Logo YouVersion
Îcone de recherche

Marc 5:1-36

Marc 5:1-36 Bible Darby en français (FRDBY)

Et ils arrivèrent à l'autre rive de la mer, dans le pays des Gadaréniens. Et aussitôt, comme il sortait de la nacelle, un homme possédé d'un esprit immonde, et qui avait sa demeure dans les sépulcres, sortant des sépulcres, le rencontra; et personne ne pouvait le lier, pas même avec des chaînes; car souvent, quand il avait été lié de fers aux pieds et de chaînes, il avait rompu les chaînes et mis les fers en pièces, et personne ne pouvait le dompter. Et il était continuellement, de nuit et de jour, dans les sépulcres et dans les montagnes, criant et se meurtrissant avec des pierres. Et voyant Jésus de loin, il courut et se prosterna devant lui; et, criant avec une voix forte, il dit: Qu'il y a-t-il entre moi et toi, Jésus, Fils du Dieu Très-haut? Je t'adjure par Dieu, ne me tourmente pas. Car il lui disait: Sors de cet homme, esprit immonde! Et il lui demanda: Quel est ton nom? Et il lui dit: J'ai nom Légion, car nous sommes plusieurs. Et il le priait instamment pour qu'il ne les envoyât pas hors du pays. Et il y avait là, vers la montagne, un grand troupeau de pourceaux qui paissait. Et ils le prièrent, disant: Envoie-nous dans les pourceaux, afin que nous entrions en eux. Et aussitôt Jésus le leur permit. Et les esprits immondes, sortant, entrèrent dans les pourceaux, et le troupeau se rua du haut de la côte dans la mer; or ils étaient environ deux mille; et ils furent étouffés dans la mer. Et ceux qui les paissaient s'enfuirent, et portèrent la nouvelle dans la ville et dans les campagnes. Et ils sortirent pour voir ce qui était arrivé; et ils viennent vers Jésus, et voient le démoniaque, assis, vêtu, et dans son bon sens, celui qui avait Légion; et ils eurent peur. Et ceux qui avaient vu ce qui s'était passé, leur racontèrent ce qui était arrivé au démoniaque et ce qui concernait les pourceaux; et ils se mirent à le prier de s'en aller de leur territoire. Et comme il montait dans la nacelle, celui qui avait été démoniaque le pria de permettre qu'il fût avec lui. Et il ne le lui permit pas, mais lui dit: Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur t'a fait, et comment il a usé de miséricorde envers toi. Et il s'en alla, et se mit à publier en Décapolis tout ce que Jésus lui avait fait; et tous s'en étonnaient. Et Jésus, ayant encore repassé à l'autre rive, dans la nacelle, une grande foule se rassembla auprès de lui; et il était au bord de la mer. Et un des chefs de synagogue, nommé Jaïrus, vient; et le voyant, il se jette à ses pieds; et il le suppliait instamment, disant: Ma fille est à l'extrémité; je te prie de venir et de lui imposer les mains, afin qu'elle soit sauvée, et qu'elle vive. Et il s'en alla avec lui; et une grande foule le suivit, et elle le pressait. Et une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans, et qui avait beaucoup souffert d'un grand nombre de médecins, et avait dépensé tout son bien, et n'en avait retiré aucun profit, mais plutôt allait en empirant, ayant ouï parler de Jésus, vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement; car elle disait: Si je touche, ne fût-ce que ses vêtements, je serai guérie. aussitôt son flux de sang tarit; et elle connut en son corps qu'elle était guérie du fléau. Et aussitôt Jésus, connaissant en lui-même la puissance qui était sortie de lui, se retournant dans la foule, dit: Qui a touché mes vêtements? Et ses disciples lui dirent: Tu vois la foule qui te presse, et tu dis: Qui m'a touché? Et il regardait tout à l'entour pour voir celle qui avait fait cela. Et la femme, effrayée et tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint et se jeta devant lui, et lui déclara toute la vérité. Et il lui dit: Ma fille, ta foi t'a guérie; va en paix, et sois guérie de ton fléau. Comme il parlait encore, il vient des gens de chez le chef de synagogue, disant: Ta fille est morte; pourquoi tourmentes-tu encore le maître? Et Jésus, ayant entendu la parole qui avait été dite, dit aussitôt au chef de synagogue: Ne crains pas, crois seulement.

Partager
Lire Marc 5

Marc 5:1-36 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Jésus et ses disciples arrivent de l’autre côté du lac, dans le pays des Géraséniens. Jésus descend de la barque. Aussitôt, un homme sort du cimetière et vient à sa rencontre. Cet homme a un esprit mauvais en lui. Il habite parmi les tombes. Personne ne peut plus le tenir attaché, même avec une chaîne. En effet, on a souvent attaché ses mains et ses pieds avec des chaînes, mais il les a toutes cassées et personne n’a la force de le faire tenir tranquille. Tout le temps, le jour et la nuit, il vit parmi les tombes et sur les collines. Il pousse des cris et se blesse avec des pierres. Quand il voit Jésus de loin, il court et se met à genoux devant lui. Il crie d’une voix forte : « Jésus, Fils du Dieu très-haut, qu’est-ce que tu me veux ? Je t’en prie, au nom de Dieu, ne me fais pas de mal ! » Il dit cela parce que Jésus lui donne cet ordre : « Esprit mauvais, sors de cet homme ! » Jésus demande à l’homme : « Comment t’appelles-tu ? » Il lui répond : « Je m’appelle “Armée”, parce que nous sommes nombreux. » Et il supplie Jésus en insistant : « Ne chasse pas ces esprits loin du pays ! » Il y a là un grand troupeau de cochons. Ils cherchent leur nourriture près de la colline. Les esprits mauvais supplient Jésus en disant : « Envoie-nous dans ces cochons. Laisse-nous entrer en eux ! » Jésus leur donne la permission. Alors les esprits mauvais sortent de l’homme et ils entrent dans les cochons. Le troupeau compte à peu près 2 000 cochons. Ils se précipitent tous du haut de la pente dans le lac et ils se noient. Les gardiens du troupeau partent en courant, ils vont raconter la nouvelle dans la ville et dans les villages. Les gens viennent voir ce qui s’est passé. Ils arrivent auprès de Jésus et voient l’homme qui avait les esprits mauvais. Il est assis, maintenant, il porte des vêtements et il est normal. Alors les gens ont peur. Ceux qui ont tout vu racontent aux autres ce qui est arrivé à l’homme aux esprits mauvais, et ce qui est arrivé aux cochons. Les gens se mettent à supplier Jésus en disant : « Quitte notre pays ! » Jésus monte dans la barque. L’homme qui avait les esprits mauvais lui demande : « S’il te plaît, je veux rester avec toi ! » Jésus n’accepte pas, mais il lui dit : « Retourne chez toi, dans ta famille. Raconte tout ce que le Seigneur a fait pour toi et comment il a eu pitié de toi. » L’homme s’en va. Il se met à annoncer dans la région des Dix Villes tout ce que Jésus a fait pour lui, et tout le monde est très étonné. Quand Jésus revient en barque de l’autre côté du lac, une grande foule se rassemble autour de lui. Il est au bord du lac. Un des chefs de la maison de prière arrive. Il s’appelle Jaïrus. Il voit Jésus, se jette à ses pieds et il le supplie en insistant : « Ma petite fille est mourante. Viens poser les mains sur sa tête pour qu’elle guérisse et qu’elle vive ! » Jésus s’en va avec lui. Une foule nombreuse l’accompagne et les gens sont très serrés autour de Jésus. Dans la foule, il y a une femme qui perd du sang depuis douze ans. Elle a beaucoup souffert chez de nombreux médecins. Elle a dépensé tout son argent, mais elle ne va pas mieux, au contraire, elle va plus mal. Cette femme a entendu parler de Jésus. Alors elle vient dans la foule derrière lui, et elle touche son vêtement. En effet, elle se dit : « Si je touche au moins ses vêtements, je serai guérie. » Aussitôt son sang s’arrête de couler et elle se rend compte qu’elle est guérie de sa maladie. Au même moment, Jésus sent qu’une force est sortie de lui. Il se retourne au milieu de la foule et il demande : « Qui a touché mes vêtements ? » Ses disciples lui répondent : « Tu le vois bien, la foule est très serrée autour de toi, et tu demandes : “Qui m’a touché ?” » Mais Jésus regarde autour de lui, pour voir qui a fait cela. La femme tremble de peur, parce qu’elle sait ce qui lui est arrivé. Elle vient se jeter aux pieds de Jésus et elle lui dit toute la vérité. Jésus lui dit : « Ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ta maladie. » Pendant que Jésus dit cela, des gens arrivent de la maison de Jaïrus et ils disent à celui-ci : « Ta fille est morte, ne dérange plus le maître. » Mais Jésus a entendu ces mots et il dit au chef de la maison de prière : « N’aie pas peur, crois seulement ! »

Partager
Lire Marc 5

Marc 5:1-36 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Ils arrivèrent sur l'autre bord de la mer, dans le pays des Gadaréniens. Aussitôt que Jésus fut hors de la barque, il vint au-devant de lui un homme, sortant des sépulcres, et possédé d'un esprit impur. Cet homme avait sa demeure dans les sépulcres, et personne ne pouvait plus le lier, même avec une chaîne. Car souvent il avait eu les fers aux pieds et avait été lié de chaînes, mais il avait rompu les chaînes et brisé les fers, et personne n'avait la force de le dompter. Il était sans cesse, nuit et jour, dans les sépulcres et sur les montagnes, criant, et se meurtrissant avec des pierres. Ayant vu Jésus de loin, il accourut, se prosterna devant lui, et s'écria d'une voix forte: Qu'y a-t-il entre moi et toi, Jésus, Fils du Dieu Très-Haut? Je t'en conjure au nom de Dieu, ne me tourmente pas. Car Jésus lui disait: Sors de cet homme, esprit impur! Et il lui demanda: Quel est ton nom? Légion est mon nom, lui répondit-il, car nous sommes plusieurs. Et il le priait instamment de ne pas les envoyer hors du pays. Il y avait là, vers la montagne, un grand troupeau de pourceaux qui paissaient. Et les démons le prièrent, disant: Envoie-nous dans ces pourceaux, afin que nous entrions en eux. Il le leur permit. Et les esprits impurs sortirent, entrèrent dans les pourceaux, et le troupeau se précipita des pentes escarpées dans la mer: il y en avait environ deux mille, et ils se noyèrent dans la mer. Ceux qui les faisaient paître s'enfuirent, et répandirent la nouvelle dans la ville et dans les campagnes. Les gens allèrent voir ce qui était arrivé. Ils vinrent auprès de Jésus, et ils virent le démoniaque, celui qui avait eu la légion, assis, vêtu, et dans son bon sens; et ils furent saisis de frayeur. Ceux qui avaient vu ce qui s'était passé leur racontèrent ce qui était arrivé au démoniaque et aux pourceaux. Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Comme il montait dans la barque, celui qui avait été démoniaque lui demanda la permission de rester avec lui. Jésus ne le lui permit pas, mais il lui dit: Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur t'a fait, et comment il a eu pitié de toi. Il s'en alla, et se mit à publier dans la Décapole tout ce que Jésus avait fait pour lui. Et tous furent dans l'étonnement. Jésus dans la barque regagna l'autre rive, où une grande foule s'assembla près de lui. Il était au bord de la mer. Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l'ayant aperçu, se jeta à ses pieds, et lui adressa cette instante prière: Ma petite fille est à l'extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu'elle soit sauvée et qu'elle vive. Jésus s'en alla avec lui. Et une grande foule le suivait et le pressait. Or, il y avait une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans. Elle avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins, elle avait dépensé tout ce qu'elle possédait, et elle n'avait éprouvé aucun soulagement, mais était allée plutôt en empirant. Ayant entendu parler de Jésus, elle vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement. Car elle disait: Si je puis seulement toucher ses vêtements, je serai guérie. Au même instant la perte de sang s'arrêta, et elle sentit dans son corps qu'elle était guérie de son mal. Jésus connut aussitôt en lui-même qu'une force était sortie de lui; et, se retournant au milieu de la foule, il dit: Qui a touché mes vêtements? Ses disciples lui dirent: Tu vois la foule qui te presse, et tu dis: Qui m'a touché? Et il regardait autour de lui, pour voir celle qui avait fait cela. La femme, effrayée et tremblante, sachant ce qui s'était passé en elle, vint se jeter à ses pieds, et lui dit toute la vérité. Mais Jésus lui dit: Ma fille, ta foi t'a sauvée; va en paix, et sois guérie de ton mal. Comme il parlait encore, survinrent de chez le chef de la synagogue des gens qui dirent: Ta fille est morte; pourquoi importuner davantage le maître? Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement.

Partager
Lire Marc 5

Marc 5:1-36 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Ils arrivèrent de l’autre côté du lac, dans la région de Gérasa, où Jésus débarqua. Aussitôt, sortant des tombeaux, un homme qui était sous l’emprise d’un esprit mauvais vint à sa rencontre. Il habitait dans les tombeaux et, même avec une chaîne, personne ne pouvait plus le tenir attaché. Car on l’avait souvent enchaîné et on lui avait mis des fers aux pieds, mais il cassait les chaînes et brisait les fers : personne ne pouvait le maîtriser. Sans cesse, nuit et jour, il errait parmi les tombes et sur les montagnes en hurlant, se blessant contre les rochers. D’aussi loin qu’il vit Jésus, il accourut, se prosterna devant lui et lui cria de toutes ses forces : Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu très-haut ? Je t’en conjure, au nom de Dieu, ne me tourmente pas ! Car Jésus lui disait : Esprit mauvais, sors de cet homme ! Jésus lui demanda : Quel est ton nom ? – Je m’appelle Légion, lui répondit-il, car nous sommes une multitude. Et il pria instamment Jésus de ne pas les renvoyer du pays. Or, il y avait par là, sur la montagne, un grand troupeau de porcs en train de paître. Les esprits mauvais supplièrent Jésus : Envoie-nous dans ces porcs, pour que nous entrions en eux ! Jésus le leur permit. Ils sortirent donc de l’homme et entrèrent dans les porcs. Aussitôt, le troupeau, qui comptait environ deux mille bêtes, s’élança du haut de la pente et se précipita dans le lac où elles se noyèrent. Les gardiens s’enfuirent et allèrent raconter l’histoire dans la ville et dans les fermes. Les gens vinrent donc voir ce qui s’était passé. Arrivés auprès de Jésus, ils virent l’homme qui avait été sous l’emprise de cette légion de démons, assis là, habillé et tout à fait sain d’esprit. Alors la crainte s’empara d’eux. Ceux qui avaient assisté à la scène leur racontèrent ce qui était arrivé à cet homme et aux porcs ; et les gens se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Au moment où Jésus remontait dans le bateau, l’homme qui avait été délivré des démons lui demanda s’il pouvait l’accompagner. Mais Jésus ne le lui permit pas. Il lui dit : Va, rentre chez toi, auprès des tiens, et raconte-leur ce que le Seigneur a fait pour toi et quelle compassion il a eu pour toi. Alors il s’en alla et se mit à proclamer dans la région des « Dix Villes » ce que Jésus avait fait pour lui – au grand étonnement de ceux qui l’écoutaient. Jésus regagna en bateau l’autre rive du lac. Là, une foule immense s’assembla autour de lui sur le rivage. Survint alors l’un des responsables de la synagogue, nommé Jaïrus. En voyant Jésus, il se jeta à ses pieds et le supplia instamment : Ma petite fille va mourir. Viens lui imposer les mains pour qu’elle guérisse et qu’elle vive. Alors Jésus partit avec lui, suivi d’une foule nombreuse qui le serrait de tous côtés. Dans la foule se trouvait une femme atteinte d’hémorragies depuis douze ans. Elle avait été soignée par de nombreux médecins et en avait beaucoup souffert. Elle avait dépensé toute sa fortune sans trouver la moindre amélioration ; au contraire, son état avait empiré. Elle avait entendu parler de Jésus, et dans la foule, elle s’était approchée de lui par-derrière et avait touché son vêtement, en se disant : Si j’arrive à toucher ses vêtements, je serai guérie. A l’instant même, son hémorragie s’arrêta et elle se sentit délivrée de son mal. Aussitôt Jésus eut conscience qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule et demanda : Qui a touché mes vêtements ? Ses disciples lui dirent : Tu vois la foule qui te presse de tous côtés et tu demandes : « Qui m’a touché ? » Mais lui continuait à parcourir la foule du regard pour voir celle qui avait fait cela. Alors, saisie de crainte et toute tremblante, la femme, sachant ce qui lui était arrivé, s’avança, se jeta aux pieds de Jésus et lui dit toute la vérité. Jésus lui dit : Ma fille, parce que tu as eu foi en moi, tu es guériee ; va en paix et sois guérie de ton mal. Pendant qu’il parlait encore, quelques personnes arrivèrent de chez le chef de la synagogue pour lui dire : Ta fille est morte. A quoi bon importuner encore le Maître ? Mais Jésus entendit ces paroles. Il dit au chef de la synagogue : Ne crains pas. Crois seulement !

Partager
Lire Marc 5

Marc 5:1-36 Bible Segond 21 (S21)

Ils arrivèrent sur l'autre rive du lac, dans le pays des Gadaréniens. Dès que Jésus fut hors de la barque, un homme vint à sa rencontre; il sortait des tombeaux et il était animé par un esprit impur. Cet homme habitait dans les tombeaux, et personne ne pouvait plus l'attacher, même avec une chaîne. En effet, souvent on l’avait attaché avec des fers aux pieds et des chaînes, mais il avait cassé les chaînes et brisé les fers, et personne n'avait la force de le maîtriser. Il était sans cesse, nuit et jour, dans les tombeaux et sur les montagnes; il criait et se blessait lui-même avec des pierres. Il vit Jésus de loin, accourut, se prosterna devant lui et s'écria d'une voix forte: «Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu très-haut? Je t'en supplie au nom de Dieu, ne me tourmente pas.» En effet, Jésus lui disait: «Sors de cet homme, esprit impur!» Il lui demanda: «Quel est ton nom?» «Mon nom est légion, car nous sommes nombreux», répondit-il. Et il le suppliait avec insistance de ne pas les envoyer hors du pays. Il y avait là, vers la montagne, un grand troupeau de porcs en train de chercher à manger. Tous les démons le supplièrent: «Envoie-nous dans ces porcs afin que nous entrions en eux.» Il le leur permit [aussitôt]. Les esprits impurs sortirent de l'homme, entrèrent dans les porcs, et le troupeau se précipita du haut de la falaise dans le lac; il y avait environ 2000 porcs, et ils se noyèrent dans le lac. Les gardiens du troupeau s'enfuirent et allèrent le raconter dans la ville et dans les campagnes. Les gens allèrent voir ce qui était arrivé. Ils vinrent vers Jésus et virent le démoniaque, celui qui avait eu la légion de démons, assis, habillé et dans son bon sens; et ils furent saisis de frayeur. Ceux qui avaient été témoins de la scène leur racontèrent ce qui était arrivé au démoniaque et aux porcs. Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Comme il montait dans la barque, celui qui avait été démoniaque le suppliait, demandant à l’accompagner. Jésus ne le lui permit pas mais lui dit: «Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur a fait pour toi, comment il a eu pitié de toi.» Il s'en alla et se mit à proclamer dans la Décapole tout ce que Jésus avait fait pour lui. Et tous étaient dans l'étonnement. Jésus regagna en barque l'autre rive, où une grande foule se rassembla autour de lui. Il était au bord du lac. Alors vint un des chefs de la synagogue, du nom de Jaïrus. Lorsqu'il aperçut Jésus, il se jeta à ses pieds et le supplia avec insistance: «Ma petite fille est sur le point de mourir. Viens, pose les mains sur elle afin qu'elle soit sauvée, et elle vivra.» Jésus s'en alla avec lui. Une grande foule le suivait et le pressait de tous côtés. Or, il y avait une femme atteinte d'hémorragies depuis 12 ans. Elle avait beaucoup souffert entre les mains de nombreux médecins. Elle avait dépensé tout ce qu'elle possédait, mais cela n’avait servi à rien; au contraire, son état avait plutôt empiré. Elle entendit parler de Jésus, vint dans la foule par-derrière et toucha son vêtement, car elle se disait: «Même si je ne touche que ses vêtements, je serai guérie.» A l'instant même, son hémorragie s'arrêta, et elle sentit dans son corps qu'elle était guérie de son mal. Jésus se rendit aussitôt compte qu'une force était sortie de lui; il se retourna au milieu de la foule et dit: «Qui a touché mes vêtements?» Ses disciples lui dirent: «Tu vois la foule qui te presse et tu dis: ‘Qui m'a touché?’» Jésus regardait autour de lui pour voir celle qui avait fait cela. La femme, effrayée et tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint se jeter à ses pieds et lui dit toute la vérité. Alors il lui dit: «Ma fille, ta foi t'a sauvée. Pars dans la paix et sois guérie de ton mal.» Il parlait encore quand des gens arrivèrent de chez le chef de la synagogue et lui dirent: «Ta fille est morte. Pourquoi déranger encore le maître?» Dès qu’il entendit cette parole, Jésus dit au chef de la synagogue: «N’aie pas peur, crois seulement.»

Partager
Lire Marc 5

Marc 5:1-36 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Ils arrivèrent à l’autre bord de la mer, dans le pays des Gadaréniens. Aussitôt que Jésus fut hors de la barque, il vint au-devant de lui un homme, sortant des sépulcres, et possédé d’un esprit impur. Cet homme avait sa demeure dans les sépulcres, et personne ne pouvait plus le lier, même avec une chaîne. Car souvent il avait eu les fers aux pieds et avait été lié de chaînes, mais il avait rompu les chaînes et brisé les fers, et personne n’avait la force de le dompter. Il était sans cesse, nuit et jour, dans les sépulcres et sur les montagnes, criant, et se meurtrissant avec des pierres. Ayant vu Jésus de loin, il accourut, se prosterna devant lui, et s’écria d’une voix forte: Qu’y a-t-il entre moi et toi, Jésus, Fils du Dieu Très-Haut? Je t’en conjure au nom de Dieu, ne me tourmente pas. Car Jésus lui disait: Sors de cet homme, esprit impur! Et, il lui demanda: Quel est ton nom? Légion est mon nom, lui répondit-il, car nous sommes plusieurs. Et il le priait instamment de ne pas les envoyer hors du pays. Il y avait là, vers la montagne, un grand troupeau de pourceaux qui paissaient. Et les démons le prièrent, disant: Envoie-nous dans ces pourceaux, afin que nous entrions en eux. Il le leur permit. Et les esprits impurs sortirent, entrèrent dans les pourceaux, et le troupeau se précipita des pentes escarpées dans la mer: il y en avait environ deux mille, et ils se noyèrent dans la mer. Ceux qui les faisaient paître s’enfuirent, et répandirent la nouvelle dans la ville et dans les campagnes. Les gens allèrent voir ce qui était arrivé. Ils vinrent auprès de Jésus, et ils virent le démoniaque, celui qui avait eu la légion, assis, vêtu, et dans son bon sens; et ils furent saisis de frayeur. Ceux qui avaient vu ce qui s’était passé leur racontèrent ce qui était arrivé au démoniaque et aux pourceaux. Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Comme il montait dans la barque, celui qui avait été démoniaque lui demanda la permission de rester avec lui. Jésus ne le lui permit pas, mais il lui dit: Va dans ta maison, vers les tiens, et raconte-leur tout ce que le Seigneur t’a fait, et comment il a eu pitié de toi. Il s’en alla, et se mit à publier dans la Décapole tout ce que Jésus avait fait pour lui. Et tous furent dans l’étonnement. Jésus dans la barque regagna l’autre rive, où une grande foule s’assembla près de lui. Il était au bord de la mer. Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l’ayant aperçu, se jeta à ses pieds, et lui adressa cette instante prière: Ma petite fille est à l’extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. Jésus s’en alla avec lui. Et une grande foule le suivait et le pressait. Or, il y avait une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans. Elle avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins, elle avait dépensé tout ce qu’elle possédait, et elle n’avait éprouvé aucun soulagement, mais était allée plutôt en empirant. Ayant entendu parler de Jésus, elle vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement. Car elle disait: Si je puis seulement toucher ses vêtements, je serai guérie. Au même instant la perte de sang s’arrêta, et elle sentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal. Jésus connut aussitôt en lui-même qu’une force était sortie de lui; et, se retournant au milieu de la foule, il dit: Qui a touché mes vêtements? Ses disciples lui dirent: Tu vois la foule qui te presse, et tu dis: Qui m’a touché? Et il regardait autour de lui, pour voir celle qui avait fait cela. La femme, effrayée et tremblante, sachant ce qui s’était passé en elle, vint se jeter à ses pieds, et lui dit toute la vérité. Mais Jésus lui dit: Ma fille, ta foi t’a sauvée; va en paix, et sois guérie de ton mal. Comme il parlait encore, survinrent de chez le chef de la synagogue des gens qui dirent: Ta fille est morte; pourquoi importuner davantage le maître? Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement.

Partager
Lire Marc 5

Marc 5:1-36 Bible en français courant (BFC)

Puis ils arrivèrent de l'autre côté du lac de Galilée, dans le territoire des Géraséniens. Jésus descendit de la barque et, aussitôt, un homme sortit du milieu des tombeaux et vint à sa rencontre. Cet homme était possédé par un esprit mauvais et il vivait parmi les tombeaux. Personne ne pouvait plus le tenir attaché, même avec une chaîne; souvent, en effet, on lui avait mis des fers aux pieds et des chaînes aux mains, mais il avait rompu les chaînes et brisé les fers. Personne n'était assez fort pour le maîtriser. Continuellement, la nuit comme le jour, il errait parmi les tombeaux et sur les collines, en poussant des cris et en se blessant lui-même avec des pierres. Il vit Jésus de loin; alors il accourut, se jeta à genoux devant lui, et cria avec force: «Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu très-haut? Je t'en conjure, au nom de Dieu, ne me tourmente pas!» – Jésus lui disait en effet: «Esprit mauvais, sors de cet homme!» – Jésus l'interrogea: «Quel est ton nom?» Il répondit: «Mon nom est “Multitude”, car nous sommes nombreux.» Et il le suppliait avec insistance de ne pas envoyer les esprits mauvais hors de la région. Il y avait là un grand troupeau de porcs qui cherchait sa nourriture près de la colline. Les esprits adressèrent cette prière à Jésus: «Envoie-nous dans ces porcs, laisse nous entrer en eux!» Jésus le leur permit. Alors les esprits mauvais sortirent de l'homme et entrèrent dans les porcs. Tout le troupeau – environ deux mille porcs – se précipita du haut de la falaise dans le lac et s'y noya. Les hommes qui gardaient les porcs s'enfuirent et portèrent la nouvelle dans la ville et dans les fermes. Les gens vinrent donc voir ce qui s'était passé. Ils arrivèrent auprès de Jésus et virent l'homme qui avait été possédé d'une multitude d'esprits mauvais: il était assis, il portait des vêtements et était dans son bon sens. Et ils prirent peur. Ceux qui avaient tout vu leur racontèrent ce qui était arrivé à l'homme possédé et aux porcs. Alors ils se mirent à supplier Jésus de quitter leur territoire. Au moment où Jésus montait dans la barque, l'homme guéri lui demanda de pouvoir rester avec lui. Jésus ne le lui permit pas, mais il lui dit: «Retourne chez toi, dans ta famille, et raconte-leur tout ce que le Seigneur a fait dans sa bonté pour toi.» L'homme s'en alla donc et se mit à proclamer dans la région des Dix Villes tout ce que Jésus avait fait pour lui; et tous ceux qui l'entendirent furent remplis d'étonnement. Jésus revint en barque de l'autre côté du lac. Une grande foule s'assembla autour de lui alors qu'il se tenait au bord de l'eau. Un chef de la synagogue locale, nommé Jaïrus, arriva. Il vit Jésus, se jeta à ses pieds et le supplia avec insistance: «Ma petite fille est mourante, dit-il. Je t'en prie, viens et pose les mains sur elle afin qu'elle soit sauvée et qu'elle vive!» Jésus partit avec lui. Une grande foule l'accompagnait et le pressait de tous côtés. Il y avait là une femme qui avait des pertes de sang depuis douze ans. Elle avait été chez de nombreux médecins, dont le traitement l'avait fait beaucoup souffrir. Elle y avait dépensé tout son argent, mais cela n'avait servi à rien; au contraire, elle allait plus mal. Elle avait entendu parler de Jésus. Elle vint alors dans la foule, derrière lui, et toucha son vêtement. Car elle se disait: «Si je touche au moins ses vêtements, je serai guérie.» Sa perte de sang s'arrêta aussitôt et elle se sentit guérie de son mal. Au même moment, Jésus se rendit compte qu'une force était sortie de lui. Il se retourna au milieu de la foule et demanda: «Qui a touché mes vêtements?» Ses disciples lui répondirent: «Tu vois que la foule te presse de tous côtés, et tu demandes encore: “Qui m'a touché?” » Mais Jésus regardait autour de lui pour voir qui avait fait cela. La femme tremblait de peur parce qu'elle savait ce qui lui était arrivé; elle vint alors se jeter à ses pieds et lui avoua toute la vérité. Jésus lui dit: «Ma fille, ta foi t'a guérie. Va en paix, délivrée de ton mal.» Tandis que Jésus parlait ainsi, des messagers vinrent de la maison du chef de la synagogue et lui dirent: «Ta fille est morte. Pourquoi déranger encore le Maître?» Mais Jésus ne prêta aucune attention à leurs paroles et dit à Jaïrus: «N'aie pas peur, crois seulement.»

Partager
Lire Marc 5

YouVersion utilise des cookies pour personnaliser votre expérience. En utilisant notre site Web, vous acceptez l'utilisation des cookies comme décrit dans notre Politique de confidentialité