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Luc 14:25-35

Luc 14:25-35 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Plus tard, Jésus est en route, et des foules nombreuses l’accompagnent. Il se tourne vers elles et il dit : « Celui qui vient à moi doit m’aimer plus que son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs et même plus que sa vie. Sinon, cette personne ne peut pas être mon disciple. Celui qui ne porte pas sa croix et qui ne me suit pas, celui-là ne peut pas être mon disciple. « En effet, quand l’un de vous veut construire une grande maison, il commence par s’asseoir et il calcule : “Combien est-ce que cela va coûter ? Est-ce que j’ai assez d’argent pour aller jusqu’au bout ?” Mais s’il pose les fondations sans pouvoir finir la maison, tous ceux qui verront cela se mettront à se moquer de lui. Ils diront : “Cet homme a commencé à construire, mais il n’a pas pu finir !” Et quand un roi part en guerre contre un autre roi, il commence par s’asseoir et il se demande : “J’ai 10 000 soldats. Est-ce que je peux aller combattre mon ennemi qui vient m’attaquer avec 20 000 soldats ?” S’il ne peut pas, il envoie des messagers à l’autre roi, pendant qu’il est encore loin, et il demande à faire la paix. » Jésus ajoute : « Ainsi, parmi vous, si quelqu’un ne laisse pas tout ce qu’il possède, cette personne ne peut pas être mon disciple. « Oui, le sel est une bonne chose, mais quand le sel perd son goût, comment le lui rendre ? On ne peut plus l’utiliser pour la terre ni pour l’engrais. On le jette dehors. Celui qui a des oreilles pour écouter, qu’il écoute ! »

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Luc 14:25-35 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Comme de grandes foules accompagnaient Jésus, il se retourna vers ceux qui le suivaient et leur dit : Si quelqu’un vient à moi et n’est pas prêt à renoncer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. Celui qui ne porte pas sa croix, et qui ne me suit pas, ne peut être mon disciple. En effet, si l’un de vous veut bâtir une tour, est-ce qu’il ne prend pas d’abord le temps de s’asseoir pour calculer ce qu’elle lui coûtera et de vérifier s’il a les moyens de mener son entreprise à bonne fin ? Sans quoi, s’il n’arrive pas à terminer sa construction après avoir posé les fondations, il risque d’être la risée de tous les témoins de son échec. « Regardez, diront-ils, en voilà un qui a commencé à construire et qui n’a pas pu terminer ! » Ou bien, supposez qu’un roi soit sur le point de partir en guerre contre un autre. Ne prendra-t-il pas le temps de s’asseoir pour examiner s’il peut, avec dix mille hommes, affronter celui qui est sur le point de marcher contre lui avec vingt mille ? S’il se rend compte qu’il en est incapable, il lui enverra une délégation, pendant que l’ennemi est encore loin, pour négocier la paix avec lui. Il en est de même pour vous ; celui qui n’est pas prêt à abandonner tout ce qu’il possède, ne peut pas être mon disciple. Le sel est une bonne chose, mais s’il devient insipide, comment lui rendra-t-on sa saveur ? On ne peut plus l’utiliser, ni pour la terre, ni pour le fumier. Il n’y a plus qu’à le jeter. Celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !

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