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Luc 17:1-10

Luc 17:1-10 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Jésus dit à ses disciples : « Il y aura toujours des occasions de tomber dans le péché. Mais quel malheur pour celui qui fait tomber les autres dans le péché ! Supposons ceci : on lui attache une grosse pierre au cou et on le jette dans la mer. Eh bien, cela vaut mieux pour lui que de pousser un seul de ces petits à faire le mal. Faites attention ! « Si ton frère fait le mal, fais-lui des reproches. Et s’il le regrette, pardonne-lui. S’il te fait du mal sept fois par jour et si sept fois par jour, il revient te dire : “Je regrette”, tu lui pardonneras. » Les apôtres disent au Seigneur : « Donne-nous une foi plus grande ! » Le Seigneur répond : « Si votre foi est aussi petite qu’une graine, vous pouvez dire à cet arbre : “Arrache tes racines d’ici et va te planter dans la mer !”, il vous obéira. » « Supposons ceci : l’un de vous a un serviteur. Il laboure les champs ou il garde les troupeaux. Quand le serviteur revient des champs, vous ne lui dites pas : “Va vite manger !” Au contraire, vous lui dites : “Prépare mon repas. Ensuite, change de vêtement, viens me servir pendant que je mange et que je bois. Après, tu mangeras et tu boiras à ton tour.” Vous ne remerciez pas votre serviteur parce qu’il a fait ce que vous avez commandé. « C’est la même chose pour vous maintenant. Quand vous faites tout ce que Dieu vous commande, dites : “Nous sommes des serviteurs ordinaires, nous avons fait seulement ce que nous devions faire.” »

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Luc 17:1-10 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Jésus dit à ses disciples : Il est inévitable qu’il y ait pour les hommes des occasions de chute, mais malheur à celui qui crée de telles occasions. Mieux vaudrait pour lui être précipité dans le lac avec une pierre de meule attachée au cou que de provoquer la chute de l’un de ces petits. Prenez donc bien garde à vous-mêmes ! Si ton frère s’est rendu coupable d’une faute, reprends-le et, s’il change d’attitude, pardonne-lui. Et même s’il se rend coupable à ton égard sept fois au cours de la même journée, et que sept fois il vienne te trouver en disant qu’il change d’attitude, pardonne-lui. Les apôtres dirent au Seigneur : Augmente notre foi. – Si vous aviez la foi, leur répondit le Seigneur, même aussi petite qu’une graine de moutarde, vous pourriez commander à ce mûrier-là : « Arrache tes racines du sol et va te planter dans la mer » et il vous obéirait. Supposons que l’un de vous ait un serviteur occupé à labourer ou à garder le troupeau. En le voyant rentrer des champs, lui direz-vous : « Viens vite, assieds-toi à table » ? Ne lui direz-vous pas plutôt : « Prépare-moi mon dîner, mets-toi en tenue pour me servir jusqu’à ce que j’aie fini de manger et de boire ; ensuite tu mangeras et tu boiras à ton tour » ? Le maître doit-il une reconnaissance particulière à cet esclave parce qu’il a fait ce qui lui était commandé ? Bien sûr que non ! Il en est de même pour vous. Quand vous aurez fait tout ce qui vous est commandé, dites : « Nous ne sommes que des serviteurs sans mérite particulier ; nous n’avons fait que notre devoir. »

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Luc 17:1-10 Bible en français courant (BFC)

Jésus dit à ses disciples: «Il est inévitable qu'il y ait des faits qui entraînent les hommes à pécher. Mais malheur à celui qui en est la cause! Il vaudrait mieux pour lui qu'on lui attache au cou une grosse pierre et qu'on le jette dans la mer, plutôt que de faire tomber dans le péché un seul de ces petits. Prenez bien garde! «Si ton frère se rend coupable, parle-lui sérieusement. Et s'il regrette son acte, pardonne-lui. S'il se rend coupable à ton égard sept fois en un jour et que chaque fois il revienne te dire: “Je le regrette”, tu lui pardonneras.» Les apôtres dirent au Seigneur: «Augmente notre foi.» Le Seigneur répondit: «Si vous aviez de la foi gros comme une graine de moutarde, vous pourriez dire à cet arbre, ce mûrier: “Déracine-toi et va te planter dans la mer”, et il vous obéirait.» «Supposons ceci: l'un d'entre vous a un serviteur qui laboure ou qui garde les troupeaux. Lorsqu'il le voit revenir des champs, va-t-il lui dire: “Viens vite te mettre à table”? Non, il lui dira plutôt: “Prépare mon repas, puis change de vêtements pour me servir pendant que je mange et bois; après quoi, tu pourras manger et boire à ton tour.” Il n'a pas à remercier son serviteur d'avoir fait ce qui lui était ordonné, n'est-ce pas? Il en va de même pour vous: quand vous aurez fait tout ce qui vous est ordonné, dites: “Nous sommes de simples serviteurs; nous n'avons fait que notre devoir.” »

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