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Marc 12:18-44

Marc 12:18-44 PDV2017

Quelques Sadducéens s’approchent de Jésus. Les Sadducéens pensent que les morts ne se relèveront pas. Ils interrogent Jésus en lui disant : « Maître, Moïse a écrit pour nous dans la loi : “Un homme et une femme sont mariés. S’ils n’ont pas d’enfants et si l’homme meurt, son frère doit se marier avec la veuve. Ainsi, il donnera des enfants au frère qui est mort.” Eh bien, supposons ceci : Il y a sept frères. Le premier se marie et il meurt sans laisser d’enfants. Le deuxième se marie avec la veuve et il meurt sans laisser d’enfants. Il arrive la même chose au troisième et aux autres aussi. Les sept frères meurent sans laisser d’enfants. Après eux tous, la femme meurt à son tour. Quand les morts se relèveront, elle sera la femme de qui ? En effet, chacun des sept frères a été son mari. » Jésus leur dit : « Vous vous trompez ! Est-ce que vous savez pourquoi ? Parce que vous ne connaissez ni les Livres Saints, ni la puissance de Dieu. Quand les morts se relèveront, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils vivront comme les anges auprès de Dieu. Au sujet des gens qui se relèveront, vous avez sûrement lu, dans le livre de Moïse, l’histoire du buisson. C’est là que Dieu a dit à Moïse : “Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob.” Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants. Donc, vous vous trompez complètement. » Un maître de la loi les a entendus discuter. Il voit que Jésus a bien répondu aux Sadducéens. Alors il s’approche de lui et lui demande : « Quel est le plus important de tous les commandements ? » Jésus lui répond : « Voici le commandement le plus important : “Écoute, Israël ! Le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être, de toute ton intelligence et de toute ta force.” Et voici le deuxième commandement : “Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.” Il n’y a pas de commandement plus important que ces deux-là. » Le maître de la loi dit à Jésus : « Très bien, maître ! Ce que tu as dit est vrai. Le Seigneur est le seul Dieu, il n’y a pas d’autre Dieu que lui. Nous devons l’aimer de tout notre cœur, de toute notre intelligence et de toute notre force. Et nous devons aimer notre prochain comme nous-mêmes. C’est beaucoup mieux que de brûler des animaux pour Dieu, et de lui offrir d’autres sacrifices. » Jésus voit que le maître de la loi a répondu de façon intelligente. Alors il lui dit : « Tu n’es pas loin du Royaume de Dieu. » Et personne n’ose plus poser de questions à Jésus. Jésus enseigne dans le temple. Il pose cette question : « Les maîtres de la loi disent que le Messie est fils de David. Mais comment peuvent-ils dire cela ? David lui-même, rempli de l’Esprit Saint, a dit : “Le Seigneur déclare à mon Maître : Viens t’asseoir à ma droite, je vais mettre tes ennemis sous tes pieds .” David lui-même dit que le Messie est son Maître. Alors, comment le Messie peut-il être aussi fils de David ? » Une foule nombreuse écoute Jésus avec plaisir. Jésus dit dans son enseignement : « Attention ! Ne faites pas comme les maîtres de la loi ! Ils aiment se promener avec de grands vêtements, ils aiment qu’on les salue sur les places de la ville. Ils choisissent les premiers sièges dans les maisons de prière et les premières places dans les grands repas. Ils prennent aux veuves tout ce qu’elles ont, et en même temps, ils font de longues prières, pour faire semblant d’être bons. À cause de cela, Dieu les punira encore plus que les autres. » Dans le temple, il y a un endroit où les gens donnent de l’argent en offrande. Jésus s’assoit en face et il regarde ce qu’ils font. De nombreux riches mettent beaucoup d’argent. Une veuve pauvre arrive, et elle met deux pièces qui ont très peu de valeur. Alors Jésus appelle ses disciples et leur dit : « Je vous le dis, c’est la vérité : cette veuve pauvre a donné plus que tous les autres. En effet, tous les autres ont mis de l’argent qu’ils avaient en trop. Mais elle, qui manque de tout, elle a donné tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. »

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