Psaumes 22:1-8
Psaumes 22:1-8 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Je crie, mais ton secours ne vient pas. Mon Dieu, pendant le jour, je fais appel à toi, mais tu ne réponds pas. Pendant la nuit, je t’appelle encore et je ne trouve pas le repos. Pourtant, toi, le Dieu saint, tu es assis sur ton siège royal, et tu reçois sans cesse les louanges d’Israël ! Nos ancêtres ont mis leur confiance en toi, en toi, ils ont mis leur confiance, et tu les as délivrés. Vers toi, ils ont crié, et tu les as libérés. En toi, ils ont mis leur confiance, et ils ne l’ont pas regretté. Mais moi, je suis comme un ver de terre, je ne suis plus un homme. Les gens m’insultent et me méprisent. Tous ceux qui me voient se moquent de moi. Ils font des grimaces, ils secouent la tête en disant
Psaumes 22:1-8 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Mon Dieu, mon Dieu, ╵pourquoi m’as-tu abandonné ? Tu restes loin, ╵tu ne viens pas me secourir ╵malgré toutes mes plaintes. Mon Dieu, le jour, j’appelle, ╵mais tu ne réponds pas. La nuit, je crie, ╵sans trouver de repos. Pourtant, tu es le Saint qui sièges sur ton trône, ╵au milieu des louanges d’Israël. En toi déjà, ╵nos pères se confiaient, oui, ils comptaient sur toi, ╵et tu les délivrais. Lorsqu’ils criaient à toi, ╵ils étaient délivrés, lorsqu’ils comptaient sur toi, ╵ils n’étaient pas déçus. Mais moi je suis un ver, ╵je ne suis plus un homme, tout le monde m’insulte, ╵le peuple me méprise, ceux qui me voient ╵se rient de moi. Tous, ils ricanent, ╵en secouant la tête
Psaumes 22:1-8 Bible J.N. Darby (JND)
*Au chef de musique. Sur Ajéleth-Hashakhar. Psaume de David. Mon ✶DIEU ! mon ✶DIEU ! pourquoi m’as-tu abandonné, [te tenant] loin de mon salut, – des paroles de mon rugissement ? Mon DIEU ! je crie de jour, mais tu ne réponds point ; et de nuit, et il n’y a point de repos pour moi. Et toi, tu es saint, toi qui habites [au milieu des] louanges d’Israël. Nos pères se sont confiés en toi ; ils se sont confiés, et tu les as délivrés. Ils ont crié vers toi, et ils ont été sauvés ; ils se sont confiés en toi, et ils n’ont point été confus. Mais moi, je suis un ver, et non point un homme ; l’opprobre des hommes, et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi ; ils ouvrent la bouche, ils hochent la tête
Psaumes 22:1-8 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Au chef des chantres. Sur «Biche de l'aurore». Psaume de David. Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m'as-tu abandonné,Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu! je crie le jour, et tu ne réponds pas;La nuit, et je n'ai point de repos. Pourtant tu es le Saint,Tu sièges au milieu des louanges d'Israël. En toi se confiaient nos pères;Ils se confiaient, et tu les délivrais. Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés;Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus. Et moi, je suis un ver et non un homme,L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi,Ils ouvrent la bouche, secouent la tête
Psaumes 22:1-8 Bible Segond 21 (S21)
Au chef de chœur, sur la mélodie de «Biche de l’aurore». Psaume de David. *Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné? Pourquoi t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu, je crie le jour, et tu ne réponds pas, la nuit, et je ne trouve pas de repos. Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d’Israël. C’est en toi que nos ancêtres se confiaient: ils se confiaient en toi, et tu les délivrais; ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; ils se confiaient en toi, et ils n’étaient pas déçus. Mais moi, je suis un ver et non un homme, la honte de l’humanité, celui que le peuple méprise. Tous ceux qui me voient se moquent de moi, ils ricanent, ils hochent la tête
Psaumes 22:1-8 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Au chef des chantres. Sur “Biche de l’aurore”. Psaume de David. Mon Dieu! Mon Dieu! Pourquoi m’as-tu abandonné, Et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu! Je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n’ai point de repos. Pourtant tu es le Saint, Tu sièges au milieu des louanges d’Israël. En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais. Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; Ils se confiaient en toi, et ils n’étaient point confus. Et moi, je suis un ver et non un homme, L’opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête