Jenèz 37:28-35
Jenèz 37:28-35 1998 Haïtienne (HAT98)
Lè machann Madyan yo vin ap pase, yo rale Jozèf moute sot nan pi a. Yo vann li ak moun Izmayèl yo pou ven pyès lajan. Moun Izmayèl yo menm mennen l nan peyi Lejip. Lè Riben tounen nan pi a, li pa jwenn Jozèf. Sa te fè li lapenn anpil anpil. Li chire rad sou li sitèlman li te boulvèse. Li tounen al jwenn frè li yo, li di yo: — Ti gason an pa nan pi a non! Kisa m pral fè kounyeya? Yo touye yon bouk kabrit, yo pran bèl varèz Jozèf la, yo tranpe l nan san an. Yo voye varèz la bay papa yo ak komisyon sa a: — Men sa nou jwenn. Gade wè si se pa varèz pitit gason ou lan. Jakòb rekonèt rad la, li di: — Men wi, se varèz pitit gason m lan. Se yon bèt nan bwa ki devore l. Bèt la dechèpiye l nèt. Sa ou tande a, yon sèl lapenn trape Jakòb! Li dechire tout rad sou li tank kè li t'ap fann. Li pran sak, li mare ren li epi li pran dèy pou pitit la. Tout lòt gason l yo ansanm ak pitit fi l yo te vin ba l kouray, men li te refize tande sa yo t'ap di l. Li t'ap plede repete: — M'ap kriye pou pitit gason m lan jouk mal jwenn li lè m'a mouri. Se konsa li t'ap kriye pou pitit gason l lan.
Jenèz 37:28-35 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Des commerçants du pays de Madian passent par là. Ils retirent Joseph du puits et le vendent aux Ismaélites pour 20 pièces d’argent. Les Ismaélites emmènent Joseph en Égypte. Quand Ruben revient près du puits, Joseph n’y est plus. Alors il déchire ses vêtements. Il revient vers ses frères en disant : « L’enfant n’est plus là. Et moi, qu’est-ce que je vais devenir maintenant ? » Les frères tuent un bouc, ils prennent le vêtement de Joseph et ils le trempent dans le sang. Ils envoient le beau vêtement à leur père avec ce message : « Nous avons trouvé ceci. Regarde bien si c’est le vêtement de ton fils, oui ou non. » Jacob reconnaît le vêtement et dit : « C’est le vêtement de mon fils ! Une bête sauvage a déchiré Joseph et l’a dévoré ! » Jacob déchire ses vêtements, il met un habit de deuil et il pleure son fils pendant des jours et des jours. Tous ses fils et ses filles viennent pour le consoler. Mais il refuse de se laisser consoler. En effet, il dit : « Je serai encore en deuil quand je descendrai vers mon fils dans le monde des morts. » Et Jacob n’arrête pas de pleurer.
Jenèz 37:28-35 New International Version (NIV)
So when the Midianite merchants came by, his brothers pulled Joseph up out of the cistern and sold him for twenty shekels of silver to the Ishmaelites, who took him to Egypt. When Reuben returned to the cistern and saw that Joseph was not there, he tore his clothes. He went back to his brothers and said, “The boy isn’t there! Where can I turn now?” Then they got Joseph’s robe, slaughtered a goat and dipped the robe in the blood. They took the ornate robe back to their father and said, “We found this. Examine it to see whether it is your son’s robe.” He recognized it and said, “It is my son’s robe! Some ferocious animal has devoured him. Joseph has surely been torn to pieces.” Then Jacob tore his clothes, put on sackcloth and mourned for his son many days. All his sons and daughters came to comfort him, but he refused to be comforted. “No,” he said, “I will continue to mourn until I join my son in the grave.” So his father wept for him.
Jenèz 37:28-35 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
et, lorsque les marchands madianites passèrent, ils hissèrent Joseph hors de la citerne et le vendirent aux Ismaélites pour vingt pièces d’argent. Ceux-ci l’emmenèrent en Egypte. Quand Ruben retourna à la citerne, il n’y trouva plus Joseph. Alors il déchira ses vêtements en signe de désespoir, il alla trouver ses frères et leur dit : Le garçon n’y est plus ! Que vais-je faire maintenant ? Alors ils égorgèrent un bouc, prirent la tunique de Joseph et la trempèrent dans le sang du bouc. Ils envoyèrent la tunique splendide à leur père en disant : Voici ce que nous avons trouvé. Reconnais-tu ou non la tunique de ton fils ? Jacob la reconnut et s’écria : La tunique de mon fils ! Une bête féroce l’a dévoré ! Joseph a été mis en pièces ! Alors il déchira ses vêtements et mit un tissu de sac sur ses reins. Il porta longtemps le deuil de son fils. Tous ses fils et toutes ses filles vinrent pour le consoler ; mais il refusa toute consolation et dit : Non ! c’est dans le deuil que je rejoindrai mon fils au séjour des morts ! Et il continua à pleurer Joseph.