En finir avec la peur, par Éric CélérierSample

Avez-vous peur de Dieu ?

Nous sommes dans le jardin d'Éden… juste après la chute. La femme et l'homme viennent de désobéir à Dieu, donc de pécher contre lui. Ils ont mangé de ce fruit qui leur avait été défendu. La communion avec Dieu est brisée. Ce péché, le premier, amène la séparation, la division et, l'aviez-vous remarqué,… la peur. La première fois que nous entendons parler de la peur dans la Bible, c'est à ce moment là : après la chute.

"Adam répondit : « J'ai entendu ta voix dans le jardin et j'ai eu peur, parce que j’étais nu. Alors je me suis caché. »"

Pourquoi Adam a-t-il eu peur ? La prise de conscience de sa nudité et de sa désobéissance a fait naître la crainte. Pire, cela le conduit à se cacher de son Dieu. À se cacher de celui qui l'a créé, l'a aimé et a pris soin de lui. De celui avec lequel il était en communion et en dialogue chaque jour !

Lorsque nous avons peur de Dieu, nous fuyons sa présence. Pourtant, c'est dans sa présence que nous recevons le pardon, la grâce, la force d'avancer et de faire face à ce qui présente devant nous.

Peut-être que la culpabilité vous retient de vous approcher de votre Père… pourtant, Il vous attend les bras ouverts, comme le père du fils prodigue. Il vous attend sur le pas de la porte de votre cœur. Ouvrez-lui. Laissez-le entrer et restaurer votre âme, votre esprit, votre vie.

Dieu vous aime et si vous avez besoin de pardon et que vous le demandez, il vous pardonnera. Je ne connais pas votre vie, votre cœur. Mais aujourd'hui, si vous sentez ce doux appel du ciel, alors répondez… Invitez le Saint-Esprit à sonder votre cœur et votre esprit. Le voulez-vous ? Si oui priez avec moi...

"Seigneur, parfois j'ai de l'appréhension à venir dans ta présence, à te parler… parce que je me sens coupable, insignifiant(e)... Je te demande humblement de me montrer, par ton Saint-Esprit, ce qui m'empêche de m'approcher de toi avec confiance. Révèle-le moi et aide moi à m'en débarrasser. Au nom de Jésus. Amen."

Je remercie Dieu pour vous,

Eric Célérier