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Luc 20:9-26

Luc 20:9-26 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Ensuite, Jésus raconte cette histoire au peuple : « Un homme plante une vigne. Il la confie à des vignerons et il part en voyage pour longtemps. Au moment de la récolte, il envoie un serviteur vers les vignerons pour aller chercher son raisin. Mais les vignerons frappent le serviteur et ils le renvoient sans rien lui donner. Le propriétaire envoie un autre serviteur. Les vignerons le frappent, l’insultent et ils le renvoient sans rien lui donner. Le propriétaire leur envoie un troisième serviteur. Les vignerons le blessent lui aussi et ils le chassent. Alors le propriétaire de la vigne se dit : “Qu’est-ce que je vais faire ? Je vais leur envoyer mon fils très aimé, ils vont sans doute le respecter.” Mais quand les vignerons voient le fils, ils se disent entre eux : “C’est lui qui sera le propriétaire plus tard. Tuons-le, et la vigne sera à nous !” Ils le font sortir de la vigne et ils le tuent. » Jésus demande : « Qu’est-ce que le propriétaire de la vigne va faire ? Il va venir, il va tuer les vignerons et il donnera la vigne à d’autres. » En entendant cela, les gens disent : « Non, jamais ! » Alors Jésus les regarde et il leur dit : « Que veut dire cette phrase des Livres Saints : “La pierre que les maçons ont rejetée est devenue la pierre principale de la maison ?” Tous ceux qui tombent sur cette pierre auront le corps brisé. Et si cette pierre tombe sur quelqu’un, elle l’écrasera. » Les maîtres de la loi et les chefs des prêtres comprennent que Jésus a raconté cette histoire contre eux. C’est pourquoi ils cherchent à l’arrêter tout de suite, mais ils ont peur du peuple. Alors ils surveillent Jésus et ils envoient vers lui des hommes qui font semblant d’être fidèles à Dieu. Ces gens-là veulent trouver des erreurs dans les paroles de Jésus. Ainsi, on pourra le livrer au gouverneur, qui a pouvoir et autorité sur le pays. Ils lui posent cette question : « Maître, nous le savons, tu dis et tu enseignes des choses justes. Tu ne regardes pas l’importance des gens, mais tu enseignes en toute vérité ce que Dieu nous demande de faire. Dis-nous : est-il permis ou non de payer l’impôt à l’empereur romain ? » Mais Jésus comprend que c’est un piège et il leur dit : « Montrez-moi une pièce d’argent . Sur cette pièce, il y a l’image et le nom de quelqu’un. De qui donc ? » Ils répondent : « De l’empereur. » Alors Jésus leur dit : « Eh bien, rendez à l’empereur ce qui est à l’empereur, et rendez à Dieu ce qui est à Dieu. » Le peuple écoute. Les maîtres de la loi et les chefs des prêtres ne peuvent pas trouver d’erreurs dans les paroles de Jésus. Ils sont très étonnés de sa réponse et ils se taisent.

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Luc 20:9-26 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Il s’adressa ensuite au peuple et se mit à raconter cette parabole : Un homme planta une vigne ; il la loua à des vignerons et partit en voyage pour un temps assez long. Au moment des vendanges, il envoya un serviteur auprès des vignerons afin qu’ils lui remettent une partie du produit de la vigne, mais les vignerons le rouèrent de coups et le renvoyèrent les mains vides. Le propriétaire leur envoya un autre serviteur. Celui-là aussi, ils le renvoyèrent les mains vides, après l’avoir roué de coups et couvert d’insultes. Le maître persévéra et leur en envoya un troisième. Celui-là aussi, ils le chassèrent, après l’avoir grièvement blessé. Le propriétaire du vignoble se dit alors : « Que faire ? Je leur enverrai mon fils bien-aimé ; peut-être auront-ils du respect pour lui. » Mais quand les vignerons l’aperçurent, ils raisonnèrent ainsi entre eux : « Voilà l’héritier ! Tuons-le, afin que l’héritage nous revienne ! » Alors ils le traînèrent hors du vignoble et le tuèrent. Comment le propriétaire de la vigne agira-t-il envers eux ? Il viendra lui-même, fera exécuter ces vignerons et confiera le soin de sa vigne à d’autres. – Pas question ! s’écrièrent les auditeurs de Jésus en entendant cela. Mais lui, fixant le regard sur eux, leur dit : Que signifie donc ce texte de l’Ecriture : La pierre que les constructeurs ╵ ont rejetée est devenue la pierre principale, ╵ la pierre d’angle. Celui qui tombera sur cette pierre-là ╵ se brisera la nuque, et si elle tombe sur quelqu’un, ╵ elle l’écrasera . Les spécialistes de la Loi et les chefs des prêtres cherchèrent à mettre immédiatement la main sur Jésus, mais ils eurent peur des réactions du peuple. En effet, ils avaient bien compris que c’était eux que Jésus visait par cette parabole. Dès lors, ils le surveillèrent de près et envoyèrent auprès de lui des agents qui feraient semblant d’être des hommes pieux. Ils devaient le prendre en défaut dans ses paroles. Ainsi ils pourraient le livrer au pouvoir et à l’autorité du gouverneur romain. Ces gens-là l’abordèrent donc : Maître, nous savons que tu dis la vérité et que tu enseignes en toute droiture ; tu ne tiens pas compte de la position sociale des gens, mais c’est en toute vérité que tu enseignes la voie à suivre selon Dieu. Eh bien, dis-nous, si oui ou non, nous avons le droit de payer des impôts à César ? Connaissant leur fourberie, Jésus leur répondit : Montrez-moi une pièce d’argent ! De qui porte-t-elle l’effigie et l’inscription ? – De César. – Eh bien ! leur dit-il, rendez à César ce qui revient à César, et à Dieu ce qui revient à Dieu. Ils furent incapables de le prendre en défaut dans les propos qu’il tenait devant le peuple et, décontenancés par sa réponse, ils ne trouvèrent rien à répliquer.

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Luc 20:9-26 Bible J.N. Darby (JND)

Et il se mit à dire au peuple cette parabole : Un homme planta une vigne, et la loua à des cultivateurs, et s’en alla hors du pays pour longtemps. Et en la saison, il envoya un esclave aux cultivateurs, afin qu’ils lui donnent du fruit de la vigne ; mais les cultivateurs, l’ayant battu, le renvoyèrent à vide. Et il envoya encore un autre esclave ; mais l’ayant battu lui aussi, et l’ayant traité ignominieusement, ils le renvoyèrent à vide. Et il en envoya encore un troisième ; mais ils blessèrent aussi celui-ci, et le jetèrent dehors. Et le maître de la vigne dit : Que ferai-je ? J’enverrai mon fils bien-aimé ; peut-être que, quand ils verront celui-ci, ils le respecteront. Mais quand les cultivateurs le virent, ils raisonnèrent entre eux, disant : Celui-ci est l’héritier, tuons-le, afin que l’héritage soit à nous. Et l’ayant jeté hors de la vigne, ils le tuèrent. Que leur fera donc le maître de la vigne ? Il viendra et fera périr ces cultivateurs, et donnera la vigne à d’autres. Et l’ayant entendu, ils dirent : Qu’ainsi n’advienne ! Et lui, les regardant, dit : Qu’est-ce donc que ceci qui est écrit : « La pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, celle-là est devenue la maîtresse pierre du coin »  ? Quiconque tombera sur cette pierre, sera brisé ; mais celui sur qui elle tombera, elle le broiera. Et les principaux sacrificateurs et les scribes cherchèrent, en cette heure même, à mettre les mains sur lui ; et ils craignaient le peuple, car ils connurent qu’il avait dit cette parabole contre eux. Et l’observant, ils envoyèrent des agents secrets, qui feignaient d’être justes, pour le surprendre en [quelque] parole, de manière à le livrer au magistrat et au pouvoir du gouverneur. Et ils l’interrogèrent, disant : Maître, nous savons que tu dis et que tu enseignes justement, et que tu n’as point égard à l’apparence des personnes, mais que tu enseignes la voie de DIEU avec vérité. Nous est-il permis de payer le tribut à César, ou non ? Et s’apercevant de leur perfidie, il leur dit : Pourquoi me tentez-vous ? Montrez-moi un denier ; de qui a-t-il l’image et l’inscription ? Et répondant, ils dirent : De César. Et il leur dit : Rendez donc les choses de César à César, et les choses de DIEU à DIEU. Et ils ne pouvaient le surprendre dans ses paroles devant le peuple ; et étonnés de sa réponse, ils se turent.

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Luc 20:9-26 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Il se mit ensuite à dire au peuple cette parabole: Un homme planta une vigne, l'afferma à des vignerons, et quitta pour longtemps le pays. Au temps de la récolte, il envoya un serviteur vers les vignerons, pour qu'ils lui donnent une part du produit de la vigne. Les vignerons le battirent, et le renvoyèrent à vide. Il envoya encore un autre serviteur; ils le battirent, l'outragèrent, et le renvoyèrent à vide. Il en envoya encore un troisième; ils le blessèrent, et le chassèrent. Le maître de la vigne dit: Que ferai-je? J'enverrai mon fils bien-aimé; peut-être auront-ils pour lui du respect. Mais, quand les vignerons le virent, ils raisonnèrent entre eux, et dirent: Voici l'héritier; tuons-le, afin que l'héritage soit à nous. Et ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Maintenant, que leur fera le maître de la vigne? Il viendra, fera périr ces vignerons, et il donnera la vigne à d'autres. Lorsqu'ils eurent entendu cela, ils dirent: A Dieu ne plaise! Mais, jetant les regards sur eux, Jésus dit: Que signifie donc ce qui est écrit:La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaientEst devenue la principale de l'angle? Quiconque tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchèrent à mettre la main sur lui à l'heure même, mais ils craignirent le peuple. Ils avaient compris que c'était pour eux que Jésus avait dit cette parabole. Ils se mirent à observer Jésus; et ils envoyèrent des gens qui feignaient d'être justes, pour lui tendre des pièges et saisir de lui quelque parole, afin de le livrer au magistrat et à l'autorité du gouverneur. Ces gens lui posèrent cette question: Maître, nous savons que tu parles et enseignes droitement, et que tu ne regardes pas à l'apparence, mais que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. Nous est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, apercevant leur ruse, leur répondit: Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l'effigie et l'inscription? De César, répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Ils ne purent rien reprendre dans ses paroles devant le peuple; mais, étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence.

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Luc 20:9-26 Bible Segond 21 (S21)

Il se mit ensuite à dire cette parabole au peuple: «Un homme planta une vigne, la loua à des vignerons et quitta pour longtemps le pays. Le moment venu, il envoya un serviteur vers les vignerons pour qu'ils lui donnent sa part de récolte de la vigne. Mais les vignerons le battirent et le renvoyèrent les mains vides. Il envoya encore un autre serviteur; ils le battirent lui aussi, l'insultèrent et le renvoyèrent les mains vides. Il en envoya encore un troisième, mais ils le blessèrent aussi et le chassèrent. Le maître de la vigne se dit alors: ‘Que faire? J'enverrai mon fils bien-aimé, peut-être [en le voyant] auront-ils du respect pour lui.’ Mais quand les vignerons le virent, ils raisonnèrent entre eux et dirent: ‘Voilà l'héritier. Tuons-le, afin que l'héritage soit à nous.’ Ils le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent. Maintenant, que leur fera donc le maître de la vigne? Il viendra, fera mourir ces vignerons et donnera la vigne à d'autres.» En entendant cela, ils dirent: «Certainement pas!» Mais Jésus jeta les regards sur eux et dit: «Que signifie donc ce qui est écrit: La pierre qu'ont rejetée ceux qui construisaient est devenue la pierre angulaire ? Toute personne qui tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé.» Les chefs des prêtres et les spécialistes de la loi cherchèrent à l'arrêter au moment même, mais ils redoutaient les réactions [du peuple]. Ils avaient compris que c'était pour eux que Jésus avait dit cette parabole. Ils se mirent à observer Jésus et ils envoyèrent des hommes qui faisaient semblant d'être des justes pour le prendre au piège de ses propres paroles, afin de le livrer au pouvoir et à l'autorité du gouverneur. Ils lui posèrent cette question: «Maître, nous savons que tu parles et enseignes avec droiture et que tu ne tiens pas compte de l'apparence, mais que tu enseignes le chemin de Dieu en toute vérité. Nous est-il permis, ou non, de payer l'impôt à l'empereur?» Jésus discerna leur ruse et leur répondit: «[Pourquoi me tendez-vous un piège?] Montrez-moi une pièce de monnaie. De qui porte-t-elle l'effigie et l'inscription?» «De l'empereur», répondirent-ils. Alors il leur dit: «Rendez donc à l’empereur ce qui est à l’empereur et à Dieu ce qui est à Dieu.» Ils ne purent pas le prendre en défaut dans ce qu’il disait devant le peuple; étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence.

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Luc 20:9-26 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Il se mit ensuite à dire au peuple cette parabole: Un homme planta une vigne, l’afferma à des vignerons, et quitta pour longtemps le pays. Au temps de la récolte, il envoya un serviteur vers les vignerons, pour qu’ils lui donnent une part du produit de la vigne. Les vignerons le battirent, et le renvoyèrent à vide. Il envoya encore un autre serviteur; ils le battirent, l’outragèrent, et le renvoyèrent à vide. Il en envoya encore un troisième; ils le blessèrent, et le chassèrent. Le maître de la vigne dit: Que ferai-je? J’enverrai mon fils bien-aimé; peut-être auront-ils pour lui du respect. Mais, quand les vignerons le virent, ils raisonnèrent entre eux, et dirent: Voici l’héritier; tuons-le, afin que l’héritage soit à nous. Et ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Maintenant, que leur fera le maître de la vigne? Il viendra, fera périr ces vignerons, et il donnera la vigne à d’autres. Lorsqu’ils eurent entendu cela, ils dirent: A Dieu ne plaise! Mais, jetant les regards sur eux, Jésus dit: Que signifie donc ce qui est écrit: La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l’angle? Quiconque tombera sur cette pierre s’y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchèrent à mettre la main sur lui à l’heure même, mais ils craignirent le peuple. Ils avaient compris que c’était pour eux que Jésus avait dit cette parabole. Ils se mirent à observer Jésus; et ils envoyèrent des gens qui feignaient d’être justes, pour lui tendre des pièges et saisir de lui quelque parole, afin de le livrer au magistrat et à l’autorité du gouverneur. Ces gens lui posèrent cette question: Maître, nous savons que tu parles et enseignes droitement, et que tu ne regardes pas à l’apparence, mais que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. Nous est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, apercevant leur ruse, leur répondit: Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l’effigie et l’inscription? De César, répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Ils ne purent rien reprendre dans ses paroles devant le peuple; mais, étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence.

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Luc 20:9-26 Bible en français courant (BFC)

Ensuite, Jésus se mit à dire au peuple la parabole suivante: «Un homme planta une vigne, la loua à des ouvriers vignerons et partit en voyage pour longtemps. Au moment voulu, il envoya un serviteur aux ouvriers vignerons pour qu'ils lui remettent sa part de la récolte. Mais les vignerons battirent le serviteur et le renvoyèrent les mains vides. Le propriétaire envoya encore un autre serviteur, mais les vignerons le battirent aussi, l'insultèrent et le renvoyèrent sans rien lui donner. Il envoya encore un troisième serviteur; celui-là, ils le blessèrent aussi et le jetèrent dehors. Le propriétaire de la vigne dit alors: “Que faire? Je vais envoyer mon fils bien-aimé; ils auront probablement du respect pour lui.” Mais quand les vignerons le virent, ils se dirent les uns aux autres: “Voici le futur héritier. Tuons-le, pour que la vigne soit à nous.” Et ils le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent. «Eh bien, que leur fera le propriétaire de la vigne? demanda Jésus. Il viendra, il mettra à mort ces vignerons et confiera la vigne à d'autres.» Quand les gens entendirent ces mots, ils affirmèrent: «Cela n'arrivera certainement pas!» Mais Jésus les regarda et dit: «Que signifie cette parole de l'Écriture: “La pierre que les bâtisseurs avaient rejetée est devenue la pierre principale”? Tout homme qui tombera sur cette pierre s'y brisera; et si la pierre tombe sur quelqu'un, elle le réduira en poussière.» Les maîtres de la loi et les chefs des prêtres cherchèrent à arrêter Jésus à ce moment même, car ils savaient qu'il avait dit cette parabole contre eux; mais ils eurent peur du peuple. Ils se mirent alors à surveiller Jésus. A cet effet, ils lui envoyèrent des gens qui faisaient semblant d'être des hommes honorables. Ces gens devaient prendre Jésus au piège par une question, afin qu'on ait l'occasion de le livrer au pouvoir et à l'autorité du gouverneur. Ils lui posèrent cette question: «Maître, nous savons que ce que tu dis et enseignes est juste; tu ne juges personne sur les apparences, mais tu enseignes la vérité sur la conduite qui plaît à Dieu. Eh bien, dis-nous, notre loi permet-elle ou non de payer des impôts à l'empereur romain?» Mais Jésus se rendit compte de leur ruse et leur dit: «Montrez-moi une pièce d'argent. Le visage et le nom gravés sur cette pièce, de qui sont-ils?» – «De l'empereur», répondirent-ils. Alors Jésus leur dit: «Eh bien, payez à l'empereur ce qui lui appartient, et à Dieu ce qui lui appartient.» Ils ne purent pas le prendre en faute pour ce qu'il disait devant le peuple. Au contraire, sa réponse les remplit d'étonnement et ils gardèrent le silence.

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