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Matthieu 22:1-46

Matthieu 22:1-46 Bible Darby en français (FRDBY)

Et Jésus, répondant, leur parla encore en paraboles, disant: Le royaume des cieux a été fait semblable à un roi qui fit des noces pour son fils, et envoya ses esclaves pour convier ceux qui étaient invités aux noces; et ils ne voulurent pas venir. Il envoya encore d'autres esclaves, disant: Dites aux conviés: Voici, j'ai apprêté mon dîner; mes taureaux et mes bêtes grasses sont tués et tout est prêt: venez aux noces. Mais eux, n'en ayant pas tenu compte, s'en allèrent, l'un à son champ, et un autre à son trafic; et les autres, s'étant saisis de ses esclaves, les outragèrent et les tuèrent. Et le roi, l'ayant entendu, en fut irrité; et ayant envoyé ses troupes, il fit périr ces meurtriers-là et brûla leur ville. Alors il dit à ses esclaves: Les noces sont prêtes, mais les conviés n'en étaient pas dignes; allez donc dans les carrefours des chemins, et autant de gens que vous trouverez, conviez-les aux noces. Et ces esclaves-là, étant sortis, s'en allèrent par les chemins, et assemblèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, tant mauvais que bons; et la salle des noces fut remplie de gens qui étaient à table. Et le roi, étant entré pour voir ceux qui étaient à table, aperçut là un homme qui n'était pas vêtu d'une robe de noces. Et il lui dit: Ami, comment es-tu entré ici, sans avoir une robe de noces? Et il eut la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs: Liez-le pieds et mains, emportez-le, et jetez-le dans les ténèbres de dehors: là seront les pleurs et les grincements de dents. Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. Alors les pharisiens vinrent et tinrent conseil pour l'enlacer dans ses paroles. Et ils lui envoient leurs disciples avec les hérodiens, disant: Maître, nous savons que tu es vrai et que tu enseignes la voie de Dieu en vérité, et que tu ne t'embarrasses de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Dis-nous donc, que t'en semble: est-il permis de payer le tribut à César, ou non? Et Jésus, connaissant leur méchanceté, dit: Pourquoi me tentez-vous, hypocrites? Montrez-moi la monnaie du tribut. Et ils lui apportèrent un denier. Et il leur dit: De qui est cette image et cette inscription? Ils lui disent: De César. Alors il leur dit: Rendez donc les choses de César à César, et les choses de Dieu à Dieu. Et l'ayant entendu, ils furent étonnés; et le laissant, ils s'en allèrent. En ce jour-là, des sadducéens, qui disent qu'il n'y a pas de résurrection, vinrent à lui et l'interrogèrent, disant: Maître, Moïse dit: Si quelqu'un meurt n'ayant pas d'enfants, son frère épousera sa femme, et suscitera de la postérité à son frère. Or il y avait parmi nous sept frères; et le premier s'étant marié, mourut, et n'ayant pas de postérité, il laissa sa femme à son frère; de la même manière le second aussi et le troisième, jusqu'au septième; et après eux tous, la femme aussi mourut. Dans la résurrection donc, duquel des sept sera-t-elle la femme, car tous l'ont eue? Et Jésus, répondant, leur dit: Vous errez, ne connaissant pas les écritures, ni la puissance de Dieu; car, dans la résurrection, on ne se marie ni on n'est donné en mariage, mais on est comme des anges de Dieu dans le ciel. Et quant à la résurrection des morts, n'avez-vous pas lu ce qui vous est dit par Dieu, disant: "Moi, je suis le Dieu d'Abraham, et le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob"? Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Et les foules, ayant entendu cela, s'étonnèrent de sa doctrine. Et les pharisiens, ayant ouï dire qu'il avait fermé la bouche aux sadducéens, s'assemblèrent en un même lieu. Et l'un d'eux, docteur de la loi, l'interrogea pour l'éprouver, disant: Maître, quel est le grand commandement dans la loi? Et il lui dit: "Tu aimeras le *Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée". C'est là le grand et premier commandement. Et le second lui est semblable: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". De ces deux commandements dépendent la loi tout entière et les prophètes. Et les pharisiens étant assemblés, Jésus les interrogea, disant: Que vous semble-t-il du Christ? -de qui est-il fils? Ils lui disent: De David. Il leur dit: Comment donc David, en Esprit, l'appelle-t-il seigneur, disant: "Le *Seigneur a dit à mon seigneur: Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je mette tes ennemis sous tes pieds"? Si donc David l'appelle seigneur, comment est-il son fils? Et personne ne pouvait lui répondre un mot; et personne, depuis ce jour-là, n'osa plus l'interroger.

Matthieu 22:1-46 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Jésus se met encore à parler aux foules en utilisant des comparaisons. Il leur dit : « Le Royaume des cieux ressemble à ceci : Un roi prépare un grand repas pour le mariage de son fils. Il envoie ses serviteurs appeler les invités au repas, mais les invités ne veulent pas venir. Il envoie encore d’autres serviteurs pour dire aux invités : “Maintenant, le repas est prêt ! J’ai fait tuer mes bœufs et mes bêtes bien grasses. Tout est prêt, venez au repas de mariage !” Mais les invités n’y font pas attention, et ils s’en vont, l’un à son champ, l’autre à son commerce. Les autres prennent les serviteurs, ils leur font du mal et ils les tuent. Le roi se met en colère. Il envoie ses soldats tuer les assassins et brûler leur ville. Ensuite il dit à ses serviteurs : “Le repas de mariage est prêt, mais les invités n’étaient pas dignes de le manger. Allez donc aux croisements des chemins et invitez au repas tous les gens que vous rencontrerez.” Les serviteurs partent sur les chemins, ils rassemblent tous les gens qu’ils trouvent, les mauvais et les bons. Ainsi la salle de fête est pleine de monde. « Le roi entre pour regarder les invités, il voit un homme qui n’a pas le vêtement de fête. Il lui dit : “Mon ami, comment ? Tu es entré ici sans le vêtement de fête !” L’homme ne répond rien. Alors le roi dit aux serviteurs : “Attachez-lui les mains et les pieds et jetez-le dehors, dans la nuit. Là, il pleurera et il grincera des dents .” » Et Jésus ajoute : « Oui, Dieu appelle un grand nombre de gens, mais il n’y en a pas beaucoup qui sont choisis. » Alors les Pharisiens se réunissent. Ils cherchent comment prendre Jésus au piège en le faisant parler. Ils envoient vers Jésus quelques-uns de leurs disciples avec des gens du parti d’Hérode. Ces gens-là disent à Jésus : « Maître, nous le savons, tu dis la vérité. Tu enseignes en toute vérité ce que Dieu nous demande de faire. Tu n’as peur de personne, parce que tu ne regardes pas l’importance des gens. Dis-nous donc ce que tu penses : est-il permis ou non de payer l’impôt à l’empereur romain ? » Mais Jésus connaît leur méchanceté et il leur dit : « Hommes faux ! Pourquoi est-ce que vous me tendez un piège ? Montrez-moi l’argent qui sert à payer l’impôt ! » Ils lui apportent une pièce d’argent . Jésus leur dit : « Sur cette pièce, il y a l’image et le nom de quelqu’un. De qui donc ? » Ils lui répondent : « De l’empereur. » Alors Jésus leur dit : « Eh bien, rendez à l’empereur ce qui est à l’empereur. Et rendez à Dieu ce qui est à Dieu. » Quand ils entendent cela, ils sont très étonnés. Ils laissent Jésus et s’en vont. Le même jour, des Sadducéens s’approchent de Jésus. Les Sadducéens pensent que les morts ne se relèveront pas. Ils interrogent Jésus en lui disant : « Maître, Moïse a dit : “Si un homme meurt sans avoir d’enfants, son frère doit se marier avec la veuve. Ainsi, il donnera des enfants au frère qui est mort.” Eh bien, supposons ceci : chez nous, il y a sept frères. Le premier se marie et il meurt sans avoir d’enfants. Il laisse donc sa femme au deuxième frère. Il arrive la même chose au deuxième frère, puis au troisième et enfin à tous les sept. Après eux tous, la femme meurt aussi. Quand les morts se relèveront, parmi les sept frères, qui sera le mari de cette femme ? En effet, chacun a été son mari. » Jésus leur répond : « Vous vous trompez, parce que vous ne connaissez ni les Livres Saints, ni la puissance de Dieu. Quand les morts se relèveront, les hommes et les femmes ne se marieront pas. Mais ils vivront comme les anges auprès de Dieu. Au sujet des morts qui se relèvent, vous avez sûrement lu cette parole de Dieu : “Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob .” Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants. » Les foules entendent cela. Cet enseignement de Jésus les étonne beaucoup. Les Pharisiens apprennent que Jésus a fermé la bouche aux Sadducéens. Alors les Pharisiens se réunissent. L’un d’eux, un maître de la loi, veut tendre un piège à Jésus et il lui demande : « Maître, dans la loi, quel est le commandement le plus important ? » Jésus lui répond : « “Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être et de toute ton intelligence.” C’est le plus important et le premier des commandements. Et voici le deuxième commandement, qui est aussi important que le premier : “Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.” Toute la loi de Moïse et tout l’enseignement des prophètes dépendent de ces deux commandements. » Les Pharisiens sont réunis, et Jésus leur demande : « Qu’est-ce que vous pensez du Messie ? Il est le fils de qui ? » Ils lui répondent : « Il est le fils de David. » Jésus leur dit : « David, rempli de l’Esprit Saint, l’a appelé “Maître”. Pourquoi donc ? En effet, David a dit : “Le Seigneur déclare à mon Maître : Viens t’asseoir à ma droite, je vais mettre tes ennemis sous tes pieds.” « David appelle le Messie “Maître”. Alors, comment est-ce que le Messie peut être aussi fils de David ? » Parmi les Pharisiens, aucun ne peut répondre un seul mot à Jésus. Et, à partir de ce jour-là, personne n’ose plus lui poser de questions.

Matthieu 22:1-46 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Jésus, prenant la parole, leur parla de nouveau en paraboles, et il dit: Le royaume des cieux est semblable à un roi qui fit des noces pour son fils. Il envoya ses serviteurs appeler ceux qui étaient invités aux noces; mais ils ne voulurent pas venir. Il envoya encore d'autres serviteurs, en disant: Dites aux conviés: Voici, j'ai préparé mon festin; mes bœufs et mes bêtes grasses sont tués, tout est prêt, venez aux noces. Mais, sans s'inquiéter de l'invitation, ils s'en allèrent, celui-ci à son champ, celui-là à son trafic; et les autres se saisirent des serviteurs, les outragèrent et les tuèrent. Le roi fut irrité; il envoya ses troupes, fit périr ces meurtriers, et brûla leur ville. Alors il dit à ses serviteurs: Les noces sont prêtes; mais les conviés n'en étaient pas dignes. Allez donc dans les carrefours, et appelez aux noces tous ceux que vous trouverez. Ces serviteurs allèrent dans les chemins, rassemblèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, méchants et bons, et la salle des noces fut pleine de convives. Le roi entra pour voir ceux qui étaient à table, et il aperçut là un homme qui n'avait pas revêtu un habit de noces. Il lui dit: Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noces? Cet homme eut la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs: Liez-lui les pieds et les mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles. Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent: Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Dis-nous donc ce qu'il t'en semble: est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit: Pourquoi me tentez-vous, hypocrites? Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier. Il leur demanda: De qui porte-t-il l'effigie et l'inscription? De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Etonnés de ce qu'ils entendaient, ils le quittèrent, et s'en allèrent. Le même jour, les sadducéens, qui disent qu'il n'y a point de résurrection, vinrent auprès de Jésus, et lui posèrent cette question: Maître, Moïse a dit: Si quelqu'un meurt sans enfants, son frère épousera sa veuve, et suscitera une postérité à son frère. Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier se maria, et mourut; et, comme il n'avait pas d'enfants, il laissa sa femme à son frère. Il en fut de même du second, puis du troisième, jusqu'au septième. Après eux tous, la femme mourut aussi. A la résurrection, duquel des sept sera-t-elle donc la femme? Car tous l'ont eue. Jésus leur répondit: Vous êtes dans l'erreur, parce que vous ne comprenez ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu. Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. Pour ce qui est de la résurrection des morts, n'avez-vous pas lu ce que Dieu vous a dit: Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob? Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants. La foule, qui écoutait, fut frappée de l'enseignement de Jésus. Les pharisiens, ayant appris qu'il avait réduit au silence les sadducéens, se rassemblèrent, et l'un d'eux, docteur de la loi, lui posa cette question, pour l'éprouver: Maître, quel est le plus grand commandement de la loi? Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. Comme les pharisiens étaient assemblés, Jésus les interrogea, en disant: Que pensez-vous du Christ? De qui est-il le fils? Ils lui répondirent: De David. Et Jésus leur dit: Comment donc David, animé par l'Esprit, l'appelle-t-il Seigneur, lorsqu'il dit: Le Seigneur a dit à mon Seigneur:Assieds-toi à ma droite,Jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied? Si donc David l'appelle Seigneur, comment est-il son fils? Nul ne put lui répondre un mot. Et, depuis ce jour, personne n'osa plus lui proposer des questions.

Matthieu 22:1-46 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Jésus leur parla de nouveau au moyen de paraboles. Il leur dit : Il en est du royaume des cieux comme d’un roi qui célèbre les noces de son fils. Il envoie ses serviteurs convier les invités aux noces. Mais ceux-ci refusent de venir. Alors il envoie d’autres serviteurs pour insister de sa part auprès des invités : « Portez-leur ce message : J’ai préparé mon banquet, j’ai fait tuer mes jeunes taureaux et mes plus belles bêtes, et tout est prêt. Venez donc aux noces. » Mais les invités restent indifférents, et s’en vont, l’un à son champ, l’autre à ses affaires. Les autres s’emparent des serviteurs, les maltraitent et les tuent. Alors le roi se met en colère. Il envoie ses troupes exterminer ces assassins et mettre le feu à leur ville. Ensuite, il dit à ses serviteurs : « Le repas de noces est prêt, mais les invités n’en étaient pas dignes. Allez donc aux carrefours des chemins et invitez au festin tous ceux que vous trouverez. » Alors les serviteurs s’en vont par les routes et rassemblent tous ceux qu’ils rencontrent, méchants et bons, de sorte que la salle des noces se remplit de monde. Le roi entre pour voir l’assistance. Il aperçoit là un homme qui n’a pas d’habit de noces. « Mon ami, lui demande-t-il, comment as-tu pu entrer ici sans être habillé comme il convient pour un mariage ? » L’autre ne trouve rien à répondre. Alors le roi dit aux serviteurs : « Prenez-le et jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors où il y a des pleurs et d’amers regrets. » Car, beaucoup sont invités, mais les élus sont peu nombreux. Alors les pharisiens s’éloignèrent et discutèrent entre eux pour trouver une question à poser à Jésus, afin de le prendre au piège par ses propres paroles. Ils lui envoyèrent donc quelques-uns de leurs disciples accompagnés de gens du parti d’Hérode. Ces émissaires lui dirent : Maître, nous savons que tu dis la vérité et que tu enseignes en toute vérité la voie à suivre selon Dieu. Tu ne te laisses influencer par personne, car tu ne regardes pas à la position sociale des gens. Dis-nous donc ce que tu penses de ceci : A-t-on, oui ou non, le droit de payer des impôts à César ? Mais Jésus, connaissant leurs mauvaises intentions, leur répondit : Hypocrites ! Pourquoi me tendez-vous un piège ? Montrez-moi une pièce qui sert à payer cet impôt ! Ils lui présentèrent une pièce d’argent. Alors il leur demanda : Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles ? – De César. Jésus leur dit alors : Rendez donc à César ce qui revient à César, et à Dieu ce qui revient à Dieu. En entendant cette réponse, ils en restèrent tout déconcertés. Ils le laissèrent donc et se retirèrent. Ce même jour, des sadducéens vinrent le trouver. Ils prétendent que les morts ne ressuscitent pas. Ils lui posèrent la question suivante : Maître, Moïse a donné cet ordre : Si quelqu’un meurt sans avoir d’enfant, son frère devra épouser sa veuve, pour donner une descendance au défunt . Or, il y avait parmi nous sept frères. L’aîné s’est marié, et il est mort sans avoir de descendant. Il a donc laissé sa veuve à son frère. Il est arrivé la même chose au deuxième frère, puis au troisième, et ainsi de suite jusqu’au septième. En fin de compte, la femme est décédée elle aussi. A la résurrection, duquel des sept frères sera-t-elle la femme ? Car ils l’ont tous eue pour épouse. Jésus leur répondit : Vous êtes dans l’erreur, parce que vous ne connaissez pas les Ecritures, ni quelle est la puissance de Dieu. En effet, une fois ressuscités, les hommes et les femmes ne se marieront plus ; ils vivront comme les anges qui sont dans le ciel. Quant à la résurrection des morts, n’avez-vous donc jamais lu ce que Dieu vous a déclaré : Je suis le Dieu d’ Abraham , le Dieu d’ Isaac , le Dieu de Jacob ? Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants. Les foules qui entendaient ses réponses étaient profondément impressionnées par son enseignement. En apprenant que Jésus avait réduit au silence les sadducéens, les pharisiens se réunirent. L’un d’entre eux, un enseignant de la Loi, voulut lui tendre un piège. Il lui demanda : Maître, quel est, dans la Loi, le commandement le plus grand ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée . C’est là le commandement le plus grand et le plus important. Et il y en a un second qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même . Tout ce qu’enseignent la Loi et les prophètes est contenu dans ces deux commandements. Comme les pharisiens se trouvaient rassemblés là, Jésus les interrogea à son tour : Quelle est votre opinion au sujet du Messie  ? D’après vous, de qui descend-il ? – De David, lui répondirent-ils. – Alors, comment se fait-il que David, parlant sous l’inspiration de l’Esprit de Dieu, l’appelle Seigneur ? En effet, il déclare : Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Viens siéger à ma droite jusqu’à ce que j’aie mis ╵ tes ennemis ╵ à terre sous tes pieds . Si donc David l’appelle son Seigneur , comment est-il possible que le Messie soit son descendant ? Nul ne fut capable de lui donner un mot de réponse et, à partir de ce jour-là, personne n’osa plus lui poser de question.

Matthieu 22:1-46 Bible Segond 21 (S21)

Jésus prit la parole et leur parla de nouveau en paraboles. Il dit: «Le royaume des cieux ressemble à un roi qui fit des noces pour son fils. Il envoya ses serviteurs appeler ceux qui étaient invités aux noces, mais ils ne voulurent pas venir. Il envoya encore d'autres serviteurs, avec cet ordre: ‘Dites aux invités: J'ai préparé mon festin; mes bœufs et mes bêtes grasses sont tués, tout est prêt, venez aux noces.’ Mais eux, négligeant l'invitation, s'en allèrent l'un à son champ, un autre à ses affaires. Les autres s’emparèrent des serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent. [A cette nouvelle,] le roi se mit en colère; il envoya ses troupes, fit mourir ces meurtriers et brûla leur ville. Alors il dit à ses serviteurs: ‘Les noces sont prêtes, mais les invités n'en étaient pas dignes. Allez donc dans les carrefours et invitez aux noces tous ceux que vous trouverez.’ Ces serviteurs s’en allèrent sur les routes, ils rassemblèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, mauvais et bons, et la salle des noces fut remplie d’invités. Le roi entra pour les voir, et il aperçut là un homme qui n'avait pas mis d'habit de noces. Il lui dit: ‘Mon ami, comment as-tu pu entrer ici sans avoir d'habit de noces?’ Cet homme resta la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs: ‘Attachez-lui les pieds et les mains, [emmenez-le et] jetez-le dans les ténèbres extérieures, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.’ En effet, beaucoup sont invités, mais peu sont choisis.» Alors les pharisiens allèrent tenir conseil sur les moyens de prendre Jésus au piège de ses propres paroles. Ils envoyèrent vers lui leurs disciples avec les hérodiens. Ils lui dirent: «Maître, nous savons que tes paroles sont vraies et que tu enseignes le chemin de Dieu en toute vérité, sans te laisser influencer par personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des personnes. Dis-nous donc ce que tu en penses: est-il permis, ou non, de payer l'impôt à l'empereur?» Mais Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit: «Pourquoi me tendez-vous un piège, hypocrites? Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie l'impôt.» Ils lui présentèrent une pièce de monnaie. Il leur demanda: «De qui porte-t-elle l'effigie et l'inscription?» «De l'empereur», lui répondirent-ils. Alors il leur dit: «Rendez donc à l'empereur ce qui est à l'empereur et à Dieu ce qui est à Dieu.» Etonnés de ce qu'ils entendaient, ils le quittèrent et s'en allèrent. Le même jour, les sadducéens, qui disent qu'il n'y a pas de résurrection, vinrent trouver Jésus et lui posèrent cette question: «Maître, Moïse a dit: Si quelqu'un meurt sans enfants, son frère épousera la veuve et donnera une descendance à son frère. Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier s’est marié et est mort et, comme il n'avait pas d'enfants, il a laissé sa femme à son frère. Il en est allé de même pour le deuxième, puis le troisième, et ce jusqu'au septième. Après eux tous, la femme est morte [aussi]. A la résurrection, duquel des sept sera-t-elle donc la femme? En effet, tous l'ont épousée.» Jésus leur répondit: «Vous êtes dans l'erreur parce que vous ne connaissez ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu. En effet, à la résurrection, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. En ce qui concerne la résurrection des morts, n'avez-vous pas lu ce que Dieu vous a dit: Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob ? Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants.» La foule qui écoutait fut frappée par l'enseignement de Jésus. Les pharisiens apprirent qu'il avait réduit au silence les sadducéens. Ils se rassemblèrent et l'un d'eux, professeur de la loi, lui posa cette question pour le mettre à l'épreuve: «Maître, quel est le plus grand commandement de la loi?» Jésus lui répondit: «Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C'est le premier commandement et le plus grand. Et voici le deuxième, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.» Comme les pharisiens se trouvaient rassemblés, Jésus les interrogea en ces termes: «Que pensez-vous du Messie? De qui est-il le fils?» Ils lui répondirent: «De David.» Et Jésus leur dit: «Comment donc David, animé par l'Esprit, peut-il l'appeler Seigneur lorsqu'il dit: Le Seigneur a dit à mon Seigneur: ‘Assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que j'aie fait de tes ennemis ton marchepied’ ? Si donc David l'appelle Seigneur, comment peut-il être son fils?» Aucun ne put lui répondre un mot. Et, depuis ce jour, personne n'osa plus lui poser de questions.

Matthieu 22:1-46 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Jésus, prenant la parole, leur parla de nouveau en paraboles, et il dit: Le royaume des cieux est semblable à un roi qui fit des noces pour son fils. Il envoya ses serviteurs appeler ceux qui étaient invités aux noces; mais ils ne voulurent pas venir. Il envoya encore d’autres serviteurs, en disant: Dites aux conviés: Voici, j’ai préparé mon festin; mes bœufs et mes bêtes grasses sont tués, tout est prêt, venez aux noces. Mais, sans s’inquiéter de l’invitation, ils s’en allèrent, celui-ci à son champ, celui-là à son trafic; et les autres se saisirent des serviteurs, les outragèrent et les tuèrent. Le roi fut irrité; il envoya ses troupes, fit périr ces meurtriers, et brûla leur ville. Alors il dit à ses serviteurs: Les noces sont prêtes; mais les conviés n’en étaient pas dignes. Allez donc dans les carrefours, et appelez aux noces tous ceux que vous trouverez. Ces serviteurs allèrent dans les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, méchants et bons, et la salle des noces fut pleine de convives. Le roi entra pour voir ceux qui étaient à table, et il aperçut là un homme qui n’avait pas revêtu un habit de noces. Il lui dit: Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noces? Cet homme eut la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs: Liez-lui les pieds et les mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles. Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent: Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t’inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l’apparence des hommes. Dis-nous donc ce qu’il t’en semble: est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit: Pourquoi me tentez-vous, hypocrites? Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier. Il leur demanda: De qui sont cette effigie et cette inscription? De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Étonnés de ce qu’ils entendaient, ils le quittèrent, et s’en allèrent. Le même jour, les sadducéens, qui disent qu’il n’y a point de résurrection, vinrent auprès de Jésus, et lui firent cette question: Maître, Moïse a dit: Si quelqu’un meurt sans enfants, son frère épousera sa veuve, et suscitera une postérité à son frère. Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier se maria, et mourut; et, comme il n’avait pas d’enfants, il laissa sa femme à son frère. Il en fut de même du second, puis du troisième, jusqu’au septième. Après eux tous, la femme mourut aussi. A la résurrection, duquel des sept sera-t-elle donc la femme? Car tous l’ont eue. Jésus leur répondit: Vous êtes dans l’erreur, parce que vous ne comprenez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu. Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. Pour ce qui est de la résurrection des morts, n’avez-vous pas lu ce que Dieu vous a dit: Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob? Dieu n’est pas Dieu des morts, mais des vivants. La foule, qui écoutait, fut frappée de l’enseignement de Jésus. Les pharisiens, ayant appris qu’il avait réduit au silence les sadducéens, se rassemblèrent, et l’un d’eux, docteur de la loi, lui fit cette question, pour l’éprouver: Maître, quel est le plus grand commandement de la loi? Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. Comme les pharisiens étaient assemblés, Jésus les interrogea, en disant: Que pensez-vous du Christ? De qui est-il fils? Ils lui répondirent: De David. Et Jésus leur dit: Comment donc David, animé par l’Esprit, l’appelle-t-il Seigneur, lorsqu’il dit: Le Seigneur a dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite, Jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied? Si donc David l’appelle Seigneur, comment est-il son fils? Nul ne put lui répondre un mot. Et, depuis ce jour, personne n’osa plus lui proposer des questions.

Matthieu 22:1-46 Bible en français courant (BFC)

Jésus utilisa de nouveau des paraboles pour parler à ses auditeurs. Il leur dit: «Voici à quoi ressemble le Royaume des cieux: Un roi organisa un repas pour le mariage de son fils. Il envoya ses serviteurs appeler les invités pour ce repas, mais ils ne voulurent pas venir. Il envoya alors d'autres serviteurs avec cet ordre: “Dites aux invités: Mon repas est préparé maintenant, mes taureaux et mes bêtes grasses sont tués, tout est prêt. Venez au repas de mariage!” Mais les invités ne s'en soucièrent pas et s'en allèrent à leurs affaires: l'un à son champ, l'autre à son commerce; les autres saisirent les serviteurs, les maltraitèrent et les tuèrent. Le roi se mit en colère: il envoya ses soldats tuer ces assassins et incendier leur ville. Puis il dit à ses serviteurs: “Le repas de mariage est prêt, mais les invités ne le méritaient pas. Allez donc dans les principales rues et invitez au repas tous ceux que vous pourrez trouver.” Les serviteurs s'en allèrent dans les rues et rassemblèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, les mauvais comme les bons; et ainsi, la salle de fête se remplit de monde. Le roi entra alors pour voir les invités et il aperçut un homme qui ne portait pas de costume de fête. Il lui demanda: “Mon ami, comment es-tu entré ici sans costume de fête?” Mais l'homme ne répondit rien. Alors le roi dit aux serviteurs: “Liez-lui les pieds et les mains et jetez-le dehors, dans le noir. C'est là qu'il pleurera et grincera des dents.” En effet, ajouta Jésus, beaucoup sont invités, mais peu sont admis.» Les Pharisiens allèrent alors tenir conseil pour décider comment ils pourraient prendre Jésus au piège par une question. Ils envoyèrent ensuite quelques-uns de leurs disciples et quelques membres du parti d'Hérode dire à Jésus: «Maître, nous savons que tu dis la vérité: tu enseignes la vérité sur la conduite que Dieu demande; tu n'as pas peur de ce que pensent les autres et tu ne tiens pas compte de l'apparence des gens. Dis-nous donc ce que tu penses de ceci: notre loi permet-elle ou non de payer des impôts à l'empereur romain?» Mais Jésus connaissait leurs mauvaises intentions; il leur dit alors: «Hypocrites, pourquoi me tendez-vous un piège? Montrez-moi l'argent qui sert à payer l'impôt.» Ils lui présentèrent une pièce d'argent, et Jésus leur demanda: «Ce visage et ce nom gravés ici, de qui sont-ils?» – «De l'empereur», répondirent-ils. Alors Jésus leur dit: «Payez donc à l'empereur ce qui lui appartient, et à Dieu ce qui lui appartient.» Quand ils entendirent cette réponse, ils furent remplis d'étonnement. Ils le laissèrent et s'en allèrent. Le même jour, quelques Sadducéens vinrent auprès de Jésus. – Ce sont eux qui affirment qu'il n'y a pas de résurrection. – Ils l'interrogèrent de la façon suivante: «Maître, voici ce que Moïse a déclaré: “Si un homme meurt sans avoir eu d'enfants, son frère doit épouser la veuve pour donner des descendants à celui qui est mort.” Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier se maria, mourut sans avoir eu d'enfants et laissa ainsi sa veuve à son frère. Il en fut de même pour le deuxième frère, puis pour le troisième et pour tous les sept. Après eux tous, la femme mourut aussi. Au jour où les morts se relèveront, duquel des sept sera-t-elle donc la femme? Car ils l'ont tous eue comme épouse!» Jésus leur répondit: «Vous vous trompez parce que vous ne connaissez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu. En effet, quand les morts se relèveront, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils vivront comme les anges dans le ciel. Pour ce qui est de se relever d'entre les morts, n'avez-vous jamais lu ce que Dieu vous a déclaré? Il a dit: “Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob.” Dieu, ajouta Jésus, est le Dieu des vivants, et non des morts.» Tous ceux qui l'avaient entendu étaient impressionnés par son enseignement. Quand les Pharisiens apprirent que Jésus avait réduit au silence les Sadducéens, ils se réunirent. Et l'un d'eux, un maître de la loi, voulut lui tendre un piège; il lui demanda: «Maître, quel est le plus grand commandement de la loi?» Jésus lui répondit: «“Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ton intelligence.” C'est là le commandement le plus grand et le plus important. Et voici le second commandement, qui est d'une importance semblable: “Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.” Toute la loi de Moïse et tout l'enseignement des prophètes dépendent de ces deux commandements.» Les Pharisiens se trouvaient réunis et Jésus leur posa cette question: «Que pensez-vous du Messie? De qui est-il le descendant?» – «Il est le descendant de David», lui répondirent-ils. Jésus leur dit: «Comment donc David, guidé par le Saint-Esprit, a-t-il pu l'appeler “Seigneur”? Car David a dit: “Le Seigneur Dieu a déclaré à mon Seigneur: Viens siéger à ma droite, je veux contraindre tes ennemis à passer sous tes pieds.” «Si donc David l'appelle “Seigneur”, comment le Messie peut-il être aussi descendant de David?» Aucun d'eux ne put lui répondre un seul mot et, à partir de ce jour, personne n'osa plus lui poser de questions.

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