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Luc 20:20-40

Luc 20:20-40 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Dès lors, ils le surveillèrent de près et envoyèrent auprès de lui des agents qui feraient semblant d’être des hommes pieux. Ils devaient le prendre en défaut dans ses paroles. Ainsi ils pourraient le livrer au pouvoir et à l’autorité du gouverneur romain. Ces gens-là l’abordèrent donc : Maître, nous savons que tu dis la vérité et que tu enseignes en toute droiture ; tu ne tiens pas compte de la position sociale des gens, mais c’est en toute vérité que tu enseignes la voie à suivre selon Dieu. Eh bien, dis-nous, si oui ou non, nous avons le droit de payer des impôts à César ? Connaissant leur fourberie, Jésus leur répondit : Montrez-moi une pièce d’argent ! De qui porte-t-elle l’effigie et l’inscription ? – De César. – Eh bien ! leur dit-il, rendez à César ce qui revient à César, et à Dieu ce qui revient à Dieu. Ils furent incapables de le prendre en défaut dans les propos qu’il tenait devant le peuple et, décontenancés par sa réponse, ils ne trouvèrent rien à répliquer. Quelques sadducéens, qui nient que les morts ressuscitent, vinrent trouver Jésus. Ils lui posèrent la question suivante : Maître, dans ses écrits, Moïse nous a laissé ce commandement : Si un homme vient à mourir, en laissant une femme mais pas d’enfant, son frère doit épouser sa veuve pour donner une descendance au défunt . Or, il y avait sept frères. L’aîné se maria, et il mourut sans laisser d’enfant. Le second, puis le troisième épousèrent la veuve, et ainsi de suite jusqu’au septième ; et ils moururent tous les sept sans avoir eu d’enfant. En fin de compte, la femme mourut elle aussi. Eh bien, cette femme, à la résurrection, duquel des sept frères sera-t-elle la femme ? Car ils l’ont tous eue pour épouse. Jésus leur dit : Dans le monde présent, hommes et femmes se marient. Mais ceux qui seront jugés dignes de ressusciter d’entre les morts pour faire partie du monde à venir, ne se marieront plus. Ils ne pourront pas non plus mourir, parce qu’ils seront comme les anges, et ils seront fils de Dieu, puisqu’ils seront ressuscités. Que les morts ressuscitent, Moïse lui-même l’a indiqué, lorsqu’il est question du buisson ardent : en effet, il appelle le Seigneur le Dieu d’ Abraham , le Dieu d’ Isaac et le Dieu de Jacob . Or, Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants ; c’est donc bien que, pour lui, les patriarches sont tous les trois vivants. Là-dessus, quelques spécialistes de la Loi prirent la parole : Tu as bien répondu, Maître. Car ils n’osaient plus lui poser de questions.

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Luc 20:20-40 Bible Segond 21 (S21)

Ils se mirent à observer Jésus et ils envoyèrent des hommes qui faisaient semblant d'être des justes pour le prendre au piège de ses propres paroles, afin de le livrer au pouvoir et à l'autorité du gouverneur. Ils lui posèrent cette question: «Maître, nous savons que tu parles et enseignes avec droiture et que tu ne tiens pas compte de l'apparence, mais que tu enseignes le chemin de Dieu en toute vérité. Nous est-il permis, ou non, de payer l'impôt à l'empereur?» Jésus discerna leur ruse et leur répondit: «[Pourquoi me tendez-vous un piège?] Montrez-moi une pièce de monnaie. De qui porte-t-elle l'effigie et l'inscription?» «De l'empereur», répondirent-ils. Alors il leur dit: «Rendez donc à l’empereur ce qui est à l’empereur et à Dieu ce qui est à Dieu.» Ils ne purent pas le prendre en défaut dans ce qu’il disait devant le peuple; étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence. Quelques-uns des sadducéens, qui disent qu'il n'y a pas de résurrection, s'approchèrent et posèrent à Jésus cette question: «Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit: Si un homme marié meurt sans avoir d'enfants, son frère épousera la veuve et donnera une descendance à son frère. Or, il y avait sept frères. Le premier s’est marié et est mort sans enfants. Le deuxième [a épousé la veuve et est mort sans enfants], puis le troisième l’a épousée; il en est allé de même pour les sept: ils sont morts sans laisser d'enfants. Enfin, la femme est morte aussi. A la résurrection, duquel d'entre eux sera-t-elle donc la femme? En effet, les sept l'ont eue pour épouse.» Jésus leur répondit: «Les hommes et les femmes de ce monde se marient, mais celles et ceux qui seront jugés dignes de prendre part au monde à venir et à la résurrection ne se marieront pas. Ils ne pourront pas non plus mourir, car ils seront semblables aux anges, et ils seront enfants de Dieu en tant qu’enfants de la résurrection. Que les morts ressuscitent, c'est ce que Moïse a indiqué, dans l'épisode du buisson, quand il appelle le Seigneur le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. Or Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants, car tous sont vivants pour lui.» Quelques spécialistes de la loi prirent la parole et dirent: «Maître, tu as bien parlé», et ils n'osaient plus lui poser aucune question.

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Luc 20:20-40 Bible J.N. Darby (JND)

Et l’observant, ils envoyèrent des agents secrets, qui feignaient d’être justes, pour le surprendre en [quelque] parole, de manière à le livrer au magistrat et au pouvoir du gouverneur. Et ils l’interrogèrent, disant : Maître, nous savons que tu dis et que tu enseignes justement, et que tu n’as point égard à l’apparence des personnes, mais que tu enseignes la voie de DIEU avec vérité. Nous est-il permis de payer le tribut à César, ou non ? Et s’apercevant de leur perfidie, il leur dit : Pourquoi me tentez-vous ? Montrez-moi un denier ; de qui a-t-il l’image et l’inscription ? Et répondant, ils dirent : De César. Et il leur dit : Rendez donc les choses de César à César, et les choses de DIEU à DIEU. Et ils ne pouvaient le surprendre dans ses paroles devant le peuple ; et étonnés de sa réponse, ils se turent. Et quelques-uns des sadducéens, qui nient qu’il y ait une résurrection, s’approchèrent, et l’interrogèrent, disant : Maître, Moïse nous a écrit, que si le frère de quelqu’un meurt, ayant une femme, et qu’il meure sans enfants, son frère prenne la femme et suscite de la postérité à son frère. Il y avait donc sept frères ; et le premier, ayant pris une femme, mourut sans enfants ; et le second [prit la femme, et celui-ci aussi mourut sans enfants] ; et le troisième la prit, et de même aussi les sept : ils ne laissèrent pas d’enfants et moururent ; et après eux tous la femme aussi mourut. Dans la résurrection donc, duquel d’entre eux sera-t-elle la femme, car les sept l’ont eue pour femme ? Et Jésus leur dit : Les fils de ce siècle se marient et sont donnés en mariage ; mais ceux qui seront estimés dignes d’avoir part à ce siècle-là et à la résurrection d’entre les morts, ne se marient ni ne sont donnés en mariage, car aussi ils ne peuvent plus mourir ; car ils sont semblables aux anges, et ils sont fils de DIEU, étant fils de la résurrection. Or que les morts ressuscitent, Moïse même l’a montré, au [titre] : “Du buisson”, quand il appelle le ✶Seigneur : le DIEU d’Abraham, et le DIEU d’Isaac, et le DIEU de Jacob. Or il n’est pas le DIEU des morts, mais des vivants ; car pour lui tous vivent. Et quelques-uns des scribes, répondant, dirent : Maître, tu as bien dit. Et ils n’osèrent plus l’interroger sur rien.

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Luc 20:20-40 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Alors ils surveillent Jésus et ils envoient vers lui des hommes qui font semblant d’être fidèles à Dieu. Ces gens-là veulent trouver des erreurs dans les paroles de Jésus. Ainsi, on pourra le livrer au gouverneur, qui a pouvoir et autorité sur le pays. Ils lui posent cette question : « Maître, nous le savons, tu dis et tu enseignes des choses justes. Tu ne regardes pas l’importance des gens, mais tu enseignes en toute vérité ce que Dieu nous demande de faire. Dis-nous : est-il permis ou non de payer l’impôt à l’empereur romain ? » Mais Jésus comprend que c’est un piège et il leur dit : « Montrez-moi une pièce d’argent . Sur cette pièce, il y a l’image et le nom de quelqu’un. De qui donc ? » Ils répondent : « De l’empereur. » Alors Jésus leur dit : « Eh bien, rendez à l’empereur ce qui est à l’empereur, et rendez à Dieu ce qui est à Dieu. » Le peuple écoute. Les maîtres de la loi et les chefs des prêtres ne peuvent pas trouver d’erreurs dans les paroles de Jésus. Ils sont très étonnés de sa réponse et ils se taisent. Quelques Sadducéens s’approchent de Jésus. Les Sadducéens ne croient pas que les morts se relèveront. Ils posent cette question à Jésus : « Maître, Moïse a écrit pour nous dans la loi : “Un homme a un frère marié. Si ce frère meurt sans enfants, l’homme doit se marier avec la veuve. Ainsi il donnera des enfants à son frère qui est mort.” Eh bien, supposons ceci : il y a donc sept frères. Le premier se marie et il meurt sans enfants. Le deuxième se marie avec la veuve et il meurt sans enfants. Il arrive la même chose au troisième et aux autres aussi. Les sept frères meurent sans laisser d’enfants. Finalement, la femme meurt à son tour. Quand les morts se relèveront, elle sera la femme de qui ? En effet, chacun des sept frères a été son mari. » Jésus leur répond : « Dans ce monde, les hommes et les femmes se marient. Certains, Dieu les juge dignes de vivre dans le monde qui vient, et donc de se relever de la mort. Mais ces hommes et ces femmes ne se marient plus. En effet, ils ne peuvent plus mourir, parce qu’ils sont comme les anges. Ils sont fils de Dieu, parce que Dieu les a relevés de la mort. Et Moïse a montré clairement que les gens se réveillent de la mort. En effet, quand Moïse raconte l’histoire du buisson, il appelle le Seigneur “le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob ”. » Jésus ajoute : « Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais il est le Dieu des vivants, parce que tous vivent pour lui. » Quelques maîtres de la loi disent à Jésus : « Maître, tu as bien parlé. » Et ils n’osent plus lui poser d’autres questions.

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Luc 20:20-40 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Ils se mirent à observer Jésus; et ils envoyèrent des gens qui feignaient d'être justes, pour lui tendre des pièges et saisir de lui quelque parole, afin de le livrer au magistrat et à l'autorité du gouverneur. Ces gens lui posèrent cette question: Maître, nous savons que tu parles et enseignes droitement, et que tu ne regardes pas à l'apparence, mais que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. Nous est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, apercevant leur ruse, leur répondit: Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l'effigie et l'inscription? De César, répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Ils ne purent rien reprendre dans ses paroles devant le peuple; mais, étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence. Quelques-uns des sadducéens, qui disent qu'il n'y a point de résurrection, s'approchèrent, et posèrent à Jésus cette question: Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit: Si le frère de quelqu'un meurt, ayant une femme sans avoir d'enfants, son frère épousera la femme, et suscitera une postérité à son frère. Or, il y avait sept frères. Le premier se maria, et mourut sans enfants. Le second et le troisième épousèrent la veuve; il en fut de même des sept, qui moururent sans laisser d'enfants. Enfin, la femme mourut aussi. A la résurrection, duquel d'entre eux sera-t-elle donc la femme? Car les sept l'ont eue pour femme. Jésus leur répondit: Les enfants de ce siècle prennent des femmes et des maris; mais ceux qui seront trouvés dignes d'avoir part au siècle à venir et à la résurrection des morts ne prendront ni femmes ni maris. Car ils ne pourront plus mourir, parce qu'ils seront semblables aux anges, et qu'ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection. Que les morts ressuscitent, c'est ce que Moïse a fait connaître quand, à propos du buisson, il appelle le Seigneur le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob. Or, Dieu n'est pas Dieu des morts, mais des vivants; car pour lui tous sont vivants. Quelques-uns des scribes, prenant la parole, dirent: Maître, tu as bien parlé. Et ils n'osaient plus lui poser aucune question.

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Luc 20:20-40 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Ils se mirent à observer Jésus; et ils envoyèrent des gens qui feignaient d’être justes, pour lui tendre des pièges et saisir de lui quelque parole, afin de le livrer au magistrat et à l’autorité du gouverneur. Ces gens lui posèrent cette question: Maître, nous savons que tu parles et enseignes droitement, et que tu ne regardes pas à l’apparence, mais que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité. Nous est-il permis, ou non, de payer le tribut à César? Jésus, apercevant leur ruse, leur répondit: Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l’effigie et l’inscription? De César, répondirent-ils. Alors il leur dit: Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Ils ne purent rien reprendre dans ses paroles devant le peuple; mais, étonnés de sa réponse, ils gardèrent le silence. Quelques-uns des sadducéens, qui disent qu’il n’y a point de résurrection, s’approchèrent, et posèrent à Jésus cette question: Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit: Si le frère de quelqu’un meurt, ayant une femme sans avoir d’enfants, son frère épousera la femme, et suscitera une postérité à son frère. Or, il y avait sept frères. Le premier se maria, et mourut sans enfants. Le second et le troisième épousèrent la veuve; il en fut de même des sept, qui moururent sans laisser d’enfants. Enfin, la femme mourut aussi. A la résurrection, duquel d’entre eux sera-t-elle donc la femme? Car les sept l’ont eue pour femme. Jésus leur répondit: Les enfants de ce siècle prennent des femmes et des maris; mais ceux qui seront trouvés dignes d’avoir part au siècle à venir et à la résurrection des morts ne prendront ni femmes ni maris. Car ils ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront semblables aux anges, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la résurrection. Que les morts ressuscitent, c’est ce que Moïse a fait connaître quand, à propos du buisson, il appelle le Seigneur le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob. Or, Dieu n’est pas Dieu des morts, mais des vivants; car pour lui tous sont vivants. Quelques-uns des scribes, prenant la parole, dirent: Maître, tu as bien parlé. Et ils n’osaient plus lui faire aucune question.

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Luc 20:20-40 Bible en français courant (BFC)

Ils se mirent alors à surveiller Jésus. A cet effet, ils lui envoyèrent des gens qui faisaient semblant d'être des hommes honorables. Ces gens devaient prendre Jésus au piège par une question, afin qu'on ait l'occasion de le livrer au pouvoir et à l'autorité du gouverneur. Ils lui posèrent cette question: «Maître, nous savons que ce que tu dis et enseignes est juste; tu ne juges personne sur les apparences, mais tu enseignes la vérité sur la conduite qui plaît à Dieu. Eh bien, dis-nous, notre loi permet-elle ou non de payer des impôts à l'empereur romain?» Mais Jésus se rendit compte de leur ruse et leur dit: «Montrez-moi une pièce d'argent. Le visage et le nom gravés sur cette pièce, de qui sont-ils?» – «De l'empereur», répondirent-ils. Alors Jésus leur dit: «Eh bien, payez à l'empereur ce qui lui appartient, et à Dieu ce qui lui appartient.» Ils ne purent pas le prendre en faute pour ce qu'il disait devant le peuple. Au contraire, sa réponse les remplit d'étonnement et ils gardèrent le silence. Quelques Sadducéens vinrent auprès de Jésus. – Ce sont eux qui affirment qu'il n'y a pas de résurrection. – Ils l'interrogèrent de la façon suivante: «Maître, Moïse nous a donné ce commandement écrit: “Si un homme marié, qui a un frère, meurt sans avoir eu d'enfants, il faut que son frère épouse la veuve pour donner des descendants à celui qui est mort.” Or, il y avait une fois sept frères. Le premier se maria et mourut sans laisser d'enfants. Le deuxième épousa la veuve, puis le troisième. Il en fut de même pour tous les sept, qui moururent sans laisser d'enfants. Finalement, la femme mourut aussi. Au jour où les morts se relèveront, de qui sera-t-elle donc la femme? Car tous les sept l'ont eue comme épouse!» Jésus leur répondit: «Les hommes et les femmes de ce monde-ci se marient; mais les hommes et les femmes qui sont jugés dignes de se relever d'entre les morts et de vivre dans le monde à venir ne se marient pas. Ils ne peuvent plus mourir, ils sont pareils aux anges. Ils sont fils de Dieu, car ils ont passé de la mort à la vie. Moïse indique clairement que les morts reviendront à la vie. Dans le passage qui parle du buisson en flammes, il appelle le Seigneur “le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob.” Dieu, ajouta Jésus, est le Dieu des vivants, et non des morts, car tous sont vivants pour lui.» Quelques maîtres de la loi prirent alors la parole et dirent: «Tu as bien parlé, Maître.» Car ils n'osaient plus lui poser d'autres questions.

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