« Voici les règles pour le sacrifice de communion offert au SEIGNEUR : Si quelqu’un offre un sacrifice de communion pour accompagner un chant de louange, il apporte, en plus de l’animal, des gâteaux à l’huile cuits sans levain, des galettes sans levain arrosées d’huile, et des gâteaux faits de farine mélangée avec de l’huile. Il apporte aussi une offrande de pain préparé avec du levain, pour accompagner un sacrifice de louange. Il prend une part de chaque offrande et la présente au SEIGNEUR. Ces parts sont pour le prêtre qui a versé le sang de l’animal sur les côtés de l’autel. Mais la viande de l’animal offert en sacrifice de louange, on doit la manger le jour même. On ne doit rien garder pour le jour suivant.
« Quelqu’un peut offrir un sacrifice de communion, de façon spontanée ou pour réaliser un vœu. Dans ce cas, on mange une partie de la viande le jour même du sacrifice, et la partie qui reste, on la mange le jour suivant. S’il reste encore de la viande le troisième jour, on doit la jeter au feu. Si quelqu’un mange quand même de la viande venant de son sacrifice le troisième jour, Dieu n’accepte pas son offrande. Son sacrifice ne compte pas. En effet, c’est de la viande qui ne convient plus. Et celui qui en mange devient coupable d’une faute. De plus, si la viande a touché quelque chose d’impur, on ne doit pas la manger, mais la jeter au feu.
« Il faut être pur pour manger la viande du sacrifice. Supposons ceci : Quelqu’un n’est pas pur, et il mange de la viande d’un sacrifice de communion offert au SEIGNEUR. On chassera cette personne-là de la communauté d’Israël. Ou encore : Quelqu’un touche une personne impure, un animal impur ou n’importe quoi d’impur, et il mange de la viande d’un sacrifice de communion offert au SEIGNEUR. On chassera cette personne-là de la communauté d’Israël. »
Le SEIGNEUR dit à Moïse de donner aux Israélites les règles suivantes : « Vous ne devez jamais manger aucun morceau gras d’un animal, bœuf, mouton ou chèvre. La graisse d’une bête morte naturellement, ou tuée par des animaux sauvages, vous ne devez pas en manger, mais vous pouvez l’utiliser pour autre chose. Supposons ceci : Quelqu’un mange un morceau gras d’un animal qui doit être brûlé en sacrifice pour le SEIGNEUR. On chassera cette personne-là de la communauté d’Israël. Vous ne devez jamais manger le sang d’un oiseau ou d’un autre animal, partout où vous habiterez. Si une personne mange du sang, on la chassera de la communauté d’Israël. »
Le SEIGNEUR dit à Moïse de donner encore aux Israélites les règles suivantes : « Quand quelqu’un offre un sacrifice de communion, il apporte au SEIGNEUR la part qui est pour lui. Il apporte lui-même ce qui est réservé pour le SEIGNEUR, c’est-à-dire les morceaux gras et la poitrine de l’animal. Il doit offrir la poitrine au SEIGNEUR, avec le geste de présentation. Alors le prêtre brûle les morceaux gras sur l’autel. Mais la poitrine est pour Aaron et ses fils. Vous devez aussi prendre la cuisse droite de l’animal offert, et vous la donnerez au prêtre. La cuisse droite est la part du fils d’Aaron qui présente à l’autel le sang et les morceaux gras de l’animal. Voici en effet ce que le SEIGNEUR lui-même vous commande, à vous les Israélites : Vous devez mettre de côté la poitrine et la cuisse des animaux offerts en sacrifice de communion. Vous devez les donner au prêtre Aaron et aux fils de ses fils : ces morceaux-là leur sont réservés pour toujours. »
Voilà les parts d’Aaron et de ses fils prises sur les sacrifices brûlés pour le SEIGNEUR. Elles sont pour eux à partir du jour où ils deviennent prêtres au service du SEIGNEUR. Le SEIGNEUR a commandé aux Israélites de leur donner ces parts le jour où il les a consacrés en versant de l’huile sur eux. C’est une règle pour toujours. Vous la respecterez de génération en génération.
Voilà les règles pour les sacrifices complets, les offrandes des produits de la terre, les sacrifices pour recevoir le pardon, les sacrifices de réparation, les sacrifices offerts le jour où les prêtres commencent leur service et les sacrifices de communion. Le SEIGNEUR a donné ces règles à Moïse dans le désert, sur le mont Sinaï, le jour où il a commandé aux Israélites d’apporter leurs offrandes.