Romains 4:8-25
Romains 4:8-25 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Voici l’homme heureux : le Seigneur ne tient pas compte de sa faute. » Est-ce que ce bonheur est seulement pour les Juifs, ou bien est-ce qu’il est aussi pour les autres peuples ? Nous avons dit : « Abraham a cru en Dieu, alors Dieu l’a reconnu comme juste en tenant compte de sa foi. » Mais quand Dieu l’a-t-il reconnu comme juste ? Après sa circoncision ou avant ? Non pas après, mais avant ! Avant d’être circoncis, Abraham était juste parce qu’il croyait en Dieu. Ensuite seulement, il a reçu la marque de la circoncision. Celle-ci montrait que Dieu le reconnaissait comme juste à cause de sa foi. De cette façon, Abraham est devenu le père de tous ceux qui croient en Dieu, même s’ils ne sont pas circoncis. Ceux-là, Dieu les reconnaît comme justes. Abraham est devenu aussi le père des circoncis. Je veux parler de ceux qui ne sont pas seulement circoncis dans leur corps, mais qui suivent en même temps l’exemple de notre père Abraham : lui, il a cru en Dieu avant d’être circoncis. Dieu a promis à Abraham, et à ceux qui allaient naître de lui, qu’ils recevraient la terre. Mais cette promesse, Dieu ne l’a pas faite parce qu’Abraham a obéi à la loi. Il l’a faite parce qu’il a reconnu Abraham comme juste à cause de sa foi. Si les biens promis étaient seulement pour ceux qui obéissent à la loi, la foi ne servirait à rien, et la promesse de Dieu n’aurait plus de valeur. En effet, la loi produit la colère de Dieu, mais quand il n’y a pas de loi, on ne peut pas désobéir à la loi. Pour cette raison, c’est en croyant qu’on reçoit les biens promis, et c’est vraiment un don gratuit. Alors la promesse est valable pour tous ceux qui sont nés d’Abraham. Elle est valable, non seulement pour ceux qui sont soumis à la loi, mais également pour ceux qui croient comme Abraham, notre père à tous. Oui, les Livres Saints le disent : « J’ai fait de toi le père de beaucoup de peuples. » Abraham est notre père devant Dieu en qui il a cru. C’est le Dieu qui donne la vie aux morts et qui appelle à exister ce qui n’existe pas encore. Il n’y avait plus d’espoir, et pourtant Abraham a espéré. Il a cru en Dieu et pour cela, il est devenu « le père de beaucoup de peuples ». Les Livres Saints le disent : « Ceux qui vont naître de toi seront très nombreux. » La foi d’Abraham est restée solide, pourtant il avait à peu près 100 ans. Et il le savait : son corps était déjà comme mort et Sara ne pouvait pas avoir d’enfant. Devant la promesse de Dieu, il n’a pas manqué de confiance. Au contraire, sa foi l’a rempli de force, et il a rendu gloire à Dieu. Il était sûr d’une chose : ce que Dieu a promis, il est assez puissant pour le faire. C’est pourquoi Dieu a reconnu Abraham comme juste . Quand les Livres Saints disent : « Dieu l’a reconnu comme juste », ces paroles ne sont pas pour Abraham seulement. Elles sont aussi pour nous, et Dieu tiendra compte de notre foi. En effet, nous croyons en lui, qui a réveillé Jésus notre Seigneur de la mort. Jésus a été livré à cause de nos fautes, mais Dieu l’a réveillé de la mort pour nous rendre justes.
Romains 4:8-25 Bible J.N. Darby (JND)
bienheureux l’homme à qui le ✶Seigneur ne compte point le péché ». Cette béatitude donc [vient-elle] sur la circoncision ou aussi sur l’incirconcision ? Car nous disons que la foi fut comptée à Abraham à justice. Comment donc lui fut-elle comptée ? quand il était dans la circoncision, ou dans l’incirconcision ? – Non pas dans la circoncision, mais dans l’incirconcision. Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice de la foi qu’[il avait] dans l’incirconcision, pour qu’il soit le père de tous ceux qui croient étant dans l’incirconcision, pour que la justice leur soit aussi comptée, et qu’il soit père de circoncision, non seulement pour ceux qui sont de la circoncision, mais aussi pour ceux qui marchent sur les traces de la foi qu’a eue notre père Abraham, dans l’incirconcision. Car ce n’est pas par [la] loi que la promesse d’être héritier du monde [a été faite] à Abraham ou à sa semence, mais par [la] justice de [la] foi. Car si ceux qui sont du principe de [la] loi sont héritiers, la foi est rendue vaine et la promesse annulée ; car [la] loi produit la colère, mais là où il n’y a pas de loi, il n’y a pas non plus de transgression. Pour cette raison, [c’est] sur le principe de [la] foi, afin que [ce soit] selon [la] grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la semence, non seulement à celle qui est de la loi, mais aussi à celle qui est de la foi d’Abraham, lequel est père de nous tous (selon qu’il est écrit : « Je t’ai établi père de plusieurs nations »), devant DIEU qu’il a cru, – qui fait vivre les morts et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient, – qui, contre espérance, crut avec espérance, pour devenir père de plusieurs nations, selon ce qui a été dit : « Ainsi sera ta semence ». Et n’étant pas faible dans la foi, il n’eut pas égard à son propre corps déjà amorti, âgé qu’il était d’environ 100 ans, ni à l’état de mort du sein de Sara ; et il ne forma point de doute sur la promesse de DIEU par incrédulité, mais il fut fortifié dans la foi, donnant gloire à DIEU, et étant pleinement persuadé que ce qu’il a promis, il est puissant aussi pour l’accomplir. C’est pourquoi aussi cela lui a été compté à justice. Or ce n’est pas pour lui seul qu’il a été écrit que cela lui a été compté, mais aussi pour nous, à qui il sera compté, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité d’entre les morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification.
Romains 4:8-25 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Heureux l'homme à qui le Seigneur n'impute pas son péché! Ce bonheur n'est-il que pour les circoncis, ou est-il également pour les incirconcis? Car nous disons que la foi fut imputée à justice à Abraham. Quand donc lui fut-elle imputée? Etait-ce après, ou avant sa circoncision? Il n'était pas encore circoncis, il était incirconcis. Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice qu'il avait obtenue par la foi quand il était incirconcis, afin d'être le père de tous les incirconcis qui croient, pour que la justice leur soit aussi imputée, et le père des circoncis, qui ne sont pas seulement circoncis, mais encore qui marchent sur les traces de la foi de notre père Abraham quand il était incirconcis. En effet, ce n'est pas par la loi que l'héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité, c'est par la justice de la foi. Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est annulée, car la loi produit la colère, et là où il n'y a point de loi, il n'y a point non plus de transgression. C'est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d'Abraham, notre père à tous, selon qu'il est écrit: Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. Espérant contre toute espérance, il crut et devint ainsi le père d'un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité. Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de cent ans, et que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants. Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine conviction que ce qu'il promet il peut aussi l'accomplir. C'est pourquoi cela lui fut imputé à justice. Mais ce n'est pas à cause de lui seul qu'il est écrit que cela lui fut imputé; c'est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, qui a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.
Romains 4:8-25 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Il est béni, l’homme au compte de qui le Seigneur ne porte pas le péché ! Cette bénédiction est-elle réservée aux seuls circoncis, ou est-elle aussi accessible aux incirconcis ? Nous venons de le dire : Dieu a porté la foi d’Abraham à son crédit pour le déclarer juste. A quel moment cela a-t-il eu lieu ? Quand Abraham était circoncis ou quand il était encore incirconcis ? Ce n’est pas quand il était circoncis, mais quand il ne l’était pas encore. Et Dieu lui donna ensuite le signe de la circoncision comme sceau de la justice qu’il avait déjà reçue par la foi avant d’être circoncis. Il est devenu ainsi le père de tous ceux qui croient sans être circoncis pour qu’eux aussi soient déclarés justes par Dieu de la même manière. Il est aussi devenu le père des circoncis qui ne se contentent pas d’avoir la circoncision, mais qui suivent l’exemple de la foi que notre père Abraham a manifestée alors qu’il était encore incirconcis. Car la promesse de recevoir le monde en héritage a été faite à Abraham ou à sa descendance non parce qu’il avait obéi à la Loi, mais parce que Dieu l’a déclaré juste à cause de sa foi. En effet, s’il faut être sous le régime de la Loi pour avoir droit à cet héritage, alors la foi n’a plus de sens et la promesse est annulée. Car la Loi produit la colère de Dieu. Or, là où il n’y a pas de Loi, il n’y a pas non plus de transgression. Voilà pourquoi l’héritage se reçoit par la foi : c’est pour qu’il soit un don de la grâce. Ainsi, la promesse se trouve confirmée à toute la descendance d’Abraham, c’est-à-dire non seulement à celle qui a la Loi, mais aussi à celle qui partage la foi d’Abraham. Il est notre père à tous, comme le dit l’Ecriture : Je t’ai établi pour être le père d’une multitude de peuples . Placé en présence de Dieu, il mit sa confiance en celui qui donne la vie aux morts et appelle à l’existence ce qui n’existe pas. Alors que tout portait au contraire, il a eu confiance, plein d’espérance. Ainsi il est devenu le père d’une multitude de peuples conformément à ce que Dieu lui avait dit : Tes descendants seront nombreux . Bien qu’il considéra son corps, qui était comme mort – il avait presque cent ans – et celui de Sara, qui ne pouvait plus donner la vie, sa foi ne faiblit pas. Au contraire : loin de mettre en doute la promesse et de refuser de croire, il trouva sa force dans la foi, en reconnaissant la grandeur de Dieu et en étant absolument persuadé que Dieu est capable d’accomplir ce qu’il a promis. C’est pourquoi, Dieu l’a déclaré juste en portant sa foi à son crédit . Or si cette parole : Dieu a porté sa foi à son crédit a été consignée dans l’Ecriture, ce n’est pas seulement pour Abraham. Elle nous concerne nous aussi. Car la foi sera aussi portée à notre crédit, à nous qui plaçons notre confiance en celui qui a ressuscité Jésus notre Seigneur ; il a été livré pour nos fautes, et il est ressuscité pour que nous soyons déclarés justes.
Romains 4:8-25 Bible Segond 21 (S21)
heureux l'homme à qui le Seigneur ne tient pas compte de son péché! Ce bonheur n'est-il que pour les circoncis, ou bien est-il également pour les incirconcis? En effet, nous disons que la foi d'Abraham lui a été comptée comme justice. Quand donc a-t-elle été portée à son compte? Etait-ce après ou avant sa circoncision? Ce n'était pas après sa circoncision, mais bien alors qu'il était incirconcis. Et il a reçu le signe de la circoncision comme le gage de la justice qu'il avait obtenue par la foi alors qu'il était incirconcis. Il est ainsi le père de tous les incirconcis qui croient, afin que la justice soit aussi portée à leur compte. Il est aussi le père des circoncis qui ne se contentent pas d’être circoncis mais qui marchent aussi sur les traces de la foi de notre ancêtre Abraham quand il était encore incirconcis. En effet, ce n'est pas par la loi que la promesse de recevoir le monde en héritage a été faite à Abraham ou à sa descendance, mais c'est par la justice de la foi, car si l'on devient héritier par la loi, la foi est dépourvue de sens et la promesse sans effets. En fait, la loi produit la colère de Dieu, puisque là où il n'y a pas de loi, il n'y a pas non plus de transgression. C'est donc par la foi que l'on devient héritier, pour que ce soit par grâce et que la promesse soit assurée à toute la descendance, non seulement à celle qui dépend de la loi, mais aussi à celle qui a la foi d'Abraham. En effet, Abraham est notre père à tous, comme cela est d’ailleurs écrit: Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant le Dieu en qui il a cru, le Dieu qui donne la vie aux morts et appelle ce qui n'existe pas à l'existence. Espérant contre toute espérance, Abraham a cru et est ainsi devenu le père d'un grand nombre de nations, conformément à ce qui lui avait été dit: Telle sera ta descendance. Sans faiblir dans la foi, il n’a pas considéré que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de 100 ans, ni que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants. Il n’a pas douté, par incrédulité, de la promesse de Dieu, mais il a été fortifié par la foi et il a rendu gloire à Dieu, car il avait la pleine conviction que ce que Dieu promet, il peut aussi l'accomplir. C'est pourquoi cela lui a été compté comme justice. Or ce n'est pas pour lui seulement qu'il est écrit que la foi a été portée à son compte, mais c'est aussi pour nous. Elle sera portée à notre compte, puisque nous croyons en celui qui a ressuscité Jésus notre Seigneur, lui qui a été donné à cause de nos fautes et qui est ressuscité à cause de notre justification.
Romains 4:8-25 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Heureux l’homme à qui le Seigneur n’impute pas son péché! Ce bonheur n’est-il que pour les circoncis, ou est-il également pour les incirconcis? Car nous disons que la foi fut imputée à justice à Abraham. Comment donc lui fut-elle imputée? Était-ce après, ou avant sa circoncision? Il n’était pas encore circoncis, il était incirconcis. Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice qu’il avait obtenue par la foi quand il était incirconcis, afin d’être le père de tous les incirconcis qui croient, pour que la justice leur fût aussi imputée, et le père des circoncis, qui ne sont pas seulement circoncis, mais encore qui marchent sur les traces de la foi de notre père Abraham quand il était incirconcis. En effet, ce n’est pas par la loi que l’héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité, c’est par la justice de la foi. Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est anéantie, parce que la loi produit la colère, et que là où il n’y a point de loi il n’y a point non plus de transgression. C’est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d’Abraham, notre père à tous, selon qu’il est écrit: Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité. Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants. Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir. C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice. Mais ce n’est pas à cause de lui seul qu’il est écrit que cela lui fut imputé; c’est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification.
Romains 4:8-25 Bible en français courant (BFC)
Heureux l'homme à qui le Seigneur ne compte pas son péché!» Ce bonheur existe-t-il seulement pour les hommes circoncis ou aussi pour les non-circoncis? Eh bien, nous venons de dire que «Dieu considéra Abraham comme juste en tenant compte de sa foi». Quand cela s'est-il passé? Après qu'Abraham eut été circoncis ou avant? Non pas après, mais avant. Abraham reçut plus tard la circoncision comme un signe: c'était la marque indiquant que Dieu l'avait considéré comme juste à cause de sa foi, alors qu'il était encore incirconcis. Abraham est ainsi devenu le père de tous ceux qui croient en Dieu sans être circoncis et que Dieu considère eux aussi comme justes. Il est également le père de ceux qui sont circoncis, c'est-à-dire de ceux qui ne se contentent pas de l'être, mais suivent l'exemple de la foi qu'a eue notre père Abraham avant d'être circoncis. Dieu a promis à Abraham et à ses descendants qu'ils recevraient le monde. Cette promesse a été faite non parce qu'Abraham avait obéi à la loi, mais parce que Dieu l'a considéré comme juste à cause de sa foi. Si ceux qui obéissent à la loi étaient les seuls à recevoir les biens promis, alors la foi serait inutile et la promesse de Dieu n'aurait plus de sens. En effet, la loi provoque la colère de Dieu; mais là où il n'y a pas de loi, il n'y a pas non plus de désobéissance à la loi. Ainsi, la promesse a été faite à cause de la foi, afin que ce soit un don gratuit de Dieu et qu'elle soit valable pour tous les descendants d'Abraham, non pas seulement pour ceux qui obéissent à la loi mais aussi pour ceux qui croient comme Abraham a cru. Abraham est notre père à tous, comme le déclare l'Écriture: «J'ai fait de toi l'ancêtre d'une foule de nations.» Il est notre père devant Dieu en qui il a cru, le Dieu qui rend la vie aux morts et fait exister ce qui n'existait pas. Abraham a cru et espéré, alors que tout espoir semblait vain, et il devint ainsi «l'ancêtre d'une foule de nations», selon ce que Dieu lui avait dit: «Tel sera le nombre de tes descendants.» Il avait environ cent ans, mais sa foi ne faiblit pas quand il pensa à son corps presque mourant et à Sara, sa femme, qui était stérile. Il ne perdit pas confiance et ne douta pas de la promesse de Dieu; au contraire, sa foi le fortifia et il loua Dieu. Il était absolument certain que Dieu a le pouvoir d'accomplir ce qu'il a promis. Voilà pourquoi il est dit d'Abraham que, à cause de sa foi, «Dieu l'a considéré comme juste». Mais ces mots «Dieu l'a considéré comme juste» n'ont pas été écrits pour lui seul. Ils ont été écrits aussi pour nous qui devons être considérés comme justes, nous qui croyons en Dieu qui a ramené d'entre les morts Jésus notre Seigneur. Il a été livré à la mort à cause de nos péchés et Dieu l'a ramené à la vie pour nous rendre justes devant lui.