Psaumes 35:12-14
Psaumes 35:12-14 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Ils me rendent le mal pour le bien:Mon âme est dans l'abandon. Et moi, quand ils étaient malades, je revêtais un sac,J'humiliais mon âme par le jeûne,Je priais, la tête penchée sur mon sein. Comme pour un ami, pour un frère, je me traînais lentement;Comme pour le deuil d'une mère, je me courbais avec tristesse.
Psaumes 35:12-14 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Ils me rendent le mal ╵pour le bien que j’ai fait. Je suis abandonné. Et moi, quand ils étaient malades, ╵je revêtais un vêtement de deuil et je m’humiliais en jeûnant. Sans cesse, je priais pour eux comme pour un ami ╵ou pour un frère. ╵J’allais, courbé sous la tristesse, comme en menant le deuil ╵pour la mort d’une mère.
Psaumes 35:12-14 Bible J.N. Darby (JND)
Ils m’ont rendu le mal pour le bien : mon âme est dans l’abandon. Mais moi, quand ils ont été malades, je me vêtais d’un sac ; j’humiliais mon âme dans le jeûne, et ma prière retournait dans mon sein. J’ai marché comme si ç’avait été mon compagnon, mon frère ; triste, je me suis courbé comme celui qui mène deuil pour sa mère.
Psaumes 35:12-14 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Ils me rendent le mal pour le bien, tout le monde m’abandonne. Quand ils étaient malades, moi, je mettais un habit de deuil. Je m’abaissais en jeûnant et je priais sans cesse. J’agissais comme pour un ami, pour un frère, j’étais sombre et en deuil, comme si j’avais perdu ma mère.
Psaumes 35:12-14 Bible Segond 21 (S21)
ils me rendent le mal pour le bien, je suis abandonné de tous. Moi, quand ils étaient malades, je mettais une tenue de deuil, j’humiliais mon âme par le jeûne, je priais, la tête penchée sur la poitrine. Comme pour un ami, pour un frère, je marchais lentement, comme pour le deuil d’une mère, j’étais accablé de tristesse.
Psaumes 35:12-14 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Ils me rendent le mal pour le bien: Mon âme est dans l’abandon. Et moi, quand ils étaient malades, je revêtais un sac, J’humiliais mon âme par le jeûne, Je priais, la tête penchée sur mon sein. Comme pour un ami, pour un frère, je me traînais lentement; Comme pour le deuil d’une mère, je me courbais avec tristesse.