Cantiques 6

6
Le chœur
1« Où est allé ton bien-aimé,
ô toi la plus belle des femmes ?
De quel côté s’est-il tourné, ╵ton bien-aimé ?
Nous t’aiderons à le chercher. »
Le lien de l’amour
2« Mon bien-aimé ╵est descendu dans son jardin,
vers ses parterres d’aromates,
afin de paître ╵dans les jardins
et d’y cueillir des lis.
3Moi, je suis à mon bien-aimé ╵et mon bien-aimé est à moi,
il paît parmi les lis#6.3 Voir 2.16 ; 7.11.. »
La plus belle de toutes#6.4 Dans 6.4-10, le rythme de la traduction accentue les 1re, 4e et 7e syllabes.
4« Que tu es belle, ╵ô mon amie, ╵comme Tirtsa#6.4 Tirtsa: ancienne ville cananéenne du centre du pays (Jos 12.24), choisie par Jéroboam Ier (930 à 909 av. J.-C.) comme la première capitale du royaume du Nord (1 R 14.17). Son nom signifie « plaisir, beauté »..
Tu es superbe ╵comme Jérusalem,
et redoutable comme des soldats
rangés sous leur bannière.
5Détourne de moi tes yeux, ╵car ils me troublent,
ta chevelure ╵est comme un troupeau de chèvres
dévalant le mont Galaad.
6Tes dents ressemblent ╵à un troupeau de brebis
qui reviendrait du lavoir.
Chacune d’elles ╵a sa jumelle,
aucune n’est solitaire.
7Et tes tempes ressemblent ╵à des moitiés de grenades
dessous ton voile.
8Les reines sont soixante
et quatre-vingts ╵les épouses de second rang,
les jeunes filles sont sans nombre.
9Mais elle, ma colombe, ╵ma parfaite est unique.
Elle est unique pour sa mère, la préférée ╵de celle qui l’a enfantée.
Les jeunes filles, ╵en la voyant, ╵la disent bienheureuse.
Toutes les reines, ╵et les épouses ╵de second rang ╵font son éloge. »
Le chœur
10« Qui donc est celle ╵qui apparaît ╵comme l’aurore
et qui est belle ╵comme la lune, ╵brillante comme le soleil
et redoutable comme des soldats
rangés sous leur bannière#6.10 D’autres comprennent : comme ces astres admirables.  ? »
Poussée par le désir
11« Je venais de descendre ╵au jardin des noyers
pour regarder les pousses ╵dans le vallon
et pour voir si la vigne ╵avait déjà fleuri,
et si les grenadiers ╵étaient déjà en fleurs.
12Je ne sais pas comment ╵je me suis retrouvée, ╵poussée par mon désir,
au beau milieu des chars ╵des hommes de mon prince#6.12 La traduction de ce verset est difficile. En adoptant un autre découpage et une autre vocalisation de certains mots hébreux que ceux du texte hébreu traditionnel, on obtient : mais je ne me reconnais plus ! Il m’intimide bien que je sois la fille de nobles gens (voir 7.2 où se retrouve la même expression, traduite : fille de prince).. »

Chwazi Kounye ya:

Cantiques 6: BDS

Pati Souliye

Pataje

Kopye

None

Ou vle gen souliye ou yo sere sou tout aparèy ou yo? Enskri oswa konekte