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Luc 18:1-43

Luc 18:1-43 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Jésus raconte une histoire aux disciples pour leur montrer ceci : il faut toujours prier et ne pas se décourager. Il leur dit : « Dans une ville, il y a un juge. Il ne respecte pas Dieu et il se moque des gens. Dans cette ville, il y a aussi une veuve. Souvent, elle va chez le juge pour lui dire : “Fais-moi justice contre mon adversaire !” Pendant longtemps, le juge ne veut pas. Ensuite il se dit : “Je ne respecte pas Dieu et je me moque des gens, mais cette veuve me fatigue. C’est pourquoi je vais lui faire justice. Alors elle ne viendra plus m’ennuyer sans arrêt.” » Le Seigneur ajoute : « Écoutez bien ce qu’il dit, ce mauvais juge ! Eh bien, est-ce que Dieu ne va pas faire justice à ses amis qui crient vers lui jour et nuit ? Est-ce qu’il les fait attendre ? Je vous le dis : il va leur faire justice bien vite. Mais quand le Fils de l’homme viendra, est-ce qu’il trouvera des croyants sur la terre ? » Certains croyaient être justes et ils méprisaient tous les autres. Pour eux, Jésus raconte cette histoire : « Deux hommes vont au temple pour prier. L’un est Pharisien, l’autre est employé des impôts. Le Pharisien se met devant. Voici comment il prie dans son cœur : “Mon Dieu, je te remercie parce que je ne suis pas comme les autres. Ils sont voleurs, injustes, adultères. Et je te remercie parce que je ne suis pas comme cet employé des impôts. Je jeûne deux fois par semaine. Je te donne le dixième de tout ce que je gagne.” L’employé des impôts reste derrière, il ne veut même pas lever les yeux vers le ciel. Mais il se frappe la poitrine pour demander pardon et il dit : “Mon Dieu, aie pitié de moi ! Je suis un homme pécheur.” » Jésus ajoute : « Oui, je vous le dis, l’employé des impôts rentre chez lui, et Dieu le considère comme une personne juste. Ce n’est pas le cas du Pharisien. En effet, celui qui veut être au-dessus des autres, on lui donnera la dernière place. Et celui qui prend la dernière place, on le mettra au-dessus des autres. » Des gens amènent aussi les bébés à Jésus pour qu’il les touche. En voyant cela, les disciples leur font des reproches. Mais Jésus fait approcher les bébés et il dit : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas ! En effet, le Royaume de Dieu appartient à ceux qui sont comme les enfants. Je vous le dis, c’est la vérité : si quelqu’un ne reçoit pas le Royaume de Dieu comme un enfant, cette personne ne pourra jamais y entrer. » Un chef juif demande à Jésus : « Bon maître, qu’est-ce que je dois faire pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours ? » Jésus lui répond : « Pourquoi m’appelles-tu “bon” ? Personne n’est bon, sauf Dieu. Tu connais les commandements : Ne commets pas d’adultère. Ne tue personne. Ne vole pas. Ne témoigne pas faussement contre quelqu’un. Respecte ton père et ta mère . » L’homme lui dit : « J’obéis à tout cela depuis ma jeunesse. » Jésus l’entend et il lui répond : « Une seule chose te manque encore : tout ce que tu as, vends-le et distribue l’argent aux pauvres, alors tu auras des richesses auprès de Dieu. Ensuite, viens et suis-moi. » Mais quand l’homme entend cela, il devient tout triste parce qu’il est très riche. Jésus voit que l’homme est triste et il dit : « Pour ceux qui ont des richesses, c’est vraiment difficile d’entrer dans le Royaume de Dieu ! Est-ce qu’un chameau peut passer facilement par le trou d’une aiguille ? Eh bien, pour quelqu’un de riche, c’est encore plus difficile d’entrer dans le Royaume de Dieu ! » Ceux qui écoutent Jésus lui disent : « Mais alors, qui peut être sauvé ? » Jésus répond : « Ce qui est impossible pour les hommes est possible pour Dieu. » Pierre dit à Jésus : « Écoute, nous, nous avons quitté ce que nous avions, et nous t’avons suivi. » Jésus répond : « Je vous le dis, c’est la vérité : si quelqu’un a quitté maison, femme, frères, parents ou enfants à cause du Royaume de Dieu, cette personne recevra beaucoup plus dans ce monde. Et dans le monde qui vient, elle recevra la vie avec Dieu pour toujours. » Jésus prend les douze apôtres avec lui et il leur dit : « Écoutez ! Nous montons à Jérusalem, et tout ce que les prophètes ont écrit au sujet du Fils de l’homme, cela va arriver. En effet, on va le livrer à ceux qui ne connaissent pas Dieu. Ceux-ci vont se moquer de lui, ils l’insulteront, ils cracheront sur lui. Ils le frapperont à coups de fouet, puis ils le feront mourir. Et le troisième jour, il se relèvera de la mort. » Mais les disciples ne comprennent rien à cela. Pour eux, ces paroles ne sont pas claires, et ils ne savent pas ce que Jésus veut dire. Jésus approche de Jéricho. Un aveugle est assis au bord du chemin, et il est en train de mendier. Il entend une foule qui passe et il demande aux gens : « Qu’est-ce que c’est ? » Les gens lui répondent : « C’est Jésus de Nazareth qui passe. » Alors il se met à crier : « Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! » Les gens qui marchent devant lui font des reproches. Ils lui disent : « Tais-toi ! » Mais l’aveugle crie encore plus fort : « Fils de David, aie pitié de moi ! » Jésus s’arrête et il donne cet ordre aux gens : « Amenez-le auprès de moi ! » Quand l’aveugle est auprès de lui, Jésus lui demande : « Qu’est-ce que tu veux ? Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? » L’aveugle lui dit : « Seigneur, fais que je voie comme avant ! » Jésus lui répond : « Vois ! Ta foi t’a sauvé ! » Et aussitôt, l’aveugle voit comme avant. Il suit Jésus en disant : « Gloire à Dieu ! » En voyant cela, tout le peuple chante la louange de Dieu.

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Luc 18:1-43 Bible J.N. Darby (JND)

Et il leur dit aussi une parabole, pour [montrer] qu’ils devaient toujours prier et ne pas se lasser, disant : Il y avait dans une ville un certain juge qui ne craignait pas DIEU et qui ne respectait pas les hommes ; et dans cette ville-là il y avait une veuve, et elle alla vers lui, disant : Venge-moi de mon adversaire. Et il ne le voulut pas pour un temps. Mais après cela, il dit en lui-même : Quoique je ne craigne pas DIEU et que je ne respecte pas les hommes, néanmoins, parce que cette veuve m’ennuie, je lui ferai justice, de peur que, revenant sans cesse, elle ne me rompe la tête. Et le Seigneur dit : Écoutez ce que dit le juge inique. Et DIEU ne ferait-il point justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et il use de patience [avant d’intervenir] pour eux ? Je vous dis que bientôt il leur fera justice. Mais le fils de l’homme quand il viendra, trouvera-t-il de la foi sur la terre ? Et il dit aussi cette parabole à quelques-uns qui se confiaient en eux-mêmes comme s’ils étaient justes, et qui tenaient le reste des hommes pour rien : Deux hommes montèrent au temple pour prier, l’un pharisien, et l’autre publicain. Le pharisien, se tenant à l’écart, priait en lui-même en ces termes : Ô DIEU, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes qui sont ravisseurs, injustes, adultères ; ou même comme ce publicain. Je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tout ce que je possède. Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant : Ô DIEU, sois apaisé envers moi, pécheur  ! Je vous dis que celui-ci descendit en sa maison justifié plutôt que l’autre ; car quiconque s’élève, sera abaissé ; et celui qui s’abaisse sera élevé. Et on lui apporta aussi les petits enfants, afin qu’il les touche ; et les disciples, le voyant, reprirent ceux [qui les apportaient]. Mais Jésus, les ayant appelés, dit : Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas ; car à de tels est le royaume de DIEU. En vérité, je vous dis : Quiconque ne recevra pas le royaume de DIEU comme un petit enfant, n’y entrera point. Et un des chefs [du peuple] l’interrogea, disant : Bon maître, que faut-il que j’aie fait pour hériter de la vie éternelle ? Et Jésus lui dit : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Nul n’est bon, sinon un [seul], DIEU. Tu sais les commandements : Ne commets point adultère ; ne tue point ; ne dérobe point ; ne dis point de faux témoignage ; honore ton père et ta mère. Et il dit : J’ai gardé toutes ces choses dès ma jeunesse. Et quand Jésus eut entendu cela, il lui dit : Une chose te manque encore : vends tout ce que tu as, et distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux ; et viens, suis-moi. Et lui, ayant entendu ces choses, devint fort triste ; car il était extrêmement riche. Et Jésus, voyant qu’il était devenu fort triste, dit : Combien difficilement ceux qui ont des biens entreront-ils dans le royaume de DIEU  ! Car il est plus facile qu’un chameau entre par un trou d’aiguille, qu’un riche n’entre dans le royaume de DIEU. Et ceux qui entendirent cela, dirent : Et qui peut être sauvé ? Et il dit : Les choses qui sont impossibles aux hommes, sont possibles à DIEU. Et Pierre dit : Voici, nous avons tout quitté et nous t’avons suivi. Et il leur dit : En vérité, je vous dis, qu’il n’y a personne qui ait quitté maison, ou parents, ou frères, ou femme, ou enfants, pour l’amour du royaume de DIEU, qui ne reçoive beaucoup plus en ce temps-ci, et, dans le siècle qui vient, la vie éternelle. Et prenant à lui les douze, il leur dit : Voici, nous montons à Jérusalem, et toutes les choses qui sont écrites par les prophètes touchant le fils de l’homme seront accomplies : car il sera livré aux nations ; on se moquera de lui, et on l’injuriera, et on crachera contre lui ; et après qu’ils l’auront fouetté, ils le mettront à mort ; et le troisième jour il ressuscitera. Et ils ne comprirent rien de ces choses ; et cette parole leur était cachée, et ils ne comprirent pas les choses qui étaient dites. Et il arriva, lorsqu’il fut venu dans le voisinage de Jéricho, qu’un aveugle était assis sur le bord du chemin et mendiait. Et entendant la foule qui passait, il demanda ce que c’était. Et on lui rapporta que Jésus le Nazaréen passait. Et il cria, disant : Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! Et ceux qui allaient devant le reprirent afin qu’il se taise ; mais il criait d’autant plus fort : Fils de David ! aie pitié de moi. Et Jésus, s’étant arrêté, ordonna qu’on le lui amène ; et comme il s’approchait, il l’interrogea, [disant] : Que veux-tu que je te fasse ? Et il dit : Seigneur, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit : Recouvre la vue, ta foi t’a guéri. Et à l’instant il recouvra la vue et le suivit, glorifiant DIEU. Et tout le peuple, voyant cela, donna louange à DIEU.

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Luc 18:1-43 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Jésus leur adressa une parabole, pour montrer qu'il faut toujours prier, et ne point se relâcher. Il dit: Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait point Dieu et qui n'avait d'égard pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait lui dire: Fais-moi justice de ma partie adverse. Pendant longtemps il refusa. Mais ensuite il dit en lui-même: Quoique je ne craigne point Dieu et que je n'aie d'égard pour personne, néanmoins, parce que cette veuve m'importune, je lui ferai justice, afin qu'elle ne vienne pas sans cesse me casser la tête. Le Seigneur ajouta: Entendez ce que dit le juge inique. Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre? Il dit encore cette parabole, en vue de certaines personnes se persuadant qu'elles étaient justes, et ne faisant aucun cas des autres: Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; je jeûne deux fois par semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé. On lui amena aussi les petits enfants, afin qu'il les touche. Mais les disciples, voyant cela, reprenaient ceux qui les amenaient. Et Jésus les appela, et dit: Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera point. Un chef interrogea Jésus, et dit: Bon maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle? Jésus lui répondit: Pourquoi m'appelles-tu bon? Il n'y a de bon que Dieu seul. Tu connais les commandements: Tu ne commettras point d'adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; honore ton père et ta mère. J'ai, dit-il, observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, ayant entendu cela, lui dit: Il te manque encore une chose: vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux. Puis, viens, et suis-moi. Lorsqu'il entendit ces paroles, il devint tout triste; car il était très riche. Jésus, [voyant qu'il était devenu tout triste,] dit: Qu'il est difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu! Car il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu. Ceux qui l'écoutaient dirent: Et qui peut être sauvé? Jésus répondit: Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. Pierre dit alors: Voici, nous avons tout quitté, et nous t'avons suivi. Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérité, il n'est personne qui, ayant quitté, à cause du royaume de Dieu, sa maison, ou sa femme, ou ses frères, ou ses parents, ou ses enfants, ne reçoive beaucoup plus dans ce siècle-ci, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle. Jésus prit les douze auprès de lui, et leur dit: Voici, nous montons à Jérusalem, et tout ce qui a été écrit par les prophètes au sujet du Fils de l'homme s'accomplira. Car il sera livré aux païens; on se moquera de lui, on l'outragera, on crachera sur lui, et, après l'avoir battu de verges, on le fera mourir; et le troisième jour il ressuscitera. Mais ils ne comprirent rien à cela; c'était pour eux un langage caché, des paroles dont ils ne saisissaient pas le sens. Comme Jésus approchait de Jéricho, un aveugle était assis au bord du chemin, et mendiait. Entendant la foule passer, il demanda ce que c'était. On lui dit: C'est Jésus de Nazareth qui passe. Et il cria: Jésus, Fils de David, aie pitié de moi! Ceux qui marchaient devant le reprenaient, pour le faire taire; mais il criait beaucoup plus fort: Fils de David, aie pitié de moi! Jésus, s'étant arrêté, ordonna qu'on le lui amène; et, quand il se fut approché, il lui demanda: Que veux-tu que je te fasse? Il répondit: Seigneur, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit: Recouvre la vue; ta foi t'a sauvé. A l'instant il recouvra la vue, et suivit Jésus, en glorifiant Dieu. Tout le peuple, voyant cela, loua Dieu.

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Luc 18:1-43 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Pour montrer qu’il est nécessaire de prier constamment, sans jamais se décourager, Jésus raconta à ses disciples la parabole suivante : Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et qui n’avait d’égards pour personne. Il y avait aussi, dans cette même ville, une veuve qui venait constamment le trouver pour lui dire : « Défends mon droit contre mon adversaire. » Pendant longtemps, il refusa. Mais il finit par se dire : « J’ai beau ne pas craindre Dieu et ne pas me préoccuper des hommes, cette veuve m’ennuie ; je vais donc lui donner gain de cause pour qu’elle ne vienne plus sans cesse me casser la tête. » Le Seigneur ajouta : Notez bien comment ce mauvais juge réagit. Alors, pouvez-vous supposer que Dieu ne défendra pas le droit de ceux qu’il a choisis et qui crient à lui jour et nuit, et qu’il tardera à leur venir en aide ? Moi je vous dis qu’il défendra leur droit promptement. Seulement, lorsque le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il encore la foi sur la terre ? Il raconta aussi une parabole pour ceux qui étaient convaincus d’être justes et méprisaient les autres : Deux hommes montèrent au Temple pour prier : un pharisien et un collecteur d’impôts. Le pharisien, debout, faisait intérieurement cette prière: « O Dieu, je te remercie de ne pas être avare, malhonnête et adultère comme les autres hommes, et en particulier comme ce collecteur d’impôts là-bas. Moi, je jeûne deux jours par semaine, je donne dix pour cent de tous mes revenus. » Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, et n’osait même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappait la poitrine et murmurait : « O Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! » Je vous l’assure, c’est ce dernier et non pas l’autre qui est rentré chez lui déclaré juste par Dieu. Car celui qui s’élève sera abaissé ; celui qui s’abaisse sera élevé. Des gens amenèrent à Jésus de tout petits enfants pour qu’il pose les mains sur eux. Mais, quand les disciples virent cela, ils leur firent des reproches. Jésus les fit venir et leur dit : Laissez les petits enfants venir à moi et ne les en empêchez pas, car le royaume de Dieu appartient à ceux qui leur ressemblent. Vraiment, je vous l’assure : celui qui ne reçoit pas le royaume de Dieu comme un petit enfant, n’y entrera pas. Alors un notable lui demanda : Bon Maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle ? – Pourquoi m’appelles-tu bon ? lui répondit Jésus. Personne n’est bon, sinon Dieu seul. Tu connais les commandements : Ne commets pas d’adultère ; ne commets pas de meurtre ; ne commets pas de vol ; ne porte pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère . – Tout cela, lui répondit l’homme, je l’ai appliqué depuis ma jeunesse. A ces mots, Jésus lui dit : Il te reste encore une chose à faire : vends tout ce que tu possèdes, distribue le produit de la vente aux pauvres, et tu auras un trésor au ciel. Puis viens et suis-moi ! Quand l’autre entendit cela, il fut profondément attristé, car il était très riche. En le voyant ainsi abattu, Jésus dit : Qu’il est difficile à ceux qui ont des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu ! Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. Les auditeurs s’écrièrent : Mais alors, qui peut être sauvé ? Jésus leur répondit : Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. Pierre lui dit alors : Nous, nous avons laissé tout ce que nous avions pour te suivre. Jésus leur dit : Vraiment, je vous l’assure, si quelqu’un quitte, à cause du royaume de Dieu, sa maison, sa femme, ses frères, ses parents ou ses enfants, il recevra beaucoup plus en retour dès à présent, et, dans le monde à venir, la vie éternelle. Jésus prit les Douze à part et leur dit : Voici, nous montons à Jérusalem et tout ce que les prophètes ont écrit au sujet du Fils de l’homme va s’accomplir. En effet, il sera remis entre les mains des païens, on se moquera de lui, on l’insultera, on crachera sur lui. Et après l’avoir battu à coups de fouet, on le mettra à mort. Puis, le troisième jour, il ressuscitera. Les disciples ne comprirent rien à tout cela, c’était pour eux un langage énigmatique et ils ne savaient pas ce que Jésus voulait dire. Comme Jésus approchait de Jéricho, un aveugle était assis au bord du chemin, en train de mendier. En entendant le bruit de la foule qui passait, il demanda ce que c’était. On lui répondit que c’était Jésus de Nazareth qui passait. Alors il se mit à crier très fort : Jésus, Fils de David, aie pitié de moi ! Ceux qui marchaient en tête du cortège le rabrouèrent pour le faire taire, mais lui criait de plus belle : Fils de David, aie pitié de moi ! Jésus s’arrêta et ordonna qu’on lui amène l’aveugle. Quand il fut près de lui, Jésus lui demanda : Que veux-tu que je fasse pour toi ? L’aveugle lui répondit : Seigneur, fais que je puisse voir. – Tu peux voir, lui dit Jésus. Parce que tu as eu foi en moi, tu es guéri. Aussitôt, il recouvra la vue et suivit Jésus en louant Dieu. En voyant ce qui s’était passé, toute la foule se mit aussi à louer Dieu.

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Luc 18:1-43 Bible Segond 21 (S21)

Jésus leur dit une parabole pour montrer qu'ils devaient toujours prier, sans se décourager. Il dit: «Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et qui n'avait d'égards pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait lui dire: ‘Rends-moi justice contre ma partie adverse.’ Pendant longtemps il refusa. Mais ensuite il se dit: ‘Même si je ne crains pas Dieu et n'ai d'égards pour personne, puisque cette veuve me fatigue, je vais lui rendre justice afin qu'elle ne vienne pas sans cesse me déranger.’» Le Seigneur ajouta: «Ecoutez ce que dit le juge injuste. Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ceux qu’il a choisis et qui crient à lui jour et nuit? Les fera-t-il attendre? Je vous le dis, il leur fera rapidement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre?» Il dit encore cette parabole, à l'intention de certaines personnes qui étaient convaincues d'être justes et qui méprisaient les autres: «Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était un pharisien, l'autre un collecteur d’impôts. Le pharisien, debout, faisait cette prière en lui-même: ‘O Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme les autres hommes, qui sont voleurs, injustes, adultères, ou même comme ce collecteur d’impôts. Je jeûne deux fois par semaine et je donne la dîme de tous mes revenus.’ Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n'osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: ‘O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.’ Je vous le dis, lorsque ce dernier descendit chez lui, il était considéré comme juste, mais pas le pharisien. En effet, toute personne qui s'élève sera abaissée, et celle qui s'abaisse sera élevée.» Des gens lui amenaient même de tout petits enfants afin qu'il les touche, mais les disciples, en voyant cela, leur firent des reproches. Jésus appela les enfants et dit: «Laissez les petits enfants venir à moi et ne les en empêchez pas, car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera pas.» Un chef interrogea Jésus et dit: «Bon maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle?» Jésus lui répondit: «Pourquoi m'appelles-tu bon? Personne n'est bon, si ce n'est Dieu seul. Tu connais les commandements: Tu ne commettras pas d'adultère; tu ne commettras pas de meurtre; tu ne commettras pas de vol; tu ne porteras pas de faux témoignage; honore ton père et ta mère.» «J'ai respecté tous ces commandements dès ma jeunesse», dit-il. Après avoir entendu [cela], Jésus lui dit: «Il te manque encore une chose: vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi.» Lorsqu'il entendit ces paroles, l’homme devint tout triste, car il était très riche. Voyant qu'il était devenu tout triste, Jésus dit: «Qu'il est difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu! En effet, il est plus facile à un chameau de passer par un trou d'aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.» Ceux qui l'écoutaient dirent: «Qui donc peut être sauvé?» Jésus répondit: «Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu.» Pierre dit alors: «Voici, nous avons tout quitté et nous t'avons suivi.» Jésus leur dit: «Je vous le dis en vérité, personne n'aura quitté à cause du royaume de Dieu sa maison ou sa femme, ses frères, ses parents ou ses enfants sans recevoir beaucoup plus dans le temps présent et, dans le monde à venir, la vie éternelle.» Jésus prit les douze avec lui et leur dit: «Nous montons à Jérusalem et tout ce qui a été écrit par les prophètes au sujet du Fils de l'homme va s'accomplir. En effet, il sera livré aux non-Juifs, on se moquera de lui, on l'insultera, on crachera sur lui et, après l'avoir fouetté, on le fera mourir; le troisième jour il ressuscitera.» Mais les disciples ne comprirent rien à cela: c'était pour eux un langage obscur, des paroles dont ils ne saisissaient pas le sens. Comme Jésus était près de Jéricho, un aveugle était assis au bord du chemin et mendiait. Il entendit la foule passer et demanda ce qui se passait. On lui dit: «C'est Jésus de Nazareth qui passe.» Alors il cria: «Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!» Ceux qui marchaient devant le reprenaient pour le faire taire, mais il criait beaucoup plus fort: «Fils de David, aie pitié de moi!» Jésus s'arrêta et ordonna qu'on le lui amène; quand il fut près de lui, il lui demanda: «Que veux-tu que je fasse pour toi?» Il répondit: «Seigneur, que je retrouve la vue.» Jésus lui dit: «Retrouve la vue, ta foi t'a sauvé.» Il retrouva immédiatement la vue et suivit Jésus en célébrant la gloire de Dieu. Voyant cela, tout le peuple se mit à adresser des louanges à Dieu.

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Luc 18:1-43 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Jésus leur adressa une parabole, pour montrer qu’il faut toujours prier, et ne point se relâcher. Il dit: Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait point Dieu et qui n’avait d’égard pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait lui dire: Fais-moi justice de ma partie adverse. Pendant longtemps il refusa. Mais ensuite il dit en lui-même: Quoique je ne craigne point Dieu et que je n’aie d’égard pour personne, néanmoins, parce que cette veuve m’importune, je lui ferai justice, afin qu’elle ne vienne pas sans cesse me rompre la tête. Le Seigneur ajouta: Entendez ce que dit le juge inique. Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre? Il dit encore cette parabole, en vue de certaines personnes se persuadant qu’elles étaient justes, et ne faisant aucun cas des autres: Deux hommes montèrent au temple pour prier; l’un était pharisien, et l’autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre. Car quiconque s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé. On lui amena aussi les petits enfants, afin qu’il les touchât. Mais les disciples, voyant cela, reprenaient ceux qui les amenaient. Et Jésus les appela, et dit: Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n’y entrera point. Un chef interrogea Jésus, et dit: Bon maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle? Jésus lui répondit: Pourquoi m’appelles-tu bon? Il n’y a de bon que Dieu seul. Tu connais les commandements: Tu ne commettras point d’adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; honore ton père et ta mère. J’ai, dit-il, observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, ayant entendu cela, lui dit: Il te manque encore une chose: vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux. Puis, viens, et suis-moi. Lorsqu’il entendit ces paroles, il devint tout triste; car il était très riche. Jésus, voyant qu’il était devenu tout triste, dit: Qu’il est difficile à ceux qui ont des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu! Car il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. Ceux qui l’écoutaient dirent: Et qui peut être sauvé? Jésus répondit: Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. Pierre dit alors: Voici, nous avons tout quitté, et nous t’avons suivi. Et Jésus leur dit: Je vous le dis en vérité, il n’est personne qui, ayant quitté, à cause du royaume de Dieu, sa maison, ou sa femme, ou ses frères, ou ses parents, ou ses enfants, ne reçoive beaucoup plus dans ce siècle-ci, et, dans le siècle à venir, la vie éternelle. Jésus prit les douze auprès de lui, et leur dit: Voici, nous montons à Jérusalem, et tout ce qui a été écrit par les prophètes au sujet du Fils de l’homme s’accomplira. Car il sera livré aux païens; on se moquera de lui, on l’outragera, on crachera sur lui, et, après l’avoir battu de verges, on le fera mourir; et le troisième jour il ressuscitera. Mais ils ne comprirent rien à cela; c’était pour eux un langage caché, des paroles dont ils ne saisissaient pas le sens. Comme Jésus approchait de Jéricho, un aveugle était assis au bord du chemin, et mendiait. Entendant la foule passer, il demanda ce que c’était. On lui dit: C’est Jésus de Nazareth qui passe. Et il cria: Jésus, Fils de David, aie pitié de moi! Ceux qui marchaient devant le reprenaient, pour le faire taire; mais il criait beaucoup plus fort: Fils de David, aie pitié de moi! Jésus, s’étant arrêté, ordonna qu’on le lui amène; et, quand il se fut approché, il lui demanda: Que veux-tu que je te fasse? Il répondit: Seigneur, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit: Recouvre la vue; ta foi t’a sauvé. A l’instant il recouvra la vue, et suivit Jésus, en glorifiant Dieu. Tout le peuple, voyant cela, loua Dieu.

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Luc 18:1-43 Bible en français courant (BFC)

Jésus leur dit ensuite cette parabole pour leur montrer qu'ils devaient toujours prier, sans jamais se décourager: «Il y avait dans une ville un juge qui ne se souciait pas de Dieu et n'avait d'égards pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une veuve qui venait fréquemment le trouver pour obtenir justice: “Rends-moi justice contre mon adversaire”, disait-elle. Pendant longtemps, le juge refusa, puis il se dit: “Bien sûr, je ne me soucie pas de Dieu et je n'ai d'égards pour personne; mais comme cette veuve me fatigue, je vais faire reconnaître ses droits, sinon, à force de venir, elle finira par m'exaspérer.” » Puis le Seigneur ajouta: «Écoutez ce que dit ce juge indigne! Et Dieu, lui, ne ferait-il pas justice aux siens quand ils crient à lui jour et nuit? Tardera-t-il à les aider? Je vous le déclare: il leur fera justice rapidement. Mais quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre?» Jésus dit la parabole suivante à l'intention de ceux qui se croyaient justes aux yeux de Dieu et méprisaient les autres: «Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était Pharisien, l'autre collecteur d'impôts. Le Pharisien, debout, priait ainsi en lui-même: “O Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont voleurs, mauvais et adultères; je te remercie de ce que je ne suis pas comme ce collecteur d'impôts. Je jeûne deux jours par semaine et je te donne le dixième de tous mes revenus.” Le collecteur d'impôts, lui, se tenait à distance et n'osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: “O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.” Je vous le dis, ajouta Jésus, cet homme était en règle avec Dieu quand il retourna chez lui, mais pas le Pharisien. En effet, quiconque s'élève sera abaissé, mais celui qui s'abaisse sera élevé.» Des gens amenèrent à Jésus même des bébés pour qu'il pose les mains sur eux. En voyant cela, les disciples leur firent des reproches. Mais Jésus fit approcher les enfants et dit: «Laissez les enfants venir à moi! Ne les en empêchez pas, car le Royaume de Dieu appartient à ceux qui sont comme eux. Je vous le déclare, c'est la vérité: celui qui ne reçoit pas le Royaume de Dieu comme un enfant ne pourra jamais y entrer.» Un chef juif demanda à Jésus: «Bon maître, que dois-je faire pour obtenir la vie éternelle?» Jésus lui dit: «Pourquoi m'appelles-tu bon? Personne n'est bon si ce n'est Dieu seul. Tu connais les commandements: “Ne commets pas d'adultère; ne commets pas de meurtre; ne vole pas; ne prononce pas de faux témoignage contre quelqu'un; respecte ton père et ta mère.” » L'homme répondit: «J'ai obéi à tous ces commandements depuis ma jeunesse.» Après avoir entendu cela, Jésus lui dit: «Il te manque encore une chose: vends tout ce que tu as et distribue l'argent aux pauvres, alors tu auras des richesses dans les cieux; puis viens et suis-moi.» Mais quand l'homme entendit ces mots, il devint tout triste, car il était très riche. Jésus vit qu'il était triste et dit: «Qu'il est difficile aux riches d'entrer dans le Royaume de Dieu! Il est difficile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille, mais il est encore plus difficile à un riche d'entrer dans le Royaume de Dieu.» Ceux qui l'écoutaient dirent: «Mais qui donc peut être sauvé?» Jésus répondit: «Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu.» Pierre dit alors: «Écoute, nous avons quitté ce que nous avions pour te suivre.» Jésus leur dit: «Je vous le déclare, c'est la vérité: si quelqu'un quitte, pour le Royaume de Dieu, sa maison, ou sa femme, ses frères, ses parents, ses enfants, il recevra beaucoup plus dans le temps présent et dans le monde futur il recevra la vie éternelle.» Jésus prit les douze disciples avec lui et leur dit: «Écoutez, nous allons à Jérusalem où se réalisera tout ce que les prophètes ont écrit au sujet du Fils de l'homme. On le livrera aux païens, qui se moqueront de lui, l'insulteront et cracheront sur lui. Ils le frapperont à coups de fouet et le mettront à mort. Et le troisième jour il se relèvera de la mort.» Mais les disciples ne comprirent rien à cela; le sens de ces paroles leur était caché et ils ne savaient pas de quoi Jésus parlait. Jésus approchait de Jéricho. Or, un aveugle était assis au bord du chemin et mendiait. Il entendit la foule qui avançait et demanda ce que c'était. On lui apprit que Jésus de Nazareth passait par là. Alors il s'écria: «Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!» Ceux qui marchaient en avant lui faisaient des reproches pour qu'il se taise, mais il criait encore plus fort: «Fils de David, aie pitié de moi!» Jésus s'arrêta et ordonna qu'on le lui amène. Quand l'aveugle se fut approché, Jésus lui demanda: «Que veux-tu que je fasse pour toi?» Il répondit: «Maître, fais que je voie de nouveau.» Et Jésus lui dit: «Eh bien, ta foi t'a guéri.» Aussitôt, il put voir, et il suivait Jésus en louant Dieu. Toute la foule vit cela et se mit aussi à louer Dieu.

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Luc 18:1-43

Luc 18:1-43 PDV2017