Psaumes 84:2-4
Psaumes 84:2-4 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Comme j’aime ta maison, SEIGNEUR de l’univers ! Je meurs d’impatience en attendant d’entrer dans les cours de ton temple. Mon cœur et mon corps crient de joie vers le Dieu vivant. SEIGNEUR de l’univers, mon roi et mon Dieu, même le petit oiseau trouve un abri près de tes autels, et l’hirondelle peut faire un nid où mettre ses petits.
Psaumes 84:2-4 Bible J.N. Darby (JND)
Combien sont aimables tes demeures, ô ÉTERNEL des armées ! Mon âme désire, et même elle languit après les parvis de l’ÉTERNEL ; mon cœur et ma chair crient après le ✶DIEU vivant. Le passereau même a trouvé une maison, et l’hirondelle un nid pour elle, où elle a mis ses petits :… tes autels, ô ÉTERNEL des armées ! mon roi et mon DIEU !
Psaumes 84:2-4 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Que tes demeures sont aimables,Eternel des armées! Mon âme soupire et languit après les parvis de l'Eternel,Mon cœur et ma chair poussent des cris vers le Dieu vivant. Le passereau même trouve une maison,Et l'hirondelle un nid où elle dépose ses petits Tes autels, Eternel des armées! Mon roi et mon Dieu!
Psaumes 84:2-4 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Oh ! Comme tes demeures sont désirables ! Eternel, ╵Seigneur des armées célestes ! Je languis et je soupire, ╵Eternel, après tes parvis, mon être entier crie sa joie ╵vers le Dieu vivant. Le moineau découvre un gîte, l’hirondelle trouve un nid ╵où déposer ses petits, près de tes autels, ╵Eternel, ╵Seigneur des armées célestes, mon Roi et mon Dieu !
Psaumes 84:2-4 Bible Segond 21 (S21)
Combien tes résidences sont aimées, Eternel, maître de l’univers! Mon âme soupire et même languit après les parvis de l’Eternel. Tout mon être pousse des cris de joie vers le Dieu vivant. Même le moineau trouve une maison, et l’hirondelle un nid où elle dépose ses petits. Moi, je soupire après tes autels, Eternel, maître de l’univers, mon roi et mon Dieu!
Psaumes 84:2-4 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Que tes demeures sont aimables, Éternel des armées! Mon âme soupire et languit après les parvis de l’Éternel, Mon cœur et ma chair poussent des cris vers le Dieu vivant. Le passereau même trouve une maison, Et l’hirondelle un nid où elle dépose ses petits… Tes autels, Éternel des armées! Mon roi et mon Dieu!