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Cantique des Cantiques 5

5
1 # Es 41.8 ; Jc 2.23. – J'entre dans mon jardin, ma sœur, ma fiancée#5.1 fiancée. Comp. 4.9 et note. ;
Je recueille ma myrrhe avec mes aromates,
Je mange mon rayon de miel avec mon miel,
Je bois mon vin avec mon lait…
Mangez, amis#5.1 amis. On pourrait aussi comprendre, avec certaines anciennes versions : (mes) bien-aimés., buvez, enivrez-vous de tendresse !
2 # Ap 3.20 ; 2 Co 7.10 ― Ct 3.1-4.– J'étais endormie, mais mon cœur veillait…
C'est la voix de mon bien-aimé, qui frappe :
– Ouvre-moi, ma sœur, ma compagne,
Ma colombe, ma parfaite !
Car ma tête est couverte de rosée,
Mes boucles, des gouttelettes de la nuit.
3– J'ai ôté ma tunique : comment donc la remettrais-je ?
J'ai lavé mes pieds ; comment donc les salirais-je#5.3 salirais-je. La fiancée voudrait se lever, mais elle hésite encore, quand elle le fera, il sera trop tard. Pourtant le fiancé aura, auparavant, tout tenté pour entrer (v. 4). ?
4Mon bien-aimé a passé la main par l'ouverture#5.4 l'ouverture. Le système de fermeture des portes devait comporter un trou suffisant pour y passer la main.,
Mes entrailles ont frémi à cause de lui.
5Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé ;
Et de mes mains a découlé la myrrhe,
De mes doigts, la myrrhe s'est répandue
Sur la poignée du verrou.
6 # Ct 3.1. J'ai ouvert à mon bien-aimé ;
Mais mon bien-aimé avait tourné le dos, il était passé.
Ses paroles#5.6 Ses paroles. Litt. : Son parler. La racine du verbe parler a parfois un autre sens, celui de se mouvoir. D'où la traduction proposée par certains : sa fuite. me faisaient rendre l'âme.
Je l'ai cherché et ne l'ai pas trouvé#5.6 trouvé. Comp. 3.1 et suiv. ;
Je l'ai appelé, et il ne m'a pas répondu.
7Les gardes qui font le tour de la ville m'ont rencontrée ;
Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée,
Ils m'ont enlevé ma mantille, les gardes des murailles.
8 # Ct 3.5. Je vous en conjure, filles de Jérusalem#5.8 Jérusalem. Mêmes termes qu'en 2.7 et 3.5, mais ils étaient alors dans la bouche du fiancé.,
Si vous trouvez mon bien-aimé
Que lui direz-vous ? …
Que je suis malade d'amour.
9– Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre,
Ô la plus belle des femmes ?
Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre,
Pour que tu nous conjures ainsi ?
10– Mon bien-aimé est blanc et vermeil#5.10 vermeil. Litt. : rouge. Comp. Lm 4.7. ;
Il se signale entre dix mille.
11Sa tête est de l'or pur,
Ses boucles sont flottantes,
Noires comme le corbeau.
12 # Ct 1.15 ; 4.1. Ses yeux sont comme des colombes#5.12 colombes. Comp. 1.15 ; 4.1.
Près des courants d'eau,
Se baignant dans le lait,
Reposant au sein de l'abondance.
13Ses joues sont comme un parterre d'aromates,
Des tours parfumées ;
Ses lèvres sont des lis
D'où découle la myrrhe répandue.
14Ses mains sont des anneaux d'or
Garnis de chrysolithe#5.14 chrysolithe. Voir Ez 1.16 et note. ;
Son corps#5.14 Son corps. Litt. : ses entrailles. est de l'ivoire poli
Couvert de saphirs ;
15Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc
Posées#5.15 Posées. Litt. : fondées. sur des bases d'or pur.
Son aspect est comme le Liban,
Il se distingue comme les cèdres.
16Son palais n'est que douceur,
Et toute sa personne est désirable.
Tel est mon bien-aimé, tel est mon compagnon,
Filles de Jérusalem !

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