Jérémie 22:18
Jérémie 22:18 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
C’est pourquoi, voici ce que le SEIGNEUR dit au sujet de Yoaquim, fils de Josias et roi de Juda : « Quand il mourra, on ne chantera pas de chant de deuil. Personne ne dira : “Quel malheur, mon frère ! Quel malheur, ma sœur !” Personne ne pleurera sur lui en disant : “Quel malheur, mon Maître ! Quel malheur, notre Roi !”
Jérémie 22:18 Bible Segond 21 (S21)
»C'est pourquoi, voici ce que dit l’Eternel à l’intention de Jojakim, fils de Josias, roi de Juda: On ne le pleurera pas en disant: ‘Quel malheur, mon frère! Quel malheur, ma sœur!’ On ne le pleurera pas en disant: ‘Quel malheur, seigneur! Quel malheur, sa majesté!’
Jérémie 22:18 Bible J.N. Darby (JND)
C’est pourquoi, ainsi dit l’ÉTERNEL quant à Jehoïakim, fils de Josias, roi de Juda : On ne se lamentera pas sur lui : Hélas, mon frère ! Hélas, [ma] sœur ! On ne se lamentera pas sur lui : Hélas, Seigneur ! et : Hélas, sa gloire !
Jérémie 22:18 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
C'est pourquoi ainsi parle l'Eternel sur Jojakim, fils de Josias, roi de Juda: On ne le pleurera pas, en disant: Hélas, mon frère! hélas, ma sœur! On ne le pleurera pas, en disant: Hélas, seigneur! hélas, sa majesté!
Jérémie 22:18 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Voilà pourquoi l’Eternel déclare ceci au sujet de Yehoyaqim, fils de Josias, roi de Juda : Personne ne le pleurera ╵en disant : « Quel malheur, mon frère ! » ╵et « Quel malheur, ma sœur ! » On ne mènera pas le deuil pour lui ╵en disant : « Hélas ! mon seigneur ! ╵Hélas sa majesté ! »
Jérémie 22:18 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
C’est pourquoi ainsi parle l’Éternel sur Jojakim, fils de Josias, roi de Juda: On ne le pleurera pas, en disant: Hélas, mon frère! Hélas, ma sœur! On ne le pleurera pas, en disant: Hélas, seigneur! Hélas, sa majesté!
Jérémie 22:18 Bible en français courant (BFC)
Voici donc ce que déclare le Seigneur au sujet de Joaquim, fils de Josias et roi de Juda: «A sa mort il n'y aura pas de lamentation funèbre; personne ne dira: “Quel malheur, mon frère!” “Quel malheur, ma sœur!” On ne le pleurera pas en disant: “Quel malheur, mon Maître!” “Quel malheur, Excellence!”