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Lévitique 25:5-44

Lévitique 25:5-44 PDV2017

Vous ne ramasserez pas ce qui a poussé tout seul depuis la dernière récolte. Vous ne cueillerez pas les grappes des vignes non taillées. Ce sera une année de repos complet pour la terre. Vous mangerez ce que la terre vous donnera pendant cette année de repos, vous, vos serviteurs et vos servantes, ainsi que vos ouvriers et les étrangers de passage qui habitent chez vous. Tout cela servira aussi à nourrir vos animaux et même les bêtes sauvages de votre pays. » « Vous compterez sept fois sept ans, c’est-à-dire 49 ans. Ensuite, le septième mois, le 10 du mois, le grand jour du Pardon, vous ferez entendre la corne de bélier dans tout le pays, et vous pousserez de grands cris. De cette façon, vous ferez de cette cinquantième année une année Consacrer au SEIGNEUR. Vous annoncerez la libération pour tous les habitants du pays. Ce sera pour vous une Année de Réjouissance. Chacun de vous pourra être de nouveau propriétaire de ses champs et revenir dans sa famille. C’est ainsi que vous fêterez l’Année de Réjouissance tous les 50 ans : vous ne sèmerez rien dans vos champs, vous ne récolterez pas les épis qui ont poussé tout seuls. Vous ne couperez pas les grappes de raisin qui ont poussé sur les vignes non taillées. En effet, ce sera l’Année de Réjouissance, une année consacrée au SEIGNEUR. Mais vous pourrez manger ce qui pousse tout seul dans les champs. « À l’occasion de l’Année de Réjouissance, chacun de vous pourra être de nouveau propriétaire de ses champs. Si vous vendez quelque chose à un Israélite, ou si vous lui achetez quelque chose, vous ne devez pas profiter de lui. Achetez ou vendez en tenant compte des années passées depuis la dernière Année de Réjouissance. Et donc, tenez compte aussi des années de récolte qui restent jusqu’à la prochaine Année de Réjouissance. Plus il restera d’années, plus votre prix de vente sera élevé. Moins il restera d’années, plus votre prix sera bas. En effet, pour vendre, on tient compte du nombre de récoltes à faire. Ne profitez pas de votre prochain. C’est ainsi que vous me respecterez. Le SEIGNEUR votre Dieu, c’est moi. Respectez mes lois, gardez mes règles et obéissez-leur. Alors vous habiterez en sécurité dans ce pays. La terre donnera des récoltes, vous aurez toujours assez à manger et vous habiterez en sécurité. « Vous allez peut-être vous demander : “Qu’est-ce que nous allons manger la septième année ? En effet, nous ne devons pas semer, nous ne devons pas faire de récoltes.” Eh bien, je vous bénirai la sixième année. Je commanderai à la terre de donner des récoltes pour trois ans. La huitième année, vous sèmerez dans vos champs. Mais cette année-là, vous mangerez encore l’ancienne récolte. En effet, vous aurez assez de nourriture pour attendre la récolte de la neuvième année. » « Vous ne vendrez jamais une terre de façon définitive. En effet, la terre est à moi, le Seigneur. Vous serez comme des étrangers et des gens de passage dans mon pays. C’est pourquoi, dans tout ce pays que je vous donnerai, vous établirez les règles permettant de racheter des terres. « Supposons ceci : Un de vos frères israélites devient pauvre et il doit vendre une de ses terres. Un de ses parents proches qui possède le droit de racheter doit racheter cette terre. Si cet homme pauvre n’a pas de parent qui possède ce droit, il trouvera peut-être les moyens de racheter lui-même sa terre. Il calculera la somme d’argent qu’il doit à l’acheteur en comptant le nombre d’années qui restent jusqu’à l’Année de Réjouissance. Il paiera et il sera de nouveau propriétaire de sa terre. S’il ne trouve pas les moyens de rembourser la terre, celle-ci appartient toujours à l’acheteur. Cela dure jusqu’à l’Année de Réjouissance. Cette année-là, l’homme pauvre sera de nouveau propriétaire de sa terre. « Voici un autre cas : Quelqu’un vend une maison située dans une ville entourée de murs. Il a le droit de la racheter pendant un certain temps seulement, c’est-à-dire pendant un an à partir de la vente. Si personne ne rachète la maison au bout d’un an, elle appartient pour toujours à l’acheteur et à ses enfants. Ils ne devront pas la rendre l’Année de Réjouissance. Mais les maisons situées dans les villages qui ne sont pas entourés de murs, on leur applique les mêmes règles qu’aux champs du pays. Celui qui vend sa maison a toujours le droit de la racheter. En tout cas, il en sera de nouveau propriétaire l’Année de Réjouissance. « Pourtant, les lévites ont toujours le droit de racheter leurs maisons situées dans les villes des lévites . Même si un autre lévite a acheté une de ces maisons, il devra la rendre à son premier propriétaire l’Année de Réjouissance. En effet, les lévites possèdent seulement ces maisons en Israël. Les champs situés autour de leurs villes ne doivent pas être vendus. En effet, les lévites les possèdent pour toujours. » « Supposons ceci : Un de vos frères israélites devient pauvre et il ne peut pas vous rembourser. Vous devez l’aider pour qu’il continue à vivre auprès de vous. Vous ferez la même chose pour un étranger de passage ou un étranger installé dans votre pays, ou pour quelqu’un de passage. Vous ne lui demanderez pas d’argent en plus de sa dette. De cette façon, vous montrerez du respect pour moi, votre Dieu, et votre frère pourra vivre auprès de vous. Si vous lui prêtez de l’argent, ne lui demandez pas une somme en plus de sa dette. Si vous lui fournissez de la nourriture, ne lui demandez pas de vous la rendre avec un supplément. Le SEIGNEUR votre Dieu, c’est moi. Je vous ai fait sortir d’Égypte pour vous donner le pays de Canaan et devenir votre Dieu. » « Supposons ceci : Un de vos frères israélites est devenu pauvre et il doit se vendre à vous. Vous ne devez pas lui faire faire un travail d’esclave. Faites-le travailler chez vous comme un ouvrier que vous payez ou comme un étranger de passage. Il sera à votre service jusqu’à l’Année de Réjouissance. Cette année-là, il sera libre de nouveau, lui et ses enfants. Il retournera dans sa famille et il sera de nouveau propriétaire de la terre de ses ancêtres. En effet, les Israélites sont mes serviteurs. Je les ai libérés d’Égypte. C’est pourquoi on ne doit pas les vendre, comme on vend des esclaves. Ne les écrasez pas de votre pouvoir. De cette façon, vous montrerez votre respect pour moi, votre Dieu. « Si vous voulez des esclaves ou des servantes, vous les achèterez chez les peuples qui vous entourent.