. J’aime ceux qui m’aiment ; et ceux qui me recherchent me trouveront. Avec moi sont les richesses et les honneurs, les biens éclatants et la justice. Mon fruit est meilleur que l’or fin, même que l’or pur ; et mon revenu [meilleur] que l’argent choisi. Je marche dans le chemin de la justice, au milieu des sentiers de juste jugement, pour faire hériter les biens réels à ceux qui m’aiment, et pour remplir leurs trésors. L’ÉTERNEL m’a possédée au commencement de sa voie, avant ses œuvres d’ancienneté. Dès l’éternité je fus établie, dès le commencement, dès avant les origines de la terre. Quand il n’y avait pas d’abîmes, j’ai été enfantée, quand il n’y avait pas de sources pleines d’eaux. Avant que les montagnes soient établies sur leurs bases, avant les collines, j’ai été enfantée, lorsqu’il n’avait pas encore fait la terre et les campagnes, et le commencement de la poussière du monde. Quand il disposait les cieux, j’étais là ; quand il ordonnait le cercle qui circonscrit la face de l’abîme, quand il établissait les nuées en haut, quand il affermissait les sources des abîmes, quand il imposait son décret à la mer, afin que les eaux n’outrepassent point son commandement, quand il décrétait les fondements de la terre : j’étais alors à côté de lui son nourrisson, j’étais ses délices tous les jours, toujours en joie devant lui, me réjouissant en la partie habitable de sa terre, et mes délices étaient dans les fils des hommes.