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Jean 10:1-39

Jean 10:1-39 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand. Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors. Lorsqu’il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles; et les brebis le suivent, parce qu’elles connaissent sa voix. Elles ne suivront point un étranger; mais elles fuiront loin de lui, parce qu’elles ne connaissent pas la voix des étrangers. Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait. Jésus leur dit encore: En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance. Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Mais le mercenaire, qui n’est pas le berger, et à qui n’appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse. Le mercenaire s’enfuit, parce qu’il est mercenaire, et qu’il ne se met point en peine des brebis. Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre: tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. Il y eut de nouveau, à cause de ces paroles, division parmi les Juifs. Plusieurs d’entre eux disaient: Il a un démon, il est fou; pourquoi l’écoutez-vous? D’autres disaient: Ce ne sont pas les paroles d’un démoniaque; un démon peut-il ouvrir les yeux des aveugles? On célébrait à Jérusalem la fête de la Dédicace. C’était l’hiver. Et Jésus se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l’entourèrent, et lui dirent: Jusques à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Christ, dis-le nous franchement. Jésus leur répondit: Je vous l’ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père rendent témoignage de moi. Mais vous ne croyez pas, parce que vous n’êtes pas de mes brebis. Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. Moi et le Père nous sommes un. Alors les Juifs prirent de nouveau des pierres pour le lapider. Jésus leur dit: Je vous ai fait voir plusieurs bonnes œuvres venant de mon Père: pour laquelle me lapidez-vous? Les Juifs lui répondirent: Ce n’est point pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu. Jésus leur répondit: N’est-il pas écrit dans votre loi: J’ai dit: Vous êtes des dieux? Si elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, et si l’Écriture ne peut être anéantie, celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, vous lui dites: Tu blasphèmes! Et cela parce que j’ai dit: Je suis le Fils de Dieu. Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas. Mais si je les fais, quand même vous ne me croyez point, croyez à ces œuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi et que je suis dans le Père. Là-dessus, ils cherchèrent encore à le saisir, mais il s’échappa de leurs mains.

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Jean 10:1-39 Bible J.N. Darby (JND)

En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie des brebis, mais qui y monte par ailleurs, celui-là est un voleur et un larron. Mais celui qui entre par la porte, est le berger des brebis. À celui-ci le portier ouvre ; et les brebis écoutent sa voix ; et il appelle ses propres brebis par leur nom, et les mène dehors. Et quand il a mis dehors toutes ses propres [brebis], il va devant elles ; et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix ; mais elles ne suivront point un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, parce qu’elles ne connaissent pas la voix des étrangers. Jésus leur dit cette similitude ; mais ils ne comprirent pas ce que c’était qu’il leur disait. Jésus donc leur dit encore : En vérité, en vérité, je vous dis que moi je suis la porte des brebis. Tous, autant qu’il en est venu avant moi, sont des voleurs et des larrons ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; et il entrera et il sortira, et il trouvera de la pâture. Le voleur ne vient que pour voler, et tuer, et détruire : moi, je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance. Moi, je suis le bon berger : le bon berger met sa vie pour les brebis ; mais l’homme qui reçoit des gages, et qui n’est pas le berger, à qui les brebis n’appartiennent pas en propre, voit venir le loup, et laisse les brebis, et s’enfuit ; et le loup les ravit, et il disperse les brebis. Or l’homme à gages s’enfuit, parce qu’il est un homme à gages et qu’il ne se met pas en souci des brebis. Moi, je suis le bon berger, et je connais les miens et je suis connu des miens, comme le Père me connaît et moi je connais le Père ; et je mets ma vie pour les brebis. Et j’ai d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut que je les amène, elles aussi ; et elles écouteront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. À cause de ceci le Père m’aime, c’est que moi je laisse ma vie, afin que je la reprenne. Personne ne me l’ôte, mais moi, je la laisse de moi-même ; j’ai le pouvoir de la laisser, et j’ai le pouvoir de la reprendre : j’ai reçu ce commandement de mon Père. Il y eut encore de la division parmi les Juifs à cause de ces paroles ; et plusieurs d’entre eux disaient : Il a un démon, et il est fou ; pourquoi l’écoutez-vous ? D’autres disaient : Ces paroles ne sont pas d’un démoniaque ; un démon peut-il ouvrir les yeux des aveugles ? Or la fête de la Dédicace se célébrait à Jérusalem, et c’était en hiver. Et Jésus se promenait dans le temple, au portique de Salomon. Les Juifs donc l’environnèrent et lui dirent : Jusques à quand tiens-tu notre âme en suspens ? Si toi, tu es le Christ, dis-le-nous franchement. Jésus leur répondit : Je vous l’ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que moi je fais au nom de mon Père, celles-ci rendent témoignage de moi ; mais vous, vous ne croyez pas, car vous n’êtes pas de mes brebis, comme je vous l’ai dit. Mes brebis écoutent ma voix, et moi je les connais, et elles me suivent, et moi, je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais ; et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous, et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. Moi et le Père, nous sommes un. Les Juifs donc levèrent encore des pierres pour le lapider. Jésus leur répondit : Je vous ai fait voir plusieurs bonnes œuvres de la part de mon Père : pour laquelle de ces œuvres me lapidez-vous ? Les Juifs lui répondirent : Nous ne te lapidons pas pour une bonne œuvre, mais pour blasphème ; et parce que toi, étant homme, tu te fais DIEU. Jésus leur répondit : N’est-il pas écrit dans votre loi : « Moi j’ai dit : Vous êtes des dieux »  ? S’il appelle dieux ceux à qui la parole de DIEU est venue (et l’écriture ne peut être anéantie), dites-vous à celui que le Père a sanctifié, et qu’il a envoyé dans le monde : Tu blasphèmes, parce que j’ai dit : Je suis le Fils de DIEU  ? Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas ; mais si je les fais, alors même que vous ne me croiriez pas, croyez les œuvres, afin que vous connaissiez et que vous croyiez que le Père est en moi, et moi en lui. Ils cherchaient donc encore à le prendre ; mais il échappa de leur main

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Jean 10:1-39 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

« Oui, je vous le dis, c’est la vérité : si quelqu’un n’entre pas par la porte dans l’enclos des moutons, mais s’il passe par-dessus le mur à un autre endroit, c’est un voleur et un bandit. Mais celui qui entre par la porte, c’est le berger des moutons. Le gardien lui ouvre la porte, et les moutons écoutent la voix du berger. Il appelle ses moutons chacun par son nom et il les conduit dehors. Quand il les a tous fait sortir, il marche devant eux. Et ses moutons le suivent, parce qu’ils connaissent sa voix. Ils ne suivront jamais quelqu’un d’autre. Au contraire, ils fuiront loin de lui, parce qu’ils ne connaissent pas la voix des autres personnes. » Jésus utilise cette comparaison, mais les gens ne comprennent pas ce qu’il veut dire. Alors Jésus ajoute : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : la porte pour les moutons, c’est moi. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits. Mais les moutons ne les ont pas écoutés. La porte, c’est moi. Celui qui entre en passant par moi sera sauvé. Il pourra entrer et sortir et il trouvera de la nourriture. Le voleur vient seulement pour voler, tuer et détruire. Moi, je suis venu pour que les gens aient la vie, et pour que cette vie soit abondante. « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses moutons. Celui qui n’est pas le berger travaille seulement pour de l’argent, les moutons ne lui appartiennent pas. Alors quand il voit le loup arriver, il abandonne les moutons et il part en courant. Le loup emporte des moutons et il fait partir le troupeau de tous les côtés. En effet, l’homme qui travaille seulement pour de l’argent ne s’occupe pas bien des moutons. Le bon berger, c’est moi. Le Père me connaît, et je connais le Père. De la même façon, je connais mes moutons, et mes moutons me connaissent. Je donne ma vie pour eux. J’ai encore d’autres moutons qui ne sont pas dans cet enclos. Eux aussi, je dois les conduire. Ils écouteront ma voix, alors il y aura un seul troupeau et un seul berger. « Le Père m’aime parce que je donne ma vie, et je la recevrai à nouveau. Personne ne prend ma vie, mais je la donne moi-même. J’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la recevoir à nouveau. C’est l’ordre que mon Père m’a donné. » Encore une fois, les Juifs ne sont pas d’accord entre eux, à cause des paroles de Jésus. Parmi eux, beaucoup disent : « Il a un esprit mauvais en lui ! Il est fou ! Pourquoi est-ce que vous l’écoutez ? » Mais d’autres disent : « Un homme qui a un esprit mauvais ne parle pas de cette façon. Et un esprit mauvais ne peut pas ouvrir les yeux des aveugles. » C’est la saison froide. À Jérusalem, c’est la fête de la Dédicace du temple . Jésus va et vient dans le temple, le long des Colonnes de Salomon. Des Juifs se rassemblent autour de Jésus et ils lui disent : « Tu nous fais attendre ! Jusqu’à quand ? Si tu es le Messie, dis-le-nous clairement. » Jésus leur répond : « Je vous l’ai déjà dit, mais vous ne croyez pas. Les actions que je fais de la part de mon Père me rendent témoignage. Mais vous ne croyez pas, parce que vous ne faites pas partie de mes moutons. Mes moutons écoutent ma voix. Moi, je les connais et ils me suivent. Je leur donne la vie avec Dieu pour toujours. Ils ne mourront jamais, et personne ne pourra les arracher de ma main. Mon Père me les a donnés, et mon Père est plus puissant que tout. Personne ne peut rien arracher de la main du Père. Mon Père et moi, nous sommes un. » De nouveau, des Juifs ramassent des pierres, pour les jeter sur Jésus. Alors il leur dit : « Devant vous, j’ai fait beaucoup de bonnes actions de la part du Père. Pour laquelle de ces actions voulez-vous me tuer à coups de pierres ? » Ils lui répondent : « Ce n’est pas pour une bonne action que nous voulons te tuer à coups de pierres, mais parce que tu insultes Dieu. En effet, tu es seulement un homme et tu veux te faire Dieu ! » Jésus leur dit : « Dans votre loi, on lit cette parole de Dieu : “Vous êtes des dieux.” Dans cette parole des Livres Saints, Dieu parle aux êtres humains et il les appelle des dieux ! Or personne ne peut supprimer ce qu’il y a dans les Livres Saints. Moi, le Père m’a choisi et il m’a envoyé dans le monde, et je dis : “Je suis Fils de Dieu.” Mais vous, vous dites que j’insulte Dieu. Pourquoi donc ? Si je ne fais pas les actions de mon Père, ne me croyez pas ! Mais si je les fais, croyez-moi, ou croyez au moins à mes actions. De cette façon, vous saurez de mieux en mieux que le Père est en moi, et que je suis dans le Père. » Alors, de nouveau, ils cherchent à arrêter Jésus, mais il leur échappe.

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Jean 10:1-39 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand. Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors. Lorsqu'il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Elles ne suivront point un étranger; mais elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers. Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait. Jésus leur dit encore: En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages. Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance. Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse. Le mercenaire [s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il] ne se met point en peine des brebis. Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis. J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre: tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. Il y eut de nouveau, à cause de ces paroles, division parmi les Juifs. Plusieurs d'entre eux disaient: Il a un démon, il est fou; pourquoi l'écoutez-vous? D'autres disaient: Ce ne sont pas les paroles d'un démoniaque; un démon peut-il ouvrir les yeux des aveugles? On célébrait à Jérusalem la fête de la Dédicace. C'était l'hiver. Et Jésus se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l'entourèrent, et lui dirent: Jusqu'à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Christ, dis-le-nous franchement. Jésus leur répondit: Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père rendent témoignage de moi. Mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis. Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. Moi et le Père nous sommes un. Alors les Juifs prirent de nouveau des pierres pour le lapider. Jésus leur dit: Je vous ai fait voir plusieurs bonnes œuvres venant de mon Père: pour laquelle me lapidez-vous? Les Juifs lui répondirent: Ce n'est point pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu. Jésus leur répondit: N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes des dieux? Si elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, et si l'Ecriture ne peut être anéantie, celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, vous lui dites: Tu blasphèmes! Et cela parce que j'ai dit: Je suis le Fils de Dieu. Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas. Mais si je les fais, même si vous ne me croyez point, croyez à ces œuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi et que je suis dans le Père. Là-dessus, ils cherchèrent encore à le saisir, mais il s'échappa de leurs mains.

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Jean 10:1-39 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Vraiment, je vous l’assure : si quelqu’un n’entre pas par la porte dans l’enclos où l’on parque les brebis, mais qu’il escalade le mur à un autre endroit, c’est un voleur et un brigand. Celui qui entre par la porte est, lui, le berger des brebis. Le gardien de l’enclos lui ouvre, les brebis écoutent sa voix. Il appelle par leur nom celles qui lui appartiennent, et il les fait sortir de l’enclos. Quand il a conduit au dehors toutes celles qui sont à lui, il marche à leur tête et les brebis le suivent, parce que sa voix leur est familière. Jamais, elles ne suivront un étranger ; au contraire, elles fuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. Jésus leur raconta cette parabole, mais ils ne comprirent pas ce qu’il voulait leur dire. Alors il reprit : Vraiment, je vous l’assure : Moi, je suis la porte par où passent les brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi étaient des voleurs et des brigands. Mais les brebis ne les ont pas écoutés. C’est moi qui suis la porte. Celui qui entre par moi sera sauvé  : il pourra aller et venir librement, il trouvera de quoi se nourrir. Le voleur vient seulement pour voler, pour tuer et pour détruire. Moi, je suis venu afin que les hommes aient la vie, une vie abondante. Moi, je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Celui qui n’est pas le berger, qui n’est pas le propriétaire des brebis, mais que l’on paye pour les garder, se sauve, lui, dès qu’il voit venir le loup, et il abandonne les brebis ; alors le loup se précipite sur elles, il s’empare de quelques-unes et disperse le troupeau. Cet homme agit ainsi parce qu’il est payé pour faire ce travail et qu’il n’a aucun souci des brebis. Moi, je suis le bon berger ; je connais mes brebis et mes brebis me connaissent, tout comme le Père me connaît et que je connais le Père. Je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de cet enclos. Celles-là aussi, il faut que je les amène ; elles écouteront ma voix, ainsi il n’y aura plus qu’un seul troupeau avec un seul berger. Si le Père m’aime, c’est parce que je donne ma vie ; mais ensuite, je la reprendrai. En effet, personne ne peut m’ôter la vie : je la donne de mon propre gré. J’ai le pouvoir de la donner et de la reprendre. Tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. Il y eut à nouveau division parmi le peuple à cause de ses paroles. Beaucoup disaient : Il a un démon en lui, c’est un fou. Pourquoi l’écoutez-vous ? D’autres répliquaient : Un démoniaque ne parlerait pas ainsi. Et puis : est-ce qu’un démon peut rendre la vue à des aveugles ? Le moment vint où l’on célébrait à Jérusalem la fête de la Consécration. C’était l’hiver. Jésus allait et venait dans la cour du Temple, dans la galerie de Salomon. Alors on fit cercle autour de lui et on l’interpella : Combien de temps nous tiendras-tu encore en haleine ? Si tu es le Messie, dis-le-nous clairement. – Je vous l’ai déjà dit, leur répondit Jésus, mais vous ne croyez pas. Pourtant, vous avez vu les actes que j’accomplis au nom de mon Père : ce sont eux qui témoignent en ma faveur. Mais vous ne croyez pas. Pourquoi ? Parce que vous ne faites pas partie de mes brebis. Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront et personne ne pourra les arracher de ma main. Mon Père qui me les a données est plus grand que tous, et personne ne peut arracher qui que ce soit de la main de mon Père. Or, moi et le Père, nous ne sommes qu’un. Cette fois encore, ils ramassèrent des pierres pour le lapider. Alors Jésus leur dit : J’ai accompli sous vos yeux un grand nombre d’œuvres bonnes par la puissance du Père ; pour laquelle voulez-vous me lapider ? Les Juifs répliquèrent : Nous ne voulons pas te lapider pour une bonne action, mais parce que tu blasphèmes. Car, toi qui n’es qu’un homme, tu te fais passer pour Dieu. Jésus répondit : N’est-il pas écrit dans votre propre Loi  : Moi, je vous avais dit : Vous êtes des dieux ? Or, on ne saurait contester le témoignage de l’Ecriture. Si donc votre Loi appelle « dieux » ceux auxquels s’adresse la Parole de Dieu, comment pouvez-vous m’accuser de blasphème parce que j’ai dit : « Je suis le Fils de Dieu », quand c’est le Père qui m’a consacré et envoyé dans le monde ? Si je n’accomplis pas les œuvres de mon Père, vous n’avez pas besoin de croire en moi. Mais si, au contraire, je les accomplis, même si vous ne voulez pas me croire, laissez-vous au moins convaincre par mes œuvres, pour que vous reconnaissiez et que vous compreniez que le Père est en moi et que je suis dans le Père. Là-dessus, ils tentèrent à nouveau de se saisir de lui, mais il leur échappa.

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Jean 10:1-39 Bible Segond 21 (S21)

»En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas dans l'enclos des brebis par la porte mais s'y introduit par un autre endroit est un voleur et un brigand. Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. Le gardien lui ouvre et les brebis écoutent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent et il les conduit dehors. Lorsqu'il les a [toutes] fait sortir, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Elles ne suivront pas un étranger, mais elles fuiront au contraire loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers.» Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait. Jésus leur dit encore: «En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands, mais les brebis ne les ont pas écoutés. C’est moi qui suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et sortira, et il trouvera de quoi se nourrir. Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie et qu'elles l'aient en abondance. »Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Le simple salarié, quant à lui, n'est pas le berger et les brebis ne lui appartiennent pas. Lorsqu'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et prend la fuite; alors le loup s'en empare et les disperse. [Le simple salarié s'enfuit] car il travaille pour de l’argent et ne se soucie pas des brebis. Moi, je suis le bon berger. Je connais mes brebis et elles me connaissent, tout comme le Père me connaît et comme je connais le Père. Je donne ma vie pour mes brebis. J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos; celles-là aussi, il faut que je les amène; elles écouteront ma voix et il y aura un seul troupeau, un seul berger. Le Père m'aime, parce que je donne ma vie pour la reprendre ensuite. Personne ne me l'enlève, mais je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner et j'ai le pouvoir de la reprendre. Tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père.» Ces paroles provoquèrent de nouveau une division parmi les Juifs. Beaucoup d'entre eux disaient: «Il a un démon, il est fou. Pourquoi l'écoutez-vous?» D'autres disaient: «Ce ne sont pas les paroles d'un démoniaque. Un démon peut-il ouvrir les yeux des aveugles?» On célébrait alors à Jérusalem la fête de la dédicace. C'était l'hiver. Jésus marchait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l'entourèrent et lui dirent: «Jusqu'à quand nous laisseras-tu dans l'incertitude? Si tu es le Messie, dis-le-nous franchement.» Jésus leur répondit: «Je vous l'ai dit et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père témoignent en ma faveur, mais vous ne croyez pas parce que vous ne faites pas partie de mes brebis, [comme je vous l'ai dit]. Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle. Elles ne périront jamais et personne ne pourra les arracher à ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous et personne ne peut les arracher à la main de mon Père. Le Père et moi, nous sommes un.» Alors les Juifs prirent de nouveau des pierres pour le lapider. Jésus leur dit: «Je vous ai fait voir beaucoup de belles œuvres qui viennent de mon Père. A cause de laquelle me lapidez-vous?» Les Juifs lui répondirent: «Ce n'est pas pour une belle œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, parce que toi, qui es un être humain, tu te fais Dieu.» Jésus leur répondit: «N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: ‘Vous êtes des dieux’ ? S’il est vrai qu’elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée et si l'Ecriture ne peut pas être annulée, comment pouvez-vous dire à celui que le Père a consacré et envoyé dans le monde: ‘Tu blasphèmes’, et cela parce que j'ai affirmé: ‘Je suis le Fils de Dieu’? Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas! Mais si je les fais, même si vous ne me croyez pas, croyez à ces œuvres afin de savoir et de reconnaître que le Père est en moi et que je suis en lui.» Voilà pourquoi ils cherchaient encore à l'arrêter, mais il leur échappa.

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Jean 10:1-39 Bible en français courant (BFC)

Jésus dit: «Oui, je vous le déclare, c'est la vérité: celui qui n'entre pas par la porte dans l'enclos des brebis, mais qui passe par-dessus le mur à un autre endroit, celui-là est un voleur, un brigand. Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. Le gardien lui ouvre la porte et les brebis écoutent sa voix. Il appelle ses brebis chacune par son nom et les mène dehors. Quand il les a toutes fait sortir, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. Mais elles ne suivront pas un inconnu; au contraire, elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas sa voix.» Jésus leur raconta cette parabole, mais ses auditeurs ne comprirent pas ce qu'il voulait dire. Jésus dit encore: «Oui, je vous le déclare, c'est la vérité: je suis la porte de l'enclos des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs, des brigands; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Je suis la porte. Celui qui entre en passant par moi sera sauvé; il pourra entrer et sortir, et il trouvera sa nourriture. Le voleur vient uniquement pour voler, tuer et détruire. Moi, je suis venu pour que les humains aient la vie et l'aient en abondance. Je suis le bon berger. Le bon berger est prêt à donner sa vie pour ses brebis. L'homme qui ne travaille que pour de l'argent n'est pas vraiment le berger; les brebis ne lui appartiennent pas. Il les abandonne et s'enfuit quand il voit venir le loup. Alors le loup se jette sur les brebis et disperse le troupeau. Voilà ce qui arrive parce que cet homme ne travaille que pour de l'argent et ne se soucie pas des brebis. Je suis le bon berger. Je connais mes brebis et elles me connaissent, de même que le Père me connaît et que je connais le Père. Et je donne ma vie pour mes brebis. J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas dans cet enclos. Je dois aussi les conduire; elles écouteront ma voix, et elles deviendront un seul troupeau avec un seul berger. Le Père m'aime parce que je donne ma vie, pour ensuite l'obtenir à nouveau. Personne ne me prend la vie, mais je la donne volontairement. J'ai le pouvoir de la donner et j'ai le pouvoir de l'obtenir à nouveau. Cela correspond à l'ordre que mon Père m'a donné.» Les Juifs furent de nouveau divisés à cause de ces paroles. Beaucoup d'entre eux disaient: «Il est possédé d'un esprit mauvais! Il est fou! Pourquoi l'écoutez-vous?» D'autres disaient: «Un possédé ne parlerait pas ainsi. Un esprit mauvais peut-il rendre la vue aux aveugles?» C'était l'hiver et l'on célébrait à Jérusalem la fête de la Dédicace. Jésus allait et venait dans la galerie à colonnes de Salomon, au temple. Les Juifs se rassemblèrent alors autour de lui et lui dirent: «Jusqu'à quand vas-tu nous maintenir dans l'incertitude? Si tu es le Messie, dis-le-nous franchement.» Jésus leur répondit: «Je vous l'ai déjà dit, mais vous ne me croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père témoignent en ma faveur. Mais vous ne croyez pas, parce que vous ne faites pas partie de mes brebis. Mes brebis écoutent ma voix; je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle, elles ne seront jamais perdues et personne ne les arrachera de ma main. Ce que mon Père m'a donné est plus grand que tout et personne ne peut rien arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes un.» Les Juifs ramassèrent de nouveau des pierres pour les jeter contre lui. Jésus leur dit alors: «Je vous ai fait voir beaucoup d'œuvres bonnes de la part du Père. Pour laquelle de ces œuvres voulez-vous me tuer à coups de pierres?» Les Juifs lui répondirent: «Nous ne voulons pas te tuer à coups de pierres pour une œuvre bonne, mais parce que tu fais insulte à Dieu: tu n'es qu'un homme et tu veux te faire Dieu!» Jésus répondit: «Il est écrit dans votre loi que Dieu a dit: “Vous êtes des dieux.” Nous savons qu'on ne peut pas supprimer ce qu'affirme l'Écriture. Or, Dieu a appelé dieux ceux auxquels s'adressait sa parole. Et moi, le Père m'a choisi et envoyé dans le monde. Comment donc pouvez-vous dire que je fais insulte à Dieu parce que j'ai déclaré que je suis le Fils de Dieu? Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas. Mais si je les fais, quand même vous ne me croiriez pas, croyez au moins à ces œuvres afin que vous sachiez une fois pour toutes que le Père vit en moi et que je vis dans le Père.» Ils cherchèrent une fois de plus à l'arrêter, mais il leur échappa.

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