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Marc 6:39-56

Marc 6:39-56 BDS

Alors il leur ordonna de faire asseoir la foule par groupes sur l’herbe verte. Les gens s’installèrent par terre, par rangées de cent et de cinquante. Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, leva les yeux vers le ciel, prononça la prière de bénédiction ; il partagea les pains, et les donna aux disciples pour qu’ils les distribuent à la foule. Il partagea aussi les deux poissons entre tous. Tout le monde mangea à satiété. On ramassa les morceaux de pain qui restaient. Il y en eut douze paniers pleins. Il restait aussi des poissons. Or, ceux qui avaient mangé ces pains étaient au nombre de cinq mille hommes. Aussitôt après, Jésus pressa ses disciples de remonter dans le bateau pour qu’ils le précèdent de l’autre côté du lac, vers Bethsaïda, pendant que lui-même renverrait la foule. Après l’avoir congédiée, il se rendit sur une colline pour prier. A la tombée de la nuit, le bateau se trouvait au milieu du lac et Jésus était resté seul à terre. Il vit que ses disciples avaient beaucoup de mal à ramer, car le vent leur était contraire. Vers la fin de la nuit, il se dirigea vers eux en marchant sur les eaux du lac. Il voulait les dépasser. Mais quand ils le virent marcher ainsi sur l’eau, ils crurent que c’était un fantôme et se mirent à pousser des cris. En effet, tous l’avaient aperçu et étaient pris de panique. Aussitôt, il se mit à leur parler : Rassurez-vous, leur dit-il, c’est moi, n’ayez pas peur ! Puis il monta auprès d’eux dans le bateau. Le vent tomba. Ils en furent frappés de stupeur. Car ils n’avaient pas compris ce qui s’était passé au sujet des pains. Leur intelligence était aveuglée. La traversée achevée, ils touchèrent terre à Génésareth où ils amarrèrent leur bateau. Comme ils en descendaient, les gens reconnurent aussitôt Jésus et parcoururent toute la région pour annoncer sa venue. Ils lui amenaient les malades sur des brancards, dès qu’ils apprenaient son arrivée quelque part. Partout où il se rendait, dans les villages, les villes, les campagnes, ils apportaient les malades sur les places publiques et le suppliaient de leur permettre de toucher ne serait-ce que la frange de son vêtement. Et tous ceux qui la touchaient étaient guéris.

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