Psaumes 137:1-7
Psaumes 137:1-7 Bible Segond 21 (S21)
Sur les bords des fleuves de Babylone, nous étions assis et nous pleurions en nous souvenant de Sion. Nous avions suspendu nos harpes aux saules du voisinage. Là, ceux qui nous avaient déportés nous demandaient des chants, nos oppresseurs nous demandaient de la joie: «Chantez-nous quelques-uns des chants de Sion!» Comment chanterions-nous les chants de l’Eternel sur une terre étrangère? Si je t’oublie, Jérusalem, que ma main droite m’oublie! Que ma langue reste collée à mon palais, si je ne me souviens plus de toi, si je ne place pas Jérusalem au-dessus de toutes mes joies! Eternel, souviens-toi des Edomites! Le jour de la prise de Jérusalem, ils disaient: «Rasez-la, rasez-la jusqu’aux fondations!»
Psaumes 137:1-7 Bible J.N. Darby (JND)
*Auprès des fleuves de Babylone, là nous nous sommes assis, et nous avons pleuré quand nous nous sommes souvenus de Sion. Aux saules qui étaient au milieu d’elle nous avons suspendu nos harpes. Car là, ceux qui nous avaient emmenés captifs nous demandaient des cantiques, et ceux qui nous faisaient gémir, de la joie : Chantez-nous un des cantiques de Sion. Comment chanterions-nous un cantique de l’ÉTERNEL sur un sol étranger ? Si je t’oublie, ô Jérusalem, que ma droite s’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais si je ne me souviens de toi, si je n’élève Jérusalem au-dessus de la première de mes joies ! ÉTERNEL ! souviens-toi des fils d’Édom, qui, dans la journée de Jérusalem, disaient : Rasez, rasez jusqu’à ses fondements !
Psaumes 137:1-7 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Là-bas, au bord des fleuves de Babylone, nous étions assis et nous pleurions en nous souvenant de Jérusalem. Aux arbres qui étaient là, nous avions pendu nos harpes. Alors ceux qui nous avaient déportés nous ont demandé de chanter. Ceux qui nous torturaient nous ont demandé des chants joyeux. Ils disaient : « Chantez-nous un des chants de Jérusalem ! » Comment chanter pour le SEIGNEUR dans un pays étranger ? Jérusalem, si je t’oublie, que ma main droite m’oublie ! Si je ne pense plus à toi, si Jérusalem n’est pas tout mon bonheur, que ma langue reste collée dans ma bouche ! SEIGNEUR, rappelle-toi ce que les Édomites ont dit le jour où Jérusalem a été prise : « Rasez la ville, rasez-la jusqu’à ses fondations ! »
Psaumes 137:1-7 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Sur les bords des fleuves de Babylone,Nous étions assis et nous pleurions, en nous souvenant de Sion. Aux saules de la contréeNous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous demandaient des chants,Et nos oppresseurs de la joie:Chantez-nous quelques-uns des cantiques de Sion! Comment chanterions-nous les cantiques de l'EternelSur une terre étrangère? Si je t'oublie, Jérusalem,Que ma droite m'oublie! Que ma langue s'attache à mon palais,Si je ne me souviens de toi,Si je ne fais de JérusalemLe principal sujet de ma joie! Eternel, souviens-toi des enfants d'Edom,Qui, dans la journée de Jérusalem,Disaient: Rasez, rasezJusqu'à ses fondements!
Psaumes 137:1-7 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Au bord des fleuves ╵de Babylone, nous nous étions assis ╵et nous pleurions en pensant à Sion. Aux saules de cette contrée, nous avions suspendu nos lyres. Ceux qui nous avaient déportés ╵nous demandaient des chants, nos oppresseurs ╵réclamaient d’être réjouis : « Chantez-nous, disaient-ils, quelque chant de Sion ! » Comment peut-on chanter ╵les chants de l’Eternel sur un sol étranger ? Si jamais je t’oublie, ╵Jérusalem, que ma main droite ╵perde sa force ! Et que ma langue ╵se colle à mon palais si je ne pense plus ╵à toi, Jérusalem, si je ne te mets plus avant toute autre joie. Souviens-toi, Eternel, ╵des Edomites qui en ce jour ╵du malheur de Jérusalem, criaient bien fort : ╵« Rasez-la donc, rasez jusqu’à ses fondations ! »
Psaumes 137:1-7 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Sur les bords des fleuves de Babylone, Nous étions assis et nous pleurions, En nous souvenant de Sion. Aux saules de la contrée Nous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous demandaient des chants, Et nos oppresseurs de la joie: Chantez-nous quelques-uns des cantiques de Sion! Comment chanterions-nous les cantiques de l’Éternel Sur une terre étrangère? Si je t’oublie, Jérusalem, Que ma droite m’oublie! Que ma langue s’attache à mon palais, Si je ne me souviens de toi, Si je ne fais de Jérusalem Le principal sujet de ma joie! Éternel, souviens-toi des enfants d’Édom, Qui, dans la journée de Jérusalem, Disaient: Rasez, rasez Jusqu’à ses fondements!