Psaumes 22:2-19
Psaumes 22:2-19 Bible J.N. Darby (JND)
Mon ✶DIEU ! mon ✶DIEU ! pourquoi m’as-tu abandonné, [te tenant] loin de mon salut, – des paroles de mon rugissement ? Mon DIEU ! je crie de jour, mais tu ne réponds point ; et de nuit, et il n’y a point de repos pour moi. Et toi, tu es saint, toi qui habites [au milieu des] louanges d’Israël. Nos pères se sont confiés en toi ; ils se sont confiés, et tu les as délivrés. Ils ont crié vers toi, et ils ont été sauvés ; ils se sont confiés en toi, et ils n’ont point été confus. Mais moi, je suis un ver, et non point un homme ; l’opprobre des hommes, et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi ; ils ouvrent la bouche, ils hochent la tête : Il se confie à l’ÉTERNEL : qu’il le fasse échapper, qu’il le délivre, car il prend son plaisir en lui ! Mais c’est toi qui m’as tiré du sein [qui m’a porté] ; tu m’as donné confiance sur les mamelles de ma mère. C’est à toi que je fus remis dès la matrice ; tu es mon ✶DIEU dès le ventre de ma mère. Ne te tiens pas loin de moi, car la détresse est proche, car il n’y a personne qui secoure. Beaucoup de taureaux m’ont environné, des puissants de Basan m’ont entouré ; Ils ouvrent leur gueule contre moi, comme un lion déchirant et rugissant. Je suis répandu comme de l’eau, et tous mes os se déjoignent ; mon cœur est comme de la cire, il est fondu au-dedans de mes entrailles. Ma vigueur est desséchée comme un têt, et ma langue est attachée à mon palais ; et tu m’as mis dans la poussière de la mort. Car des chiens m’ont environné, une assemblée de méchants m’a entouré ; ils ont percé mes mains et mes pieds ; Je compterais tous mes os. Ils me contemplent, ils me regardent ; Ils partagent entre eux mes vêtements, et sur ma robe ils jettent le sort.
Psaumes 22:2-19 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Je crie, mais ton secours ne vient pas. Mon Dieu, pendant le jour, je fais appel à toi, mais tu ne réponds pas. Pendant la nuit, je t’appelle encore et je ne trouve pas le repos. Pourtant, toi, le Dieu saint, tu es assis sur ton siège royal, et tu reçois sans cesse les louanges d’Israël ! Nos ancêtres ont mis leur confiance en toi, en toi, ils ont mis leur confiance, et tu les as délivrés. Vers toi, ils ont crié, et tu les as libérés. En toi, ils ont mis leur confiance, et ils ne l’ont pas regretté. Mais moi, je suis comme un ver de terre, je ne suis plus un homme. Les gens m’insultent et me méprisent. Tous ceux qui me voient se moquent de moi. Ils font des grimaces, ils secouent la tête en disant : « Il a fait confiance au SEIGNEUR. Eh bien, si le SEIGNEUR l’aime, il n’a qu’à le délivrer et le sauver ! » Oui, tu m’as fait sortir du ventre de ma mère, tu m’as mis en sécurité sur sa poitrine. On m’a confié à toi dès ma naissance, depuis le ventre de ma mère, tu es mon Dieu. Ne reste pas loin de moi, le malheur est proche, je n’ai personne pour m’aider. Beaucoup d’ennemis m’entourent, ils sont autour de moi comme des taureaux, comme les puissants taureaux du Bachan. Ils sont comme des lions, ils ouvrent leur gueule contre moi pour rugir et déchirer. Ma force s’en va comme l’eau qui coule, tous mes os se détachent. Mon cœur est comme la cire, il fond dans ma poitrine. Ma gorge est sèche comme un morceau de terre cuite, et ma langue reste collée dans ma bouche. Tu me mets déjà au bord de la tombe. Un groupe de bandits m’entourent, ils sont autour de moi comme des chiens. Ils m’ont percé les mains et les pieds. Je suis très maigre : on peut compter tous mes os. Mes ennemis me fixent attentivement. Entre eux, ils partagent mes habits. Ils tirent au sort pour savoir qui aura mes vêtements.
Psaumes 22:2-19 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m'as-tu abandonné,Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu! je crie le jour, et tu ne réponds pas;La nuit, et je n'ai point de repos. Pourtant tu es le Saint,Tu sièges au milieu des louanges d'Israël. En toi se confiaient nos pères;Ils se confiaient, et tu les délivrais. Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés;Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus. Et moi, je suis un ver et non un homme,L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi,Ils ouvrent la bouche, secouent la tête: Recommande-toi à l'Eternel!L'Eternel le sauvera,Il le délivrera, puisqu'il l'aime! Oui, tu m'as fait sortir du sein maternel,Tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère; Dès le sein maternel j'ai été sous ta garde,Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t'éloigne pas de moi quand la détresse est proche,Quand personne ne vient à mon secours! De nombreux taureaux sont autour de moi,Des taureaux de Basan m'environnent. Ils ouvrent contre moi leur gueule,Semblables au lion qui déchire et rugit. Je suis comme de l'eau qui s'écoule,Et tous mes os se séparent;Mon cœur est comme de la cire,Il se fond dans mes entrailles. Ma force se dessèche comme l'argile,Et ma langue s'attache à mon palais;Tu me réduis à la poussière de la mort. Car des chiens m'environnent,Une bande de scélérats rôdent autour de moi,Ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os.Eux, ils observent, ils me regardent; Ils se partagent mes vêtements,Ils tirent au sort ma tunique.
Psaumes 22:2-19 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Mon Dieu, mon Dieu, ╵pourquoi m’as-tu abandonné ? Tu restes loin, ╵tu ne viens pas me secourir ╵malgré toutes mes plaintes. Mon Dieu, le jour, j’appelle, ╵mais tu ne réponds pas. La nuit, je crie, ╵sans trouver de repos. Pourtant, tu es le Saint qui sièges sur ton trône, ╵au milieu des louanges d’Israël. En toi déjà, ╵nos pères se confiaient, oui, ils comptaient sur toi, ╵et tu les délivrais. Lorsqu’ils criaient à toi, ╵ils étaient délivrés, lorsqu’ils comptaient sur toi, ╵ils n’étaient pas déçus. Mais moi je suis un ver, ╵je ne suis plus un homme, tout le monde m’insulte, ╵le peuple me méprise, ceux qui me voient ╵se rient de moi. Tous, ils ricanent, ╵en secouant la tête : « Il se confie en l’Eternel ? Eh bien, que maintenant ╵l’Eternel le délivre ! Puisqu’il trouve en lui son plaisir, ╵qu’il le libère donc ! » Toi, tu m’as fait sortir ╵du ventre maternel, tu m’as mis en sécurité ╵sur le sein de ma mère. Dès mon jeune âge, ╵j’ai été placé sous ta garde. Dès avant ma naissance, ╵tu es mon Dieu. Ne reste pas si loin de moi ╵car le danger est proche, et il n’y a personne ╵qui vienne pour m’aider. De nombreux taureaux m’environnent : ces fortes bêtes du Basan ╵sont tout autour de moi. Ils ouvrent largement ╵leurs gueules contre moi, ils sont comme un lion ╵qui rugit et déchire. Je suis comme une eau qui s’écoule et tous mes os sont disloqués. Mon cœur est pareil à la cire, on dirait qu’il se fond en moi. Ma force est desséchée ╵comme un tesson d’argile, ma langue colle à mon palais, tu me fais retourner ╵à la poussière de la mort. Des hordes de chiens m’environnent, la meute des méchants m’assaille. Ils ont percé mes mains, mes pieds, je pourrais compter tous mes os ; ils me regardent, ils me toisent, ils se partagent mes habits et tirent au sort ma tunique.
Psaumes 22:2-19 Bible Segond 21 (S21)
*Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné? Pourquoi t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu, je crie le jour, et tu ne réponds pas, la nuit, et je ne trouve pas de repos. Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d’Israël. C’est en toi que nos ancêtres se confiaient: ils se confiaient en toi, et tu les délivrais; ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; ils se confiaient en toi, et ils n’étaient pas déçus. Mais moi, je suis un ver et non un homme, la honte de l’humanité, celui que le peuple méprise. Tous ceux qui me voient se moquent de moi, ils ricanent, ils hochent la tête: *«Recommande ton sort à l’Eternel! L’Eternel le sauvera, il le délivrera, puisqu’il l’aime!» Oui, tu m’as fait sortir du ventre de ma mère, tu m’as mis en sécurité contre sa poitrine; dès ma conception j’ai été sous ta garde, dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, quand personne ne vient à mon secours! De nombreux taureaux sont autour de moi, des taureaux du Basan m’encerclent. Ils ouvrent leur gueule contre moi, pareils au lion qui déchire et rugit. Mes forces s’en vont comme l’eau qui s’écoule, et tous mes os se disloquent; mon cœur est comme de la cire, il se liquéfie au fond de moi. Ma force se dessèche comme l’argile, et ma langue s’attache à mon palais; tu me réduis à la poussière de la mort. Oui, des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi; ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os; eux, ils observent, ils me regardent, *ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort mon habit.
Psaumes 22:2-19 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Mon Dieu! Mon Dieu! Pourquoi m’as-tu abandonné, Et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu! Je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n’ai point de repos. Pourtant tu es le Saint, Tu sièges au milieu des louanges d’Israël. En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais. Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; Ils se confiaient en toi, et ils n’étaient point confus. Et moi, je suis un ver et non un homme, L’opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête: Recommande-toi à l’Éternel! L’Éternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu’il l’aime! Oui, tu m’as fait sortir du sein maternel, Tu m’as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère; Dès le sein maternel j’ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, Quand personne ne vient à mon secours! De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux de Basan m’environnent. Ils ouvrent contre moi leur gueule, Semblables au lion qui déchire et rugit. Je suis comme de l’eau qui s’écoule, Et tous mes os se séparent; Mon cœur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. Ma force se dessèche comme l’argile, Et ma langue s’attache à mon palais; Tu me réduis à la poussière de la mort. Car des chiens m’environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; Ils se partagent mes vêtements, Ils tirent au sort ma tunique.