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Proverbes 8:4-31

Proverbes 8:4-31 PDV2017

« Vous, les humains, c’est vous que j’appelle. Je m’adresse à vous tous. Vous, les gens sans expérience, apprenez à avoir du bon sens. Vous qui manquez de sagesse, apprenez à être intelligents. Écoutez bien, car je vais dire des choses importantes et je vais parler franchement. Oui, je dis la vérité, car je déteste toutes les paroles fausses. Tout ce que je dis est exact. Je ne parle jamais pour tromper, je ne mens pas. Une personne intelligente trouve mes paroles justes, celle qui est savante les trouve sincères. Choisissez mon enseignement plutôt que l’argent, préférez la connaissance à l’or pur. En effet, moi, la Sagesse, j’ai plus de valeur que les bijoux, et je suis plus précieuse que tout ce que vous désirez. » « Moi, la Sagesse, je ne me sépare pas du bon sens, je sais agir en réfléchissant. Respecter le SEIGNEUR, c’est détester le mal. Je déteste l’orgueil, le mépris, les actions mauvaises et les mensonges. Mon travail est de conseiller les humains et de leur apprendre à prévoir. Je suis l’intelligence et je possède la puissance. Grâce à moi, les rois gouvernent et les juges établissent des lois justes. Grâce à moi, les chefs commandent, ainsi que les notables et tous ceux qui rendent la justice sur la terre. Moi, j’aime ceux qui m’aiment. Ceux qui me cherchent me trouveront sûrement. Je donne la richesse et l’honneur, des biens qui durent et une récompense méritée. Mes bienfaits sont plus précieux que l’or le plus pur, et mes dons sont meilleurs que l’argent de qualité. J’avance sur la route de la justice, sur le chemin où les lois sont respectées. Là, je donne des biens à ceux qui m’aiment, je remplis leurs maisons d’objets précieux. Le SEIGNEUR m’a créée la première, avant toutes les autres choses qu’il a faites. Il m’a formée depuis toujours, au commencement de tout, avant que le monde existe. À ma naissance, les mers n’étaient pas encore là. Il n’y avait pas de sources remplies d’eau. Je suis née avant la formation des montagnes, avant les collines. À ce moment-là, le SEIGNEUR n’avait pas encore fait la terre, ni les champs, ni le premier grain de poussière du sol. J’étais là quand il a posé solidement le ciel, quand il a tracé l’horizon au-dessus des mers, quand il a fixé les nuages en haut, quand il a donné leur force aux sources d’en bas, quand il a mis des limites à la mer, quand il a commandé à l’eau de ne pas les dépasser, quand il a placé les fondations de la terre. Pendant ce temps, j’étais là, près du SEIGNEUR, comme un architecte. Jour après jour, je lui donnais de la joie, je jouais sans cesse devant lui. Je jouais sur le sol de la terre qu’il a faite. Et je trouve ma joie parmi les humains. »