Psaumes 69:10-13
Psaumes 69:10-13 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Oui, l’amour ardent que j’ai pour ta maison me brûle comme un feu, et les insultes de ceux qui t’insultent tombent sur moi. Quand je pleure et quand je jeûne, des gens m’insultent, quand je mets un habit de deuil, ils se moquent de moi. Ceux qui sont assis sur la place publique parlent contre moi, et les buveurs chantent des chansons sur moi.
Psaumes 69:10-13 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
L’amour que j’ai pour ta maison ╵est en moi comme un feu ╵qui me consume, et les insultes ╵des hommes qui t’insultent ╵sont retombées sur moi. Quand je pleure et je jeûne, je reçois des insultes. Je me revêts ╵d’une toile de sac, et je deviens pour eux ╵un objet de risée. Les gens qui sont assis ╵sur la place publique ╵aux portes de la ville, et les buveurs d’alcool ╵font de moi leur chanson.
Psaumes 69:10-13 Bible J.N. Darby (JND)
Car le zèle de ta maison m’a dévoré, et les outrages de ceux qui t’outragent sont tombés sur moi. Et j’ai pleuré, mon âme était dans le jeûne ; et cela m’a été en opprobre. J’ai pris aussi un sac pour mon vêtement, et je leur suis devenu un proverbe. Ceux qui sont assis dans la porte parlent contre moi, et je sers de chanson aux buveurs.
Psaumes 69:10-13 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Car le zèle de ta maison me dévore,Et les outrages de ceux qui t'insultent tombent sur moi. Je verse des larmes et je jeûne,Et c'est ce qui m'attire l'opprobre; Je prends un sac pour vêtement,Et je suis l'objet de leurs sarcasmes. Ceux qui sont assis à la porte parlent de moi,Et les buveurs de liqueurs fortes me mettent en chansons.
Psaumes 69:10-13 Bible Segond 21 (S21)
car *le zèle de ta maison me dévore, et *les injures de ceux qui t’insultent tombent sur moi. Je pleure et je jeûne, et c’est ce qui m’attire les insultes. Je prends un sac pour habit et je suis l’objet de leurs moqueries. Ceux qui sont assis à la porte parlent contre moi, et les buveurs de liqueurs fortes se moquent de moi dans leurs chansons.
Psaumes 69:10-13 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Car le zèle de ta maison me dévore, Et les outrages de ceux qui t’insultent tombent sur moi. Je verse des larmes et je jeûne, Et c’est ce qui m’attire l’opprobre; Je prends un sac pour vêtement, Et je suis l’objet de leurs sarcasmes. Ceux qui sont assis à la porte parlent de moi, Et les buveurs de liqueurs fortes me mettent en chansons.