Pour sûr, c’est à Dieu seul ╵que, dans le calme, ╵je me remets :
mon salut vient de lui.
Pour sûr, lui seul est mon rocher, ╵et mon Sauveur ;
il est ma forteresse : ╵je ne serai pas ébranlé.
Combien de temps encore ╵allez-vous, tous ensemble, ╵vous ruer sur un homme
pour chercher à l’abattre
comme un mur qui s’affaisse,
ou comme une clôture ╵qui cède à la poussée ?
Oui, eux, ils forment des projets ╵pour le précipiter ╵de son poste élevé.
Ils aiment le mensonge.
De la bouche, ils bénissent,
mais du cœur, ils maudissent.
Pause
Oui, remets-toi, mon âme, ╵à Dieu seul, dans le calme :
mon espoir vient de lui.
Pour sûr, lui seul est mon rocher, ╵et mon Sauveur,
ma forteresse, ╵je ne serai pas ébranlé.
De Dieu dépendent ╵mon salut et ma gloire,
mon rocher fortifié, ╵mon refuge est en Dieu.
Vous, les gens de mon peuple, ╵ayez confiance en lui ╵en toutes circonstances !
Ouvrez-lui votre cœur !
Dieu est notre refuge.
Pause
Oui, les êtres humains ╵sont un souffle qui passe ;
les hommes, tous ensemble, ╵ne sont que déception ;
placés sur la balance, ╵ils pèseraient
à eux tous moins que rien.
Ne comptez pas ╵sur le gain obtenu par extorsion !
Ne placez pas un espoir illusoire ╵dans les biens mal acquis !
Si la fortune augmente,
n’y attachez pas votre cœur !
Dieu a dit une chose,
et il l’a répétée, ╵et je l’ai entendue :
la puissance est à Dieu.