Jésus a accompli votre guérison en souffrant à la croix à votre place

Dans l’Ancien Testament, des agneaux étaient offerts à Dieu pour le pardon des péchés. La personne mettait sa main sur la tête de l’animal, signe que celui-ci prenait sa place. Puis on égorgeait la bête et son sang versé servait à couvrir le péché de la personne. Un agneau boiteux, aveugle ou blessé n’était pas acceptable, il devait être sans défaut. Lors de la cérémonie, l’animal n’était ni blessé, ni fouetté et sa mort était rapide. Le seul but du sacrifice était de verser le sang et de sacrifier une vie innocente.

Jésus a versé son sang pour nos péchés. Une mort sans souffrance n’aurait-elle pas suffi ? Pourquoi avoir le dos déchiqueté par le fouet romain ? Pourquoi avoir la barbe arrachée et être frappé au point d’être défiguré ? Pourquoi être couronné d’épines ? Pourquoi mourir crucifié, étouffé après une longue agonie ? 

Verser le sang de Jésus pour le pardon de nos péchés aurait été suffisant si Dieu avait uniquement voulu sauver nos âmes, mais il voulait aussi nous guérir. Si Jésus a souffert, s’il a été blessé et torturé, c’est pour que nous soyons guéris. C’est pour cela que la Bible distingue d’un côté le sang de Jésus qui nous pardonne et de l’autre ses meurtrissures qui nous guérissent. 

L’apôtre Pierre, comme Ésaïe, associe étroitement le salut et la guérison. Il les considère tous deux comme accomplis par Jésus à la croix.

Si donc vous vous posez la question : "Comment savoir si Dieu veut guérir ?", considérez la croix. Jésus y a déjà porté la maladie et la souffrance. La guérison des malades, c’est l’idée de Dieu. C’est par grâce que nous sommes sauvés et c’est par grâce aussi que nous sommes guéris, par le moyen de la foi dans le sacrifice complet et accompli de Jésus. Cette grâce est disponible pour tous, tous ceux qui touchaient Jésus étaient guéris.

Je vous invite à prier maintenant avec moi :

 « Merci Jésus d’avoir donné ta vie pour me sauver et d’avoir souffert pour me guérir. Je place ma foi dans tes souffrances pour moi et je reçois ta guérison. »

David Théry

Des enseignements pratiques pour expérimenter Dieu