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Marc 14:35-72

Marc 14:35-72 Bible Darby en français (FRDBY)

Et s'en allant un peu plus avant, il se jeta contre terre, et il priait que, s'il était possible, l'heure passât loin de lui. Et il disait: Abba, Père, toutes choses te sont possibles; fais passer cette coupe loin de moi; toutefois non pas ce que je veux, moi, mais ce que tu veux, toi! Et il vient, et les trouve dormant; et il dit à Pierre: Simon, tu dors? Tu n'as pu veiller une heure? Veillez et priez, afin que vous n'entriez pas en tentation; l'esprit est prompt, mais la chair est faible. Et il s'en alla de nouveau, et il pria, disant les mêmes paroles. Et s'en étant retourné, il les trouva de nouveau dormant (car leurs yeux étaient appesantis); et ils ne savaient que lui répondre. Et il vient pour la troisième fois et leur dit: Dormez dorénavant et reposez-vous; il suffit, l'heure est venue; voici, le fils de l'homme est livré entre les mains des pécheurs. Levez-vous, allons; voici, celui qui me livre s'est approché. Et aussitôt, comme il parlait encore, Judas, l'un des douze, se trouve là, et avec lui une grande foule avec des épées et des bâtons, de la part des principaux sacrificateurs et des scribes et des anciens. Et celui qui le livrait leur avait donné un signe, disant: Celui que je baiserai, c'est lui; saisissez-le, et emmenez-le sûrement. Et quand il fut venu, aussitôt s'approchant de lui, il dit: Rabbi, Rabbi! et il le baisa avec empressement. Et ils mirent les mains sur lui et se saisirent de lui. Et l'un de ceux qui étaient là présents, ayant tiré l'épée, frappa l'esclave du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille. Et Jésus, répondant, leur dit: Etes-vous sortis comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour me prendre? J'étais tous les jours avec vous, enseignant dans le temple, et vous ne vous êtes pas saisis de moi; mais c'est afin que les écritures soient accomplies. Et tous le laissèrent et s'enfuirent. Et un certain jeune homme le suivit, enveloppé d'une toile de fin lin sur le corps nu; et ils le saisissent; et, abandonnant la toile de fin lin, il leur échappa tout nu. Et ils amenèrent Jésus au souverain sacrificateur; et tous les principaux sacrificateurs et les anciens et les scribes s'assemblent auprès de lui. Et Pierre le suivit de loin, jusque dans l'intérieur du palais du souverain sacrificateur, et il s'assit avec les huissiers, et se chauffait près du feu. Or les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient quelque témoignage contre Jésus, pour le faire mourir; et ils n'en trouvaient point. Car plusieurs portaient de faux témoignages contre lui; et les témoignages ne s'accordaient pas. Et quelques-uns s'élevèrent et portèrent un faux témoignage contre lui, disant: Nous l'avons entendu disant: Moi, je détruirai ce temple qui est fait de main, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main. Et ainsi non plus leur témoignage ne s'accordait pas. Et le souverain sacrificateur, se levant devant tous, interrogea Jésus, disant: Ne réponds-tu rien? De quoi ceux-ci témoignent-ils contre toi? Et il garda le silence, et ne répondit rien. Le souverain sacrificateur l'interrogea encore, et lui dit: Toi, tu es le Christ, le Fils du Béni? Et Jésus dit: Je le suis; et vous verrez le fils de l'homme assis à la droite de la puissance, et venant avec les nuées du ciel. Et le souverain sacrificateur, ayant déchiré ses vêtements, dit: Qu'avons-nous encore besoin de témoins? Vous avez ouï le blasphème: que vous en semble? Et tous le condamnèrent comme méritant la mort. Et quelques-uns se mirent à cracher contre lui, et à lui couvrir le visage, et à lui donner des soufflets, et à lui dire: Prophétise. Et les huissiers le frappaient de leurs mains. Et comme Pierre était en bas, dans la cour, une des servantes du souverain sacrificateur vient, et, apercevant Pierre qui se chauffait, elle le regarda et dit: Et toi, tu étais avec le Nazarénien Jésus. Et il le nia, disant: Je ne sais ni n'entends ce que tu dis. Et il sortit dehors dans le vestibule; et le coq chanta. Et la servante, l'apercevant encore, se mit à dire à ceux qui étaient là: Celui-ci est de ces gens-là. Et il le nia de nouveau. Et encore un peu après, ceux qui étaient là présents dirent à Pierre: Certainement tu es de ces gens-là; car aussi tu es Galiléen. Et il se mit à faire des imprécations et à jurer: Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. Et le coq chanta pour la seconde fois. Et Pierre se ressouvint de la parole que Jésus lui avait dite: Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Et en y pensant, il pleura.

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Marc 14:35-72 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Il va un peu plus loin. Il se jette par terre et il demande à Dieu d’éloigner ce moment de souffrance, si c’est possible. Il dit : « Abba, Père, pour toi tout est possible. Éloigne de moi cette coupe de souffrance ! Pourtant, ne fais pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » Jésus revient vers les trois disciples et il les trouve endormis. Il dit à Pierre : « Simon, tu dors ? Tu n’as pas eu la force de rester éveillé, même pendant une heure ? Restez éveillés et priez pour pouvoir résister quand l’esprit du mal vous tentera. Vous désirez faire le bien, mais vous n’avez pas la force de résister au mal. » Jésus s’éloigne encore et il fait la même prière. Il revient vers les trois disciples et les trouve endormis. Ils ne peuvent pas garder leurs yeux ouverts et ils ne savent pas quoi lui dire. Une troisième fois, Jésus s’éloigne et il revient. Il dit à ses disciples : « Vous dormez encore et vous vous reposez ? C’est fini ! C’est le moment ! Le Fils de l’homme va être livré aux mains des pécheurs ! Levez-vous, allons ! Voyez, l’homme qui me livre est arrivé ! » Au même moment, pendant que Jésus dit cela, Judas, l’un des douze apôtres, arrive. Il y a avec lui une foule de gens avec des armes et des bâtons. Ils viennent de la part des chefs des prêtres, des maîtres de la loi et des anciens. Judas, celui qui livre Jésus, a déjà expliqué à la foule ce qu’il va faire. Il leur a dit : « L’homme que je vais embrasser, c’est lui ! Arrêtez-le, emmenez-le et gardez-le bien ! » En arrivant, Judas s’approche tout de suite de Jésus, et il lui dit : « Maître ! » Puis il l’embrasse. Alors les gens mettent la main sur Jésus et ils l’arrêtent. Un des disciples prend son épée. Il frappe le serviteur du grand-prêtre et lui coupe l’oreille. Jésus leur dit : « Vous êtes venus me prendre avec des armes et des bâtons, comme pour arrêter un bandit ! Tous les jours, j’étais avec vous dans le temple et j’enseignais. Pourtant, vous ne m’avez pas arrêté. Mais, de cette façon, ce que les Livres Saints ont dit se réalise. » Tous les disciples abandonnent Jésus et ils partent en courant. Un jeune homme suit Jésus. Il est couvert seulement d’un drap. On l’arrête, mais il laisse le drap et il part en courant, tout nu. Ils emmènent Jésus chez le grand-prêtre. Là, tous les chefs des prêtres, les anciens et les maîtres de la loi se réunissent. Pierre suit Jésus de loin et il entre chez le grand-prêtre. Il s’assoit dans la cour avec les serviteurs et il se chauffe près du feu. Les chefs des prêtres et tout le Tribunal religieux cherchent une raison d’accuser Jésus pour le condamner à mort, mais ils n’en trouvent pas. En effet, beaucoup de témoins disent des mensonges contre Jésus, mais ils ne sont pas d’accord entre eux. Quelques-uns se lèvent et ils accusent Jésus en disant ce mensonge : « Nous l’avons entendu dire : “Je détruirai ce temple que les hommes ont construit. Et en trois jours, j’en bâtirai un autre qui ne sera pas construit par les hommes.” » Mais même ces témoins-là ne sont pas d’accord entre eux. Alors le grand-prêtre se lève devant tout le monde et il demande à Jésus : « Tu ne réponds rien ? Qu’est-ce que ces gens disent contre toi ? » Mais Jésus se tait, il ne répond rien. De nouveau, le grand-prêtre lui demande : « Est-ce que tu es le Messie, le Fils du Dieu que nous adorons ? » Jésus lui répond : « Oui, je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite du Dieu tout-puissant, et venir parmi les nuages du ciel. » Alors le grand-prêtre déchire ses vêtements et il dit : « Nous n’avons plus besoin de témoins ! Vous l’avez entendu insulter Dieu. Qu’est-ce que vous en pensez ? » Tout le monde condamne Jésus et dit qu’il doit mourir. Quelques-uns se mettent à cracher sur lui. Ils couvrent son visage, ils le frappent à coups de poing et lui disent : « Qui t’a frappé ? Devine ! » Les serviteurs prennent Jésus et lui donnent des gifles. Pierre est en bas, dans la cour. Une servante du grand-prêtre arrive. Elle voit Pierre qui se chauffe, elle le regarde et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth ! » Mais Pierre répond : « Non ! Je ne comprends pas et je ne sais pas ce que tu veux dire ! » Ensuite, il va à l’entrée de la cour. Alors un coq chante. La servante voit Pierre et elle recommence à dire à ceux qui sont là : « Cet homme est un des disciples ! » Mais Pierre dit encore une fois : « Non ! Pas du tout ! » Un peu plus tard, ceux qui sont là disent de nouveau à Pierre : « Sûrement, tu es un des disciples ! En effet, tu es de Galilée, toi aussi ! » Pierre se met à dire : « Que Dieu me punisse si je mens ! Je ne connais pas cet homme, je le jure ! » Au même moment, un coq chante une deuxième fois. Alors Pierre se souvient que Jésus lui a dit : « Avant que le coq chante deux fois, tu diras trois fois que tu ne me connais pas. » Et Pierre se met à pleurer.

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Marc 14:35-72 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta contre terre, et pria que, s'il était possible, cette heure s'éloigne de lui. Il disait: Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. Et il vint vers les disciples, qu'il trouva endormis, et il dit à Pierre: Simon, tu dors! Tu n'as pu veiller une heure! Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation; l'esprit est bien disposé, mais la chair est faible. Il s'éloigna de nouveau, et fit la même prière. Il revint, et les trouva encore endormis; car leurs yeux étaient appesantis. Ils ne surent que lui répondre. Il revint pour la troisième fois, et leur dit: Dormez maintenant, et reposez-vous! C'est assez! L'heure est venue; voici, le Fils de l'homme est livré aux mains des pécheurs. Levez-vous, allons; voici, celui qui me livre s'approche. Et aussitôt, comme il parlait encore, arriva Judas, l'un des douze, et avec lui une foule armée d'épées et de bâtons, envoyée par les principaux sacrificateurs, par les scribes et par les anciens. Celui qui le livrait leur avait donné ce signe: Celui à qui je donnerai un baiser, c'est lui; saisissez-le, et emmenez-le sûrement. Dès qu'il fut arrivé, il s'approcha de Jésus, disant: Rabbi! Et il lui donna un baiser. Alors ces gens mirent la main sur Jésus, et le saisirent. Un de ceux qui étaient là, tirant l'épée, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille. Jésus, prenant la parole, leur dit: Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour vous emparer de moi. J'étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m'avez pas saisi. Mais c'est afin que les Ecritures soient accomplies. Alors tous l'abandonnèrent, et prirent la fuite. Un jeune homme le suivait, n'ayant sur le corps qu'un drap. On se saisit de lui; mais il lâcha son vêtement, et se sauva tout nu. Ils emmenèrent Jésus chez le souverain sacrificateur, où s'assemblèrent tous les principaux sacrificateurs, les anciens et les scribes. Pierre le suivit de loin jusque dans l'intérieur de la cour du souverain sacrificateur; il s'assit avec les serviteurs, et il se chauffait près du feu. Les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus, pour le faire mourir, et ils n'en trouvaient point; car plusieurs rendaient de faux témoignages contre lui, mais les témoignages ne s'accordaient pas. Quelques-uns se levèrent, et portèrent un faux témoignage contre lui, disant: Nous l'avons entendu dire: Je détruirai ce temple fait de main d'homme, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme. Même sur ce point-là leur témoignage ne s'accordait pas. Alors le souverain sacrificateur, se levant au milieu de l'assemblée, interrogea Jésus, et dit: Ne réponds-tu rien? Qu'est-ce que ces gens déposent contre toi? Jésus garda le silence, et ne répondit rien. Le souverain sacrificateur l'interrogea de nouveau, et lui dit: Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni? Jésus répondit: Je le suis. Et vous verrez le Fils de l'homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel. Alors le souverain sacrificateur déchira ses vêtements, et dit: Qu'avons-nous encore besoin de témoins? Vous avez entendu le blasphème. Que vous en semble? Tous le condamnèrent comme méritant la mort. Et quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper à coups de poing, en lui disant: Devine! Et les serviteurs le reçurent en lui donnant des soufflets. Pendant que Pierre était en bas dans la cour, il vint une des servantes du souverain sacrificateur. Voyant Pierre qui se chauffait, elle le regarda, et lui dit: Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth. Il le nia, disant: Je ne sais pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit pour aller dans le vestibule. [Et le coq chanta. ] La servante, l'ayant vu, se mit de nouveau à dire à ceux qui étaient présents: Celui-ci est de ces gens-là. Et il le nia de nouveau. Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre: Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen. Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. Aussitôt, pour la seconde fois, le coq chanta. Et Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite: Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Et en y réfléchissant, il pleurait.

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Marc 14:35-72 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Il fit quelques pas, se laissa tomber à terre et pria Dieu que cette heure s’éloigne de lui, si c’était possible : Abba , Père, pour toi, tout est possible. Eloigne de moi cette coupe; cependant, qu’il arrive non pas ce que moi, je veux, mais ce que toi, tu veux. Il revint vers ses disciples et les trouva endormis. Il dit à Pierre : Simon, tu dors ? Tu n’as pas été capable de veiller une heure ! Veillez et priez pour ne pas céder à la tentation. L’esprit de l’homme est plein de bonne volonté, mais la nature humaine est bien faible. Il s’éloigna de nouveau pour prier, en répétant les mêmes paroles. Puis il revint encore vers les disciples et les trouva de nouveau endormis, car ils avaient tellement sommeil qu’ils n’arrivaient pas à garder les yeux ouverts, et ils ne surent que lui répondre. Lorsqu’il revint pour la troisième fois, il leur dit : Vous dormez encore et vous vous reposez! C’en est fait ! L’heure est venue. Le Fils de l’homme est livré entre les mains des pécheurs. Levez-vous et allons-y. Car celui qui me trahit est là. Il n’avait pas fini de parler que soudain survint Judas, l’un des Douze, accompagné d’une troupe armée d’épées et de gourdins. C’étaient les chefs des prêtres, les spécialistes de la Loi et les responsables du peuple qui les envoyaient. Le traître avait convenu avec eux d’un signal : Celui que j’embrasserai, c’est lui. Saisissez-vous de lui et emmenez-le sous bonne garde. En arrivant, Judas se dirigea droit sur Jésus ; il lui dit : « Maître ! » et l’embrassa. Aussitôt, les autres mirent la main sur Jésus et l’arrêtèrent. Mais l’un de ceux qui étaient là dégaina son épée, en donna un coup au serviteur du grand-prêtre et lui emporta l’oreille. Jésus leur dit : Me prenez-vous pour un bandit, pour que vous soyez venus en force avec des épées et des gourdins pour vous emparer de moi ? J’étais parmi vous chaque jour dans la cour du Temple pour donner mon enseignement et vous ne m’avez pas arrêté. Mais il en est ainsi pour que les Ecritures s’accomplissent. Alors tous ses compagnons l’abandonnèrent et prirent la fuite. Un jeune homme le suivait, couvert seulement d’un drap. On le saisit, mais il abandonna le drap et s’enfuit, tout nu. Jésus fut conduit devant le grand-prêtre chez qui se rassemblèrent les chefs des prêtres, les responsables du peuple et les spécialistes de la Loi. Pierre l’avait suivi à distance, jusqu’à l’intérieur de la cour du palais du grand-prêtre. Il était assis avec les gardes, près du feu, pour se réchauffer. Les chefs des prêtres et le Grand-Conseil au complet cherchaient un témoignage contre Jésus pour pouvoir le condamner à mort. Mais ils n’en trouvaient pas. Car il y avait beaucoup de gens pour apporter des faux témoignages contre lui, mais ces témoignages ne concordaient pas. Finalement, quelques-uns se levèrent pour porter contre lui ce faux témoignage : Nous l’avons entendu dire : « Je démolirai ce temple fait de main d’homme et, en trois jours, j’en reconstruirai un autre, qui ne sera pas fait par des mains humaines. » Mais même là-dessus, leurs dépositions ne s’accordaient pas. Alors le grand-prêtre se leva au milieu de l’assemblée et interrogea Jésus. – Eh bien, demanda-t-il, tu n’as rien à répondre aux témoignages qu’on vient de porter contre toi ? Mais Jésus garda le silence et ne répondit pas. Le grand-prêtre l’interrogea de nouveau et lui demanda : Es-tu le Messie, le Fils du Dieu béni ? Et Jésus lui répondit : Oui, je le suis ! Et vous verrez le Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant et venir en gloire avec les nuées du ciel. Alors, le grand-prêtre déchira ses vêtements en signe de consternation et s’écria : Qu’avons-nous encore besoin de témoins ! Vous avez entendu le blasphème ! Qu’en concluez-vous ? Tous, alors, le condamnèrent en le déclarant passible de mort. Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, ils lui recouvrirent le visage et le frappèrent en lui disant : Hé ! Fais le prophète ! Qui c’est ? Les gardes saisirent Jésus et lui donnèrent des gifles. Pendant ce temps, Pierre était en bas dans la cour intérieure. Une des servantes du grand-prêtre arriva ; elle vit Pierre qui se chauffait et le dévisagea ; elle lui dit : Toi aussi, tu étais avec ce Jésus, ce Nazaréen ! Mais Pierre le nia en disant : Je ne vois pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit de la cour et entra dans le vestibule. Alors un coq chanta. Mais la servante le vit et recommença à dire à ceux qui se trouvaient là : Il fait aussi partie de ces gens-là. Il le nia de nouveau. Peu après, ceux qui se trouvaient là redirent à Pierre : C’est sûr : tu fais partie de ces gens ! D’ailleurs, tu es galiléen ! Alors il déclara : Je le jure, et que Dieu me condamne si ce n’est pas vrai, je ne connais pas l’homme dont vous parlez  ! Aussitôt, pour la seconde fois, un coq chanta. Alors, Pierre se souvint de ce que Jésus lui avait dit : « Avant que le coq chante deux fois, tu m’auras renié trois fois. » Et il fondit en larmes.

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Marc 14:35-72 Bible Segond 21 (S21)

Puis il avança de quelques pas, se jeta contre terre et pria que, si cela était possible, cette heure s'éloigne de lui. Il disait: «Abba, Père, tout t'est possible. Eloigne de moi cette coupe! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.» Il vint vers les disciples, qu'il trouva endormis, et il dit à Pierre: «Simon, tu dors! Tu n'as pas pu rester éveillé une seule heure! Restez vigilants et priez pour ne pas céder à la tentation. L'esprit est bien disposé, mais par nature l’homme est faible.» Il s'éloigna de nouveau et fit la même prière. Il revint et les trouva encore endormis, car ils avaient les paupières lourdes. Ils ne surent que lui répondre. Il revint pour la troisième fois et leur dit: «Vous dormez maintenant et vous vous reposez! C'est assez! L'heure est venue; voici que le Fils de l'homme est livré entre les mains des pécheurs. Levez-vous, allons-y! Celui qui me trahit s'approche.» Il parlait encore quand soudain arriva Judas, l'un des douze, avec une foule armée d'épées et de bâtons envoyée par les chefs des prêtres, par les spécialistes de la loi et par les anciens. Celui qui le trahissait leur avait donné ce signe: «L’homme auquel je donnerai un baiser, c'est lui. Arrêtez-le et emmenez-le sous bonne garde!» Dès qu'il fut arrivé, il s'approcha de Jésus en disant: «Maître!» et il l'embrassa. Alors ces gens mirent la main sur Jésus et l'arrêtèrent. Un de ceux qui étaient là tira l'épée, frappa le serviteur du grand-prêtre et lui emporta l'oreille. Jésus prit la parole et leur dit: «Vous êtes venus vous emparer de moi avec des épées et des bâtons, comme pour un brigand. J'étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m'avez pas arrêté. Mais c'est afin que les Ecritures soient accomplies.» Alors tous l'abandonnèrent et prirent la fuite. Un jeune homme le suivait, habillé d’un simple drap. On l'attrapa, mais il lâcha le drap et se sauva tout nu. Ils emmenèrent Jésus chez le grand-prêtre, où se rassemblèrent tous les chefs des prêtres, les anciens et les spécialistes de la loi. Pierre le suivit de loin jusqu'à l'intérieur de la cour du grand-prêtre; il s'assit avec les serviteurs et il se chauffait près du feu. Les chefs des prêtres et tout le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus pour le faire mourir, et ils n'en trouvaient pas. Beaucoup rendaient en effet de faux témoignages contre lui, mais les témoignages n’étaient pas concordants. Quelques-uns se levèrent et portèrent un faux témoignage contre lui en disant: «Nous l'avons entendu dire: ‘Je détruirai ce temple fait par la main de l'homme, et en trois jours j'en construirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme.’» Même sur ce point-là, leurs témoignages ne concordaient pas. Alors le grand-prêtre se leva au milieu de l'assemblée et interrogea Jésus en disant: «Ne réponds-tu rien? Pourquoi ces gens témoignent-ils contre toi?» Mais Jésus gardait le silence et ne répondit rien. Le grand-prêtre l'interrogea de nouveau et lui dit: «Es-tu le Messie, le Fils du Dieu béni?» Jésus répondit: «Je le suis. Et vous verrez le Fils de l'homme assis à la droite du Tout-Puissant et venant sur les nuées du ciel.» Alors le grand-prêtre déchira ses vêtements et dit: «Qu'avons-nous encore besoin de témoins? Vous avez entendu le blasphème. Qu'en pensez-vous?» Tous le condamnèrent, déclarant qu’il méritait la mort. Quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui mettre un voile sur le visage et à le frapper à coups de poing en lui disant: «Devine!» Même les serviteurs le frappaient en lui donnant des gifles. Pendant que Pierre était en bas dans la cour, une des servantes du grand-prêtre arriva. Elle vit Pierre qui se chauffait, le regarda et lui dit: «Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth.» Il le nia en disant: «Je ne sais ni ne comprends ce que tu veux dire.» Puis il sortit pour aller dans le vestibule. [Alors un coq chanta.] La servante le vit et se mit à dire de nouveau à ceux qui étaient présents: «Il fait partie de ces gens-là.» Il le nia de nouveau. Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre: «Certainement, tu fais partie de ces gens-là, car tu es galiléen, [tu as le même langage].» Alors il se mit à jurer en lançant des malédictions: «Je ne connais pas cet homme dont vous parlez.» [Aussitôt,] pour la seconde fois, un coq chanta. Pierre se souvint alors de ce que Jésus lui avait dit: «Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois.» Et en y réfléchissant, il pleurait.

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Marc 14:35-72 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta contre terre, et pria que, s’il était possible, cette heure s’éloignât de lui. Il disait: Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. Et il vint vers les disciples, qu’il trouva endormis, et il dit à Pierre: Simon, tu dors! Tu n’as pu veiller une heure! Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible. Il s’éloigna de nouveau, et fit la même prière. Il revint, et les trouva encore endormis; car leurs yeux étaient appesantis. Ils ne surent que lui répondre. Il revint pour la troisième fois, et leur dit: Dormez maintenant, et reposez-vous! C’est assez! L’heure est venue; voici, le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs. Levez-vous, allons; voici, celui qui me livre s’approche. Et aussitôt, comme il parlait encore, arriva Judas l’un des douze, et avec lui une foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les principaux sacrificateurs, par les scribes et par les anciens. Celui qui le livrait leur avait donné ce signe: Celui que je baiserai, c’est lui; saisissez-le, et emmenez-le sûrement. Dès qu’il fut arrivé, il s’approcha de Jésus, disant: Rabbi! Et il le baisa. Alors ces gens mirent la main sur Jésus, et le saisirent. Un de ceux qui étaient là, tirant l’épée, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille. Jésus, prenant la parole, leur dit: Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour vous emparer de moi. J’étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m’avez pas saisi. Mais c’est afin que les Écritures soient accomplies. Alors tous l’abandonnèrent, et prirent la fuite. Un jeune homme le suivait, n’ayant sur le corps qu’un drap. On se saisit de lui; mais il lâcha son vêtement, et se sauva tout nu. Ils emmenèrent Jésus chez le souverain sacrificateur, où s’assemblèrent tous les principaux sacrificateurs, les anciens et les scribes. Pierre le suivit de loin jusque dans l’intérieur de la cour du souverain sacrificateur; il s’assit avec les serviteurs, et il se chauffait près du feu. Les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus, pour le faire mourir, et ils n’en trouvaient point; car plusieurs rendaient de faux témoignages contre lui, mais les témoignages ne s’accordaient pas. Quelques-uns se levèrent, et portèrent un faux témoignage contre lui, disant: Nous l’avons entendu dire: Je détruirai ce temple fait de main d’homme, et en trois jours j’en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme. Même sur ce point-là leur témoignage ne s’accordait pas. Alors le souverain sacrificateur, se levant au milieu de l’assemblée, interrogea Jésus, et dit: Ne réponds-tu rien? Qu’est-ce que ces gens déposent contre toi? Jésus garda le silence, et ne répondit rien. Le souverain sacrificateur l’interrogea de nouveau, et lui dit: Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni? Jésus répondit: Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel. Alors le souverain sacrificateur déchira ses vêtements, et dit: Qu’avons-nous encore besoin de témoins? Vous avez entendu le blasphème. Que vous en semble? Tous le condamnèrent comme méritant la mort. Et quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper à coups de poing, en lui disant: Devine! Et les serviteurs le reçurent en lui donnant des soufflets. Pendant que Pierre était en bas dans la cour, il vint une des servantes du souverain sacrificateur. Voyant Pierre qui se chauffait, elle le regarda, et lui dit: Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth. Il le nia, disant: Je ne sais pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit pour aller dans le vestibule. Et le coq chanta. La servante, l’ayant vu, se mit de nouveau à dire à ceux qui étaient présents: Celui-ci est de ces gens-là. Et il le nia de nouveau. Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre: Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen. Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: Je ne connais pas cet homme dont vous parlez. Aussitôt, pour la seconde fois, le coq chanta. Et Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite: Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Et en y réfléchissant, il pleurait.

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Marc 14:35-72 Bible en français courant (BFC)

Il alla un peu plus loin, se jeta à terre et pria pour que, si c'était possible, il n'ait pas à passer par cette heure de souffrance. Il disait: «Abba, ô mon Père, tout t'est possible; éloigne de moi cette coupe de douleur. Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.» Il revint ensuite vers les trois disciples et les trouva endormis. Il dit à Pierre: «Simon, tu dors? Tu n'as pas été capable de rester éveillé même une heure? Restez éveillés et priez, pour ne pas tomber dans la tentation. L'être humain est plein de bonne volonté, mais il est faible.» Il s'éloigna de nouveau et pria en répétant les mêmes paroles. Puis il revint auprès de ses disciples et les trouva endormis; ils ne pouvaient pas garder les yeux ouverts. Et ils ne savaient pas que lui dire. Quand il revint la troisième fois, il leur dit: «Vous dormez encore et vous vous reposez? C'est fini! L'heure est arrivée. Maintenant, le Fils de l'homme va être livré entre les mains des pécheurs. Levez-vous, allons-y! Voyez, l'homme qui me livre à eux est ici!» Jésus parlait encore quand arriva Judas, l'un des douze disciples. Il y avait avec lui une foule de gens armés d'épées et de bâtons. Ils étaient envoyés par les chefs des prêtres, les maîtres de la loi et les anciens. Judas, celui qui leur livrait Jésus, avait indiqué à cette foule le signe qu'il utiliserait: «L'homme que j'embrasserai, c'est lui. Saisissez-le et emmenez-le sous bonne garde.» Dès que Judas arriva, il s'approcha de Jésus et lui dit: «Maître!» Puis il l'embrassa. Les autres mirent alors la main sur Jésus et l'arrêtèrent. Mais un de ceux qui étaient là tira son épée, frappa le serviteur du grand-prêtre et lui coupa l'oreille. Jésus leur dit: «Deviez-vous venir armés d'épées et de bâtons pour me prendre, comme si j'étais un brigand? Tous les jours j'étais avec vous et j'enseignais dans le temple, et vous ne m'avez pas arrêté. Mais cela arrive pour que les Écritures se réalisent.» Alors tous les disciples l'abandonnèrent et s'enfuirent. Un jeune homme suivait Jésus, vêtu d'un simple drap. On essaya de le saisir, mais il abandonna le drap et s'enfuit tout nu. Ils emmenèrent Jésus chez le grand-prêtre, où s'assemblèrent tous les chefs des prêtres, les anciens et les maîtres de la loi. Pierre suivit Jésus de loin et il entra dans la cour de la maison du grand-prêtre. Là, il s'assit avec les gardes et il se chauffait près du feu. Les chefs des prêtres et tout le Conseil supérieur cherchaient une accusation contre Jésus pour le condamner à mort, mais ils n'en trouvaient pas. Beaucoup de gens, en effet, portaient de fausses accusations contre Jésus, mais ils se contredisaient entre eux. Quelques-uns se levèrent alors et portèrent cette fausse accusation contre lui: «Nous l'avons entendu dire: “Je détruirai ce temple construit par les hommes, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas une œuvre humaine.” » Mais même sur ce point-là ils se contredisaient. Le grand-prêtre se leva alors dans l'assemblée et interrogea Jésus: «Ne réponds-tu rien à ce que ces gens disent contre toi?» Mais Jésus se taisait, il ne répondait rien. Le grand-prêtre l'interrogea de nouveau: «Es-tu le Messie, le Fils du Dieu auquel vont nos louanges?» Jésus répondit: «Oui, je le suis, et vous verrez tous le Fils de l'homme siégeant à la droite du Dieu puissant; vous le verrez aussi venir parmi les nuages du ciel.» Alors le grand-prêtre déchira ses vêtements et dit: «Nous n'avons plus besoin de témoins! Vous avez entendu cette insulte faite à Dieu. Qu'en pensez-vous?» Tous déclarèrent qu'il était coupable et qu'il méritait la mort. Quelques-uns d'entre eux se mirent à cracher sur Jésus, ils lui couvrirent le visage, le frappèrent à coups de poing et lui dirent: «Devine qui t'a fait cela!» Et les gardes prirent Jésus et lui donnèrent des gifles. Pierre se trouvait encore en bas dans la cour, quand arriva une des servantes du grand-prêtre. Elle vit Pierre qui se chauffait, le regarda bien et lui dit: «Toi aussi, tu étais avec Jésus, cet homme de Nazareth.» Mais il le nia en déclarant: «Je ne sais pas ce que tu veux dire, je ne comprends pas.» Puis il s'en alla hors de la cour, dans l'entrée. [Alors un coq chanta.] Mais la servante le vit et répéta devant ceux qui étaient là: «Cet homme est l'un d'eux!» Et Pierre le nia de nouveau. Peu après, ceux qui étaient là dirent encore à Pierre: «Certainement, tu es l'un d'eux, parce que, toi aussi, tu es de Galilée.» Alors Pierre s'écria: «Que Dieu me punisse si je mens! Je le jure, je ne connais pas l'homme dont vous parlez.» A ce moment même, un coq chanta pour la seconde fois, et Pierre se rappela ce que Jésus lui avait dit: «Avant que le coq chante deux fois, tu auras prétendu trois fois ne pas me connaître.» Alors, il se mit à pleurer.

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