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Marc 6:1-35

Marc 6:1-35 Bible J.N. Darby (JND)

Et il sortit de là, et vint dans son pays ; et ses disciples le suivent. Et le sabbat étant venu, il se mit à enseigner dans la synagogue ; et plusieurs, l’ayant entendu, étaient dans l’étonnement, disant : D’où [viennent] ces choses à celui-ci ? Et quelle est cette sagesse qui lui est donnée, et [d’où vient] que de tels miracles s’opèrent par ses mains ? Celui-ci n’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques et de Joses et de Jude et de Simon ; et ses sœurs ne sont-elles pas ici auprès de nous ? Et ils étaient scandalisés en lui. Et Jésus leur dit : Un prophète n’est pas sans honneur, si ce n’est dans son pays et parmi ses parents et dans sa maison. Et il ne put faire là aucun miracle, sinon qu’il imposa les mains à un petit nombre d’infirmes, et les guérit. Et il s’étonnait de leur incrédulité ; et il visitait l’un après l’autre les villages à la ronde, en enseignant. Et il appelle les douze ; et il se mit à les envoyer deux à deux, et leur donna autorité sur les esprits immondes. Et il leur commanda de ne rien prendre pour le chemin, si ce n’est un bâton seulement, ni sac, ni pain, ni monnaie dans leur ceinture, mais d’être chaussés de sandales ; et ne portez pas deux tuniques. Et il leur dit : Partout où vous entrerez dans une maison, demeurez-y jusqu’à ce que vous partiez de là ; et tous ceux qui ne vous recevront pas et ne vous écouteront pas, quand vous partirez de là, secouez la poussière de dessous vos pieds, pour leur servir de témoignage. Et étant partis, ils prêchèrent qu’on se repente, et chassèrent beaucoup de démons, et oignirent d’huile beaucoup d’infirmes et les guérirent. Et le roi Hérode entendit parler [de lui], car son nom était devenu public ; et il dit : Jean le baptiseur est ressuscité d’entre les morts ; et c’est pourquoi les miracles s’opèrent par lui. Et d’autres disaient : C’est Élie ; et d’autres disaient : C’est un prophète, comme un des prophètes. Mais Hérode, ayant appris [ce qu’il faisait], dit : C’est Jean que j’ai fait décapiter ; il est ressuscité d’entre les morts. Car Hérode lui-même avait envoyé prendre Jean, et l’avait fait lier dans une prison, à cause d’Hérodias, la femme de Philippe son frère ; car il l’avait épousée. Car Jean disait à Hérode : Il ne t’est pas permis d’avoir la femme de ton frère. Et Hérodias lui en voulait, et aurait désiré le faire mourir ; et elle ne pouvait pas, car Hérode craignait Jean, le sachant homme juste et saint, et il le gardait soigneusement ; et lorsqu’il l’avait entendu, il faisait beaucoup de choses, et il l’écoutait volontiers. Et un jour favorable étant venu, lorsque Hérode, le jour anniversaire de sa naissance, donnait un repas à ses grands seigneurs, et aux chiliarques, et aux principaux de la Galilée ; et la fille de cette même Hérodias, étant entrée et ayant dansé, plut à Hérode et à ceux qui étaient à table avec lui. Et le roi dit à la jeune fille : Demande-moi tout ce que tu voudras, et je te le donnerai. Et il lui jura : Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, jusqu’à la moitié de mon royaume. Et elle sortit et dit à sa mère : Que dois-je demander ? Et celle-ci dit : La tête de Jean le baptiseur. Et aussitôt elle entra avec empressement vers le roi, et fit sa demande, disant : Je veux que sur-le-champ tu me donnes dans un plat la tête de Jean le baptiseur. Et le roi en fut très attristé, mais, à cause des serments et de ceux qui étaient à table avec lui, il ne voulut pas lui manquer de parole. Et le roi aussitôt envoya un de ses gardes, et lui commanda d’apporter la tête de Jean. Et celui-ci, s’en étant allé, le décapita dans la prison, et apporta sa tête dans un plat, et la donna à la jeune fille ; et la jeune fille la donna à sa mère. Et ses disciples, l’ayant appris, vinrent et enlevèrent son corps et le mirent dans un sépulcre. Et les apôtres se rassemblent auprès de Jésus ; et ils lui racontèrent tout : et tout ce qu’ils avaient fait, et tout ce qu’ils avaient enseigné. Et il leur dit : Venez à l’écart vous-mêmes dans un lieu désert, et reposez-vous un peu ; car il y avait beaucoup de gens qui allaient et qui venaient, et ils n’avaient pas même le loisir de manger. Et ils s’en allèrent dans un bateau en un lieu désert, à l’écart. Et plusieurs les virent qui s’en allaient, et les reconnurent, et accoururent là, à pied, de toutes les villes, et arrivèrent avant eux, [et se rassemblèrent auprès de lui]. Et Jésus, étant sorti, vit une grande foule ; et il fut ému de compassion envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont pas de berger ; et il se mit à leur enseigner beaucoup de choses. Et comme l’heure était déjà fort avancée, ses disciples venant à lui, disent : Le lieu est désert et l’heure est déjà fort avancée

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Marc 6:1-35 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Jésus quitte cet endroit et il va à Nazareth, la ville où il a grandi. Ses disciples l’accompagnent. Le jour du sabbat, il se met à enseigner dans la maison de prière. Il y a beaucoup de gens. En l’écoutant, ils sont très étonnés et ils disent : « Qui lui a appris tout cela ? Cette sagesse qu’il a reçue, qu’est-ce que c’est ? Et ces miracles qu’il fait, comment les fait-il ? Pourtant, c’est bien le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon, et ses sœurs vivent ici chez nous ! » Cela empêche les gens de Nazareth de croire en Jésus. Alors Jésus leur dit : « Un prophète est respecté partout, sauf dans sa ville, dans sa famille et dans sa maison. » Jésus ne peut faire aucun miracle à Nazareth. Pourtant, il guérit quelques malades en posant les mains sur leur tête. Et il s’étonne parce que les gens ne croient pas. Ensuite, Jésus va enseigner dans tous les villages qui sont autour de Nazareth. Il appelle les douze apôtres et il se met à les envoyer deux par deux. Il leur donne pouvoir sur les esprits mauvais. Voici ce qu’il leur commande : « Pour la route, ne prenez rien avec vous, sauf un bâton : pas de pain, pas de sac, pas d’argent dans votre poche. Mettez des sandales, mais emportez un seul vêtement. » Jésus leur dit encore : « Quand on vous recevra dans une maison, restez-y jusqu’au moment où vous quitterez l’endroit. Quand les gens ne voudront pas vous accueillir quelque part, quand ils ne voudront pas vous écouter, partez en secouant la poussière de vos pieds . De cette façon, vous leur montrerez qu’ils ont mal agi. » Les disciples partent et ils demandent aux gens : « Changez votre vie ! » Ils chassent beaucoup d’esprits mauvais, et ils guérissent beaucoup de malades, en versant de l’huile sur eux. Le roi Hérode Antipas entend parler de Jésus, parce qu’il est devenu célèbre. Les uns disent : « C’est Jean-Baptiste qui s’est réveillé de la mort ! Voilà pourquoi il a le pouvoir de faire des miracles. » D’autres disent : « C’est un prophète, comme un des prophètes d’autrefois. » Quand Hérode entend cela, il dit : « C’est Jean-Baptiste ! Je lui ai fait couper la tête, mais il s’est réveillé de la mort ! » Voici l’histoire de la mort de Jean-Baptiste. Hérode Antipas a pris pour femme Hérodiade, la femme de son frère Philippe. Jean dit à Hérode : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. » Alors Hérode lui-même commande d’arrêter Jean, il le fait attacher et mettre en prison. Hérodiade déteste Jean et elle veut le faire mourir. Mais elle n’y arrive pas, parce qu’Hérode respecte Jean. Il sait que c’est un homme juste et saint, et il le protège. Quand Hérode écoute Jean, il ne sait plus ce qu’il faut penser. Pourtant, il aime bien l’écouter. Mais un jour, Hérodiade trouve une bonne occasion pour faire mourir Jean. C’est l’anniversaire d’Hérode et celui-ci donne un grand repas. Il invite les notables, les chefs de l’armée et les gens importants de Galilée. La fille d’Hérodiade entre dans la salle et elle se met à danser. Elle plaît à Hérode et à ceux qui mangent avec lui. Alors le roi dit à la jeune fille : « Demande-moi ce que tu veux, et je te le donnerai. » Puis il lui fait ce serment : « Je te donnerai ce que tu me demanderas, même la moitié de mon royaume. » La jeune fille sort et dit à sa mère : « Qu’est-ce que je vais demander ? » Sa mère lui répond : « Demande la tête de Jean-Baptiste. » La jeune fille se dépêche de retourner auprès du roi et elle lui dit : « Je veux que tu me donnes tout de suite, sur un plat, la tête de Jean-Baptiste. » Le roi devient tout triste. Mais il n’ose pas repousser sa demande, parce qu’il a fait un serment devant les invités. Aussitôt, il donne cet ordre à un soldat : « Va, et apporte-moi la tête de Jean. » Le soldat part et il va dans la prison pour couper la tête de Jean. Il apporte la tête sur un plat, il la donne à la jeune fille, et la jeune fille la donne à sa mère. Quand les disciples de Jean apprennent cela, ils viennent prendre son corps et ils le mettent dans une tombe. Les apôtres se réunissent auprès de Jésus. Ils lui racontent tout ce qu’ils ont fait et ce qu’ils ont enseigné. Jésus leur dit : « Venez avec moi dans un endroit isolé, loin de tout le monde, pour vous reposer un peu. » En effet, il y a beaucoup de gens qui vont et viennent, et les apôtres n’ont même pas le temps de manger. Ils partent dans une barque, seuls, pour aller dans un endroit isolé. Mais les gens les voient partir, et beaucoup les reconnaissent. Alors ils viennent en courant de toutes les villes et ils arrivent avant Jésus et ses disciples. Quand Jésus descend de la barque, il voit une grande foule. Son cœur est plein de pitié. En effet, les gens sont comme des moutons sans berger, et il se met à leur enseigner beaucoup de choses. Il est déjà tard. Les disciples s’approchent de Jésus et lui disent : « Il est déjà tard et cet endroit est isolé.

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Marc 6:1-35 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Jésus partit de là, et se rendit dans sa patrie. Ses disciples le suivirent. Quand le sabbat fut venu, il se mit à enseigner dans la synagogue. Beaucoup de gens qui l'entendirent étaient étonnés et disaient: D'où lui viennent ces choses? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et comment de tels miracles se font-ils par ses mains? N'est-ce pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon? et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous? Et il était pour eux une occasion de chute. Mais Jésus leur dit: Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie, parmi ses parents, et dans sa maison. Il ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il imposa les mains à quelques malades et les guérit. Et il s'étonnait de leur incrédulité.Jésus parcourait les villages d'alentour, en enseignant. Alors il appela les douze, et il commença à les envoyer deux à deux, en leur donnant pouvoir sur les esprits impurs. Il leur prescrivit de ne rien prendre pour le voyage, si ce n'est un bâton; de n'avoir ni pain, ni sac, ni monnaie dans la ceinture; de chausser des sandales, et de ne pas revêtir deux tuniques. Puis il leur dit: Dans quelque maison que vous entriez, restez-y jusqu'à ce que vous partiez de ce lieu. Et, s'il y a quelque part des gens qui ne vous reçoivent ni ne vous écoutent, retirez-vous de là, et secouez la poussière de vos pieds, afin que cela leur serve de témoignage. Ils partirent, et ils prêchèrent la repentance. Ils chassaient beaucoup de démons, et ils oignaient d'huile beaucoup de malades et les guérissaient. Le roi Hérode entendit parler de Jésus, dont le nom était devenu célèbre, et il dit: Jean-Baptiste est ressuscité des morts, et c'est pour cela qu'il se fait par lui des miracles. D'autres disaient: C'est Elie. Et d'autres disaient: C'est un prophète comme l'un des prophètes. Mais Hérode, en apprenant cela, disait: Ce Jean que j'ai fait décapiter, c'est lui qui est ressuscité. Car Hérode lui-même avait fait arrêter Jean, et l'avait fait lier en prison, à cause d'Hérodias, femme de Philippe, son frère, parce qu'il l'avait épousée, et que Jean lui disait: Il ne t'est pas permis d'avoir la femme de ton frère. Hérodias était irritée contre Jean, et voulait le faire mourir. Mais elle ne le pouvait; car Hérode craignait Jean, le connaissant pour un homme juste et saint; il le protégeait, et, après l'avoir entendu, il était souvent perplexe, et l'écoutait avec plaisir. Cependant, un jour propice arriva, lorsque Hérode, à l'anniversaire de sa naissance, donna un festin à ses grands, aux chefs militaires et aux principaux de la Galilée. La fille d'Hérodias entra dans la salle; elle dansa, et plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille: Demande-moi ce que tu voudras, et je te le donnerai. Il ajouta avec serment: Ce que tu me demanderas, je te le donnerai, serait-ce la moitié de mon royaume. Etant sortie, elle dit à sa mère: Que demanderai-je? Et sa mère répondit: La tête de Jean-Baptiste. Elle s'empressa de rentrer aussitôt vers le roi, et lui fit cette demande: Je veux que tu me donnes à l'instant, sur un plat, la tête de Jean-Baptiste. Le roi fut attristé; mais, à cause de ses serments et des convives, il ne voulut pas refuser. Il envoya sur-le-champ un garde, avec ordre d'apporter la tête de Jean-Baptiste. Le garde alla décapiter Jean dans la prison, et apporta la tête sur un plat. Il la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Les disciples de Jean, ayant appris cela, vinrent prendre son corps, et le mirent dans un sépulcre. Les apôtres, s'étant rassemblés auprès de Jésus, lui racontèrent tout ce qu'ils avaient fait et tout ce qu'ils avaient enseigné. Jésus leur dit: Venez à l'écart dans un lieu désert, et reposez-vous un peu. Car il y avait beaucoup d'allants et de venants, et ils n'avaient même pas le temps de manger. Ils partirent donc dans une barque, pour aller à l'écart dans un lieu désert. Beaucoup de gens les virent s'en aller et les reconnurent, et de toutes les villes on accourut à pied et on les devança au lieu où ils se rendaient. Quand il sortit de la barque, Jésus vit une grande foule, et fut ému de compassion pour eux, parce qu'ils étaient comme des brebis qui n'ont point de berger; et il se mit à leur enseigner beaucoup de choses. Comme l'heure était déjà avancée, ses disciples s'approchèrent de lui, et dirent: Ce lieu est désert, et l'heure est déjà avancée

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Marc 6:1-35 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Jésus partit de là et retourna dans la ville dont il était originaire, accompagné de ses disciples. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. Beaucoup de ses auditeurs furent très étonnés : D’où tient-il cela ? disaient-ils. Qui lui a donné cette sagesse ? D’où lui vient le pouvoir d’accomplir tous ces miracles ? N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joseph, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne vivent-elles pas ici parmi nous ? Et voilà pourquoi ils trouvaient en lui un obstacle à la foi. Alors Jésus leur dit : C’est seulement dans sa patrie, dans sa parenté et dans sa famille que l’on refuse d’honorer un prophète. Il ne put accomplir là aucun miracle, sinon pour quelques malades à qui il imposa les mains et qu’il guérit. Il fut étonné de leur incrédulité. Jésus parcourait les villages des alentours pour y donner son enseignement. Il appela les Douze et les envoya en mission deux par deux, en leur donnant autorité sur les esprits mauvais. Il leur recommanda de ne rien emporter pour la route, sauf un bâton. Il leur dit : Ne prenez ni provisions ni sac, ni argent dans votre ceinture. Mettez des sandales à vos pieds et n’emportez pas de tunique de rechange. Dans la maison où vous entrerez, restez jusqu’à votre départ. Et si, dans une ville, on ne veut ni vous recevoir ni vous écouter, partez de là en secouant la poussière de vos sandales: cela constituera un témoignage contre eux. Ils partirent donc et proclamèrent qu’il fallait changer profondément. Ils chassaient aussi beaucoup de démons et guérissaient de nombreux malades en les oignant d’huile. Le roi Hérode entendit parler de Jésus, car sa réputation se répandait partout. On disait de Jésus : C’est Jean-Baptiste qui est ressuscité ! C’est pour cela qu’il détient le pouvoir de faire des miracles. D’autres disaient : C’est Elie. D’autres encore : C’est un prophète comme il y en avait autrefois. De son côté, Hérode, qui entendait tout cela, se disait : C’est celui que j’ai fait décapiter, c’est Jean, et il est ressuscité ! En effet, Hérode avait fait arrêter Jean, l’avait fait enchaîner et jeter en prison, à cause d’Hérodiade, la femme de Philippe, son demi-frère, qu’il avait épousée. Car Jean disait à Hérode : Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. Hérodiade, furieuse contre lui, cherchait à le faire mourir, mais elle n’y parvenait pas, car Hérode craignait Jean. Il savait que c’était un homme juste et saint. Il le protégeait donc. Quand il l’entendait parler, il en restait fort perplexe. Et pourtant, il aimait l’entendre. Un jour cependant, Hérodiade trouva une occasion favorable, lors de l’anniversaire d’Hérode. Celui-ci organisa ce jour-là une grande fête à laquelle il invita les hauts dignitaires de sa cour, les officiers supérieurs et les notables de la Galilée. Au cours du banquet, la fille d’Hérodiade entra dans la salle : elle dansa, Hérode et ses invités étaient sous son charme. Le roi dit alors à la jeune fille : Demande-moi ce que tu voudras et je te le donnerai. Il alla même jusqu’à lui faire ce serment : Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c’est la moitié de mon royaume. Elle sortit pour prendre conseil auprès de sa mère : Que vais-je lui demander ? – La tête de Jean-Baptiste, lui répondit celle-ci. Aussitôt la jeune fille se hâta de retourner auprès du roi pour lui exprimer son vœu en ces termes : Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean-Baptiste. Le roi en fut consterné, mais à cause de son serment et de ses invités, il ne voulut pas le lui refuser. Il envoya donc aussitôt un garde en lui ordonnant de rapporter la tête de Jean. Celui-ci s’en alla décapiter Jean dans la prison. Il apporta la tête sur un plat et la remit à la jeune fille, et celle-ci la donna à sa mère. Lorsque les disciples de Jean apprirent ce qui s’était passé, ils vinrent prendre son corps pour l’ensevelir dans un tombeau. A leur retour, les apôtres se réunirent auprès de Jésus et lui rendirent compte de tout ce qu’ils avaient fait, et de tout ce qu’ils avaient enseigné. Alors il leur dit : Venez avec moi, dans un endroit isolé, et vous prendrez un peu de repos. Il y avait effectivement beaucoup de monde qui allait et venait et ils ne trouvaient même pas le temps de manger. Ils partirent donc dans le bateau pour aller à l’écart dans un endroit désert. Mais beaucoup les virent s’en aller et les reconnurent. De toutes les bourgades, on accourut à pied, et on les devança à l’endroit où ils se rendaient. Aussi, quand Jésus descendit du bateau, il vit une foule nombreuse. Il fut pris de compassion pour eux parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger ; alors il se mit à enseigner longuement. Il se faisait déjà tard. Ses disciples s’approchèrent de lui et lui dirent : Cet endroit est désert, et il est déjà tard.

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Marc 6:1-35 Bible Segond 21 (S21)

Jésus partit de là et se rendit dans sa patrie. Ses disciples le suivirent. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. Beaucoup de gens l'entendirent; ils étaient étonnés et disaient: «D'où cela lui vient-il? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée? Et comment de tels miracles se font-ils par son intermédiaire? N'est-il pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon? Et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous?» Et il représentait un obstacle pour eux. Mais Jésus leur dit: «Un prophète n'est méprisé que dans sa patrie, parmi ses parents et dans sa famille.» Il ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il guérit quelques malades en posant les mains sur eux. Et il s'étonnait de leur incrédulité. Jésus parcourait les villages des environs en enseignant. Alors il appela les douze et commença à les envoyer deux à deux, et il leur donna autorité sur les esprits impurs. Il leur recommanda de ne rien prendre pour le voyage, sauf un bâton, de n'avoir ni pain, ni sac, ni argent dans la ceinture, de chausser des sandales et de ne pas mettre deux chemises. Puis il leur dit: «Si quelque part vous entrez dans une maison, restez-y jusqu'à votre départ. Et si, dans une ville, les gens ne vous accueillent pas et ne vous écoutent pas, retirez-vous de là et secouez la poussière de vos pieds en témoignage contre eux. [Je vous le dis en vérité, le jour du jugement, Sodome et Gomorrhe seront traitées moins sévèrement que cette ville-là.]» Ils partirent et prêchèrent en appelant chacun à changer d’attitude. Ils chassaient beaucoup de démons, appliquaient de l'huile à beaucoup de malades et les guérissaient. Le roi Hérode entendit parler de Jésus, car son nom était devenu célèbre. Il disait: «Jean-Baptiste est ressuscité, et c'est pour cela qu'il a le pouvoir de faire des miracles.» D'autres disaient: «C'est Elie.» Et d'autres disaient: «C'est un prophète comme l'un de nos prophètes.» Mais Hérode, en apprenant cela, disait: «Ce Jean que j'ai fait décapiter, c'est lui, il est ressuscité.» En effet, Hérode lui-même avait fait arrêter Jean et l'avait fait enchaîner en prison à cause d'Hérodiade, la femme de son frère Philippe, qu'il avait épousée, car Jean lui disait: «Il ne t'est pas permis d'avoir pour femme l'épouse de ton frère.» Furieuse contre Jean, Hérodiade voulait le faire mourir, mais elle ne le pouvait pas, car Hérode redoutait Jean, sachant que c'était un homme juste et saint, et il le protégeait. Après l'avoir entendu, il était souvent perplexe, et c'était avec plaisir qu'il l'écoutait. Cependant, un jour propice arriva lorsque Hérode, pour son anniversaire, donna un festin à ses grands, aux chefs militaires et aux personnalités de la Galilée. La fille d'Hérodiade entra dans la salle, elle dansa et plut à Hérode et à ses invités. Le roi dit à la jeune fille: «Demande-moi ce que tu veux, et je te le donnerai.» Il ajouta avec serment: «Ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c'était la moitié de mon royaume.» Elle sortit et dit à sa mère: «Que demanderai-je?» Sa mère répondit: «La tête de Jean-Baptiste.» Elle s'empressa aussitôt de rentrer vers le roi et lui fit cette demande: «Je veux que tu me donnes à l'instant, sur un plat, la tête de Jean-Baptiste.» Le roi fut attristé, mais, à cause de ses serments et des invités, il ne voulut pas refuser. Il envoya sur-le-champ un garde, avec ordre d'apporter la tête de Jean-Baptiste. Le garde alla décapiter Jean dans la prison et apporta la tête sur un plat. Il la donna à la jeune fille et la jeune fille la donna à sa mère. Quand les disciples de Jean apprirent cette nouvelle, ils vinrent prendre son corps et le mirent dans un tombeau. Les apôtres se rassemblèrent autour de Jésus et lui racontèrent tout ce qu'ils avaient fait et tout ce qu'ils avaient enseigné. Jésus leur dit: «Venez à l'écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu.» En effet, il y avait beaucoup de monde qui allait et venait, et ils n'avaient même pas le temps de manger. Ils partirent donc dans une barque pour aller à l'écart dans un endroit désert. Beaucoup de gens les virent s'en aller et le reconnurent, et de toutes les villes on accourut à pied et on les devança à l'endroit où ils se rendaient. Quand il sortit de la barque, Jésus vit une grande foule et fut rempli de compassion pour eux, parce qu'ils étaient comme des brebis qui n'ont pas de berger, et il se mit à leur enseigner beaucoup de choses. Comme l’heure était déjà bien tardive, ses disciples s'approchèrent de lui et dirent: «Cet endroit est désert, et il est déjà tard.

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Marc 6:1-35 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Jésus partit de là, et se rendit dans sa patrie. Ses disciples le suivirent. Quand le sabbat fut venu, il se mit à enseigner dans la synagogue. Beaucoup de gens qui l’entendirent étaient étonnés et disaient: D’où lui viennent ces choses? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et comment de tels miracles se font-ils par ses mains? N’est-ce pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon? Et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous? Et il était pour eux une occasion de chute. Mais Jésus leur dit: Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie, parmi ses parents, et dans sa maison. Il ne put faire là aucun miracle, si ce n’est qu’il imposa les mains à quelques malades et les guérit. Et il s’étonnait de leur incrédulité. Jésus parcourait les villages d’alentour, en enseignant. Alors il appela les douze, et il commença à les envoyer deux à deux, en leur donnant pouvoir sur les esprits impurs. Il leur prescrivit de ne rien prendre pour le voyage, si ce n’est un bâton; de n’avoir ni pain, ni sac, ni monnaie dans la ceinture; de chausser des sandales, et de ne pas revêtir deux tuniques. Puis il leur dit: Dans quelque maison que vous entriez, restez-y jusqu’à ce que vous partiez de ce lieu. Et, s’il y a quelque part des gens qui ne vous reçoivent ni ne vous écoutent, retirez-vous de là, et secouez la poussière de vos pieds, afin que cela leur serve de témoignage. Ils partirent, et ils prêchèrent la repentance. Ils chassaient beaucoup de démons, et ils oignaient d’huile beaucoup de malades et les guérissaient. Le roi Hérode entendit parler de Jésus, dont le nom était devenu célèbre, et il dit: Jean-Baptiste est ressuscité des morts, et c’est pour cela qu’il se fait par lui des miracles. D’autres disaient: C’est Élie. Et d’autres disaient: C’est un prophète comme l’un des prophètes. Mais Hérode, en apprenant cela, disait: Ce Jean que j’ai fait décapiter, c’est lui qui est ressuscité. Car Hérode lui-même avait fait arrêter Jean, et l’avait fait lier en prison, à cause d’Hérodias, femme de Philippe, son frère, parce qu’il l’avait épousée, et que Jean lui disait: Il ne t’est pas permis d’avoir la femme de ton frère. Hérodias était irritée contre Jean, et voulait le faire mourir. Mais elle ne le pouvait; car Hérode craignait Jean, le connaissant pour un homme juste et saint; il le protégeait, et, après l’avoir entendu, il était souvent perplexe, et l’écoutait avec plaisir. Cependant, un jour propice arriva, lorsque Hérode, à l’anniversaire de sa naissance, donna un festin à ses grands, aux chefs militaires et aux principaux de la Galilée. La fille d’Hérodias entra dans la salle; elle dansa, et plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille: Demande-moi ce que tu voudras, et je te le donnerai. Il ajouta avec serment: Ce que tu me demanderas, je te le donnerai, fût-ce la moitié de mon royaume. Étant sortie, elle dit à sa mère: Que demanderai-je? Et sa mère répondit: La tête de Jean-Baptiste. Elle s’empressa de rentrer aussitôt vers le roi, et lui fit cette demande: Je veux que tu me donnes à l’instant, sur un plat, la tête de Jean-Baptiste. Le roi fut attristé; mais, à cause de ses serments et des convives, il ne voulut pas lui faire un refus. Il envoya sur-le-champ un garde, avec ordre d’apporter la tête de Jean-Baptiste. Le garde alla décapiter Jean dans la prison, et apporta la tête sur un plat. Il la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Les disciples de Jean, ayant appris cela, vinrent prendre son corps, et le mirent dans un sépulcre. Les apôtres, s’étant rassemblés auprès de Jésus, lui racontèrent tout ce qu’ils avaient fait et tout ce qu’ils avaient enseigné. Jésus leur dit: Venez à l’écart dans un lieu désert, et reposez-vous un peu. Car il y avait beaucoup d’allants et de venants, et ils n’avaient même pas le temps de manger. Ils partirent donc dans une barque, pour aller à l’écart dans un lieu désert. Beaucoup de gens les virent s’en aller et les reconnurent, et de toutes les villes on accourut à pied et on les devança au lieu où ils se rendaient. Quand il sortit de la barque, Jésus vit une grande foule, et fut ému de compassion pour eux, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont point de berger; et il se mit à leur enseigner beaucoup de choses. Comme l’heure était déjà avancée, ses disciples s’approchèrent de lui, et dirent: Ce lieu est désert, et l’heure est déjà avancée

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Marc 6:1-35 Bible en français courant (BFC)

Jésus quitta cet endroit et se rendit dans la ville où il avait grandi; ses disciples l'accompagnaient. Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. Ses nombreux auditeurs furent très étonnés. Ils disaient: «D'où a-t-il tout cela? Qui donc lui a donné cette sagesse et le pouvoir d'accomplir de tels miracles? N'est-ce pas lui le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon? Et ses sœurs ne vivent-elles pas ici parmi nous?» Et cela les empêchait de croire en lui. Alors Jésus leur dit: «Un prophète est estimé partout, excepté dans sa ville natale, sa parenté et sa famille.» Jésus ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il posa les mains sur quelques malades et les guérit. Et il s'étonnait du manque de foi des gens de sa ville. Ensuite, Jésus parcourut tous les villages des environs pour y donner son enseignement. Il appela ses douze disciples et se mit à les envoyer deux par deux. Il leur donna le pouvoir de soumettre les esprits mauvais et leur fit ces recommandations: «Ne prenez rien avec vous pour le voyage, sauf un bâton; ne prenez pas de pain, ni de sac, ni d'argent dans votre poche. Mettez des sandales, mais n'emportez pas deux chemises.» Il leur dit encore: «Quand vous arriverez quelque part, restez dans la maison où l'on vous invitera jusqu'au moment où vous quitterez l'endroit. Si les habitants d'une localité refusent de vous accueillir ou de vous écouter, partez de là et secouez la poussière de vos pieds: ce sera un avertissement pour eux.» Les disciples s'en allèrent donc proclamer à tous qu'il fallait changer de comportement. Ils chassaient beaucoup d'esprits mauvais et guérissaient de nombreux malades après leur avoir versé quelques gouttes d'huile sur la tête. Or, le roi Hérode entendit parler de Jésus, car sa réputation s'était répandue partout. Certains disaient: «Jean-Baptiste est revenu d'entre les morts! C'est pourquoi il a le pouvoir de faire des miracles.» Mais d'autres disaient: «C'est Élie.» D'autres encore disaient: «C'est un prophète, pareil à l'un des prophètes d'autrefois.» Quand Hérode entendit tout ce qui se racontait, il se dit: «C'est Jean-Baptiste! Je lui ai fait couper la tête, mais il est revenu à la vie!» En effet, Hérode avait donné l'ordre d'arrêter Jean et de le jeter en prison, enchaîné. C'était à cause d'Hérodiade, qu'Hérode avait épousée bien qu'elle fût la femme de son frère Philippe. Car Jean disait à Hérode: «Il ne t'est pas permis de prendre la femme de ton frère!» Hérodiade était remplie de haine contre Jean et voulait le faire exécuter, mais elle ne le pouvait pas. En effet, Hérode craignait Jean, car il savait que c'était un homme juste et saint, et il le protégeait. Quand il l'écoutait, il était très embarrassé; pourtant il aimait l'écouter. Cependant, une occasion favorable se présenta pour Hérodiade le jour de l'anniversaire d'Hérode. Celui-ci donna un banquet aux membres de son gouvernement, aux chefs de l'armée et aux notables de Galilée. La fille d'Hérodiade entra dans la salle et dansa; elle plut à Hérode et à ses invités. Le roi dit alors à la jeune fille: «Demande-moi ce que tu voudras, et je te le donnerai.» Et il lui fit ce serment solennel: «Je jure de te donner ce que tu demanderas, même la moitié de mon royaume.» La jeune fille sortit et dit à sa mère: «Que dois-je demander?» Celle-ci répondit: «La tête de Jean-Baptiste.» La jeune fille se hâta de retourner auprès du roi et lui fit cette demande: «Je veux que tu me donnes tout de suite la tête de Jean-Baptiste sur un plat!» Le roi devint tout triste; mais il ne voulut pas lui opposer un refus, à cause des serments qu'il avait faits devant ses invités. Il envoya donc immédiatement un soldat de sa garde, avec l'ordre d'apporter la tête de Jean-Baptiste. Le soldat se rendit à la prison et coupa la tête de Jean. Puis il apporta la tête sur un plat et la donna à la jeune fille, et celle-ci la donna à sa mère. Quand les disciples de Jean apprirent la nouvelle, ils vinrent prendre son corps et le mirent dans un tombeau. Les apôtres revinrent auprès de Jésus et lui racontèrent tout ce qu'ils avaient fait et enseigné. Cependant, les gens qui allaient et venaient étaient si nombreux que Jésus et ses disciples n'avaient même pas le temps de manger. C'est pourquoi il leur dit: «Venez avec moi dans un endroit isolé pour vous reposer un moment.» Ils partirent donc dans la barque, seuls, vers un endroit isolé. Mais beaucoup de gens les virent s'éloigner et comprirent où ils allaient; ils accoururent alors de toutes les localités voisines et arrivèrent à pied à cet endroit avant Jésus et ses disciples. Quand Jésus sortit de la barque, il vit cette grande foule; son cœur fut rempli de pitié pour ces gens, parce qu'ils ressemblaient à un troupeau sans berger. Et il se mit à leur enseigner beaucoup de choses. Il était déjà tard, lorsque les disciples de Jésus s'approchèrent de lui et lui dirent: «Il est déjà tard et cet endroit est isolé.

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