Les deux coupes 

Jeudi

Jésus désire partager cette dernière Pâque avec ses disciples. Il leur annonce qu’il va souffrir (mourir).

Par l’institution de la Sainte-Cène Jésus explique à ses disciples la signification de la cérémonie du pain et du vin. Le pain représente le corps de Christ et le vin, le sang de Christ versé pour nos péchés. Par le sang de Christ, Jésus établit donc une Nouvelle Alliance avec ses disciples. L’acte de la Cène doit nous rappeler cela : "Faites ceci en mémoire de moi". Cette coupe est le signe de cette Nouvelle Alliance avec lui.

Relevons encore ceci :

" Le fils de l’homme s’en va, selon ce qui est déterminé ; mais malheur à cet homme-là par qui il est livré". Cela souligne à la fois la souveraineté de Dieu et la responsabilité de l’homme qui doit assumer les conséquences de ses actes. L’un n’exclut pas l’autre.

A Gethsémané il est question d’une deuxième  coupe : celle de la colère de Dieu envers le péché. Là c’est Jésus seul qui dut prendre cette douloureuse coupe, à notre place, puisque lui était sans péché. 

•     Sommes-nous toujours conscients du sacrifice de Jésus envers nous ? 
•     Pour pouvoir nous bénir, Jésus dut prendre la coupe de la colère de Dieu envers le péché. 
•     Qu’est-ce que cela suscite en nous ?

Seigneur, merci parce que tu n’as pas écarté cette coupe de douleur, tu es allé jusqu’au bout, afin que nous puissions être réconciliés avec Dieu le Père.