Cantique des Cantiques 6:1-9
Cantique des Cantiques 6:1-9 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s’est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi. Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d’aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis. Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad. Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l’abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d’elles n’est stérile. Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile… Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre. Une seule est ma colombe, ma parfaite; Elle est l’unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent.
Cantique des Cantiques 6:1-9 Bible J.N. Darby (JND)
Où est allé ton bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes ? De quel côté ton bien-aimé s’est-il tourné ? et nous le chercherons avec toi. Mon bien-aimé est descendu dans son jardin, aux parterres des aromates, pour paître dans les jardins et pour cueillir des lis. Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; il paît parmi les lis. Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, agréable comme Jérusalem, redoutable comme des troupes sous leurs bannières. Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres sur les pentes de Galaad ; tes dents, comme un troupeau de brebis qui montent du lavoir, qui toutes ont des jumeaux, et pas une d’elles n’est stérile ; ta joue est comme un quartier de grenade derrière ton voile. Il y a 60 reines, et 80 concubines, et des jeunes filles sans nombre : ma colombe, ma parfaite, est unique ; elle est l’unique de sa mère, la choisie de celle qui l’a enfantée. Les filles l’ont vue, et l’ont dite bienheureuse ; les reines aussi et les concubines, et elles l’ont louée.
Cantique des Cantiques 6:1-9 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Celui que tu aimes, toi la plus belle des femmes, où est-il allé ? De quel côté est-il parti ? Nous allons le chercher avec toi. Celui que j’aime est descendu dans son jardin, vers les fleurs parfumées. Là, il trouve sa nourriture et cueille des lys. Moi, je suis à celui que j’aime, et celui que j’aime est à moi. Il conduit son troupeau parmi les lys en fleurs. Tu es belle, mon amie, comme la ville de Tirsa. Tu es charmante comme Jérusalem, terrible comme une armée au combat. Ne me regarde plus : tes yeux me troublent. Tes longs cheveux ressemblent à un troupeau de chèvres descendant du mont Galaad. Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent de la source. Toutes ont leur sœur jumelle, et aucune ne manque. Derrière ton voile, tes joues ressemblent à deux tranches de fruit rouge. Le roi peut bien avoir soixante reines, quatre-vingts maîtresses et de nombreuses jeunes filles. Pour moi, il n’y a qu’une femme au monde. C’est ma colombe , ma parfaite. Elle est la seule fille de sa mère et son enfant préférée. Les jeunes filles la voient et disent son bonheur. Les reines et les maîtresses du roi chantent ainsi ses louanges
Cantique des Cantiques 6:1-9 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi. Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d'aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis. Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad. Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l'abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d'elles n'est stérile. Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre. Une seule est ma colombe, ma parfaite; Elle est l'unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent.
Cantique des Cantiques 6:1-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
« Où est allé ton bien-aimé, ô toi la plus belle des femmes ? De quel côté s’est-il tourné, ╵ton bien-aimé ? Nous t’aiderons à le chercher. » « Mon bien-aimé ╵est descendu dans son jardin, vers ses parterres d’aromates, afin de paître ╵dans les jardins et d’y cueillir des lis. Moi, je suis à mon bien-aimé ╵et mon bien-aimé est à moi, il paît parmi les lis. » « Que tu es belle, ╵ô mon amie, ╵comme Tirtsa. Tu es superbe ╵comme Jérusalem, et redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière. Détourne de moi tes yeux, ╵car ils me troublent, ta chevelure ╵est comme un troupeau de chèvres dévalant le mont Galaad. Tes dents ressemblent ╵à un troupeau de brebis qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles ╵a sa jumelle, aucune n’est solitaire. Et tes tempes ressemblent ╵à des moitiés de grenades dessous ton voile. Les reines sont soixante et quatre-vingts ╵les épouses de second rang, les jeunes filles sont sans nombre. Mais elle, ma colombe, ╵ma parfaite est unique. Elle est unique pour sa mère, la préférée ╵de celle qui l’a enfantée. Les jeunes filles, ╵en la voyant, ╵la disent bienheureuse. Toutes les reines, ╵et les épouses ╵de second rang ╵font son éloge. »
Cantique des Cantiques 6:1-9 Bible Segond 21 (S21)
Où est allé ton bien-aimé, toi la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi. Mon bien-aimé est descendu à son jardin, au parterre d'aromates, pour prendre soin de son troupeau dans les jardins et pour cueillir des lis. Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il a conduit son troupeau parmi les lis. Tu es aussi belle que Thirtsa, mon amie, aussi charmante que Jérusalem, aussi majestueuse que des troupes sous leurs étendards. Détourne ton regard de moi, car il me trouble! Tes cheveux sont pareils à un troupeau de chèvres bondissant sur les montagnes de Galaad. Tes dents sont comme un troupeau de brebis qui remontent du lavoir: chacune a sa jumelle, aucune d'elles n'est seule. Ta joue est comme une moitié de grenade derrière ton voile. Il peut y avoir 60 reines, 80 concubines et des jeunes filles en quantité incalculable, ma colombe, ma parfaite, est unique. Elle est unique pour sa mère, elle est la préférée de celle qui lui a donné le jour. Les filles la voient et la disent heureuse, les reines et les concubines aussi, et elles font son éloge.
Cantique des Cantiques 6:1-9 Bible en français courant (BFC)
Dis-nous, la belle, où est-il allé, ton amoureux? Quelle direction a-t-il prise? Nous voulons le chercher avec toi. Mon bien-aimé descendra à son jardin, à ses plates-bandes odorantes, pour y trouver sa pâture et y cueillir les anémones. Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi. Il trouve sa pâture là où poussent les anémones. Tu es belle, ma tendre amie, comme la cité de Tirsa-la-Jolie, ravissante comme Jérusalem, troublante comme un mirage. Détourne un peu les yeux, car ton regard me trouble. Tes cheveux évoquent un troupeau de chèvres dévalant du mont Galaad. Tes dents me font penser à un troupeau de brebis qui remontent du point d'eau. Chacune a sa sœur jumelle, aucune ne manque à l'appel. Derrière ton voile tes pommettes ont la rougeur d'une tranche de grenade. Le roi peut bien avoir soixante reines, quatre-vingts concubines et des jeunes femmes sans nombre, pour moi il n'y a qu'une femme au monde, c'est ma colombe, c'est mon trésor, seule fille de sa mère et son enfant préférée. Les autres femmes, en la voyant, vantent son bonheur. Reines et concubines du roi font d'elle cet éloge