Jacques 2:2-9
Jacques 2:2-9 Bible J.N. Darby (JND)
Car s’il entre dans votre synagogue un homme portant une bague d’or, en vêtements éclatants, et qu’il entre aussi un pauvre en vêtements sales, et que vous regardiez vers celui qui porte les vêtements éclatants, et que vous disiez : Toi, assieds-toi ici à ton aise ; et que vous disiez au pauvre : Toi, tiens-toi là debout ; ou : Assieds-toi ici au bas de mon marchepied ; n’avez-vous pas fait une distinction en vous-mêmes, et n’êtes-vous pas devenus des juges ayant de mauvaises pensées ? Écoutez, mes frères bien-aimés : DIEU n’a-t-il pas choisi les pauvres quant au monde, riches en foi et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ? Mais vous, vous avez méprisé le pauvre. Les riches ne vous oppriment-ils pas, et ne sont-ce pas eux qui vous tirent devant les tribunaux ? Ne sont-ce pas eux qui blasphèment le beau nom qui a été invoqué sur vous ? Si en effet vous accomplissez la loi royale, selon l’écriture : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », vous faites bien ; mais si vous faites acception de personnes, vous commettez le péché, et vous êtes convaincus par la loi comme transgresseurs.
Jacques 2:2-9 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Prenons un exemple : un homme vient là où vous êtes réunis. Il porte une bague en or et des habits très beaux. Un pauvre vient à la même réunion, il est mal habillé. Vous montrez plus de respect à l’homme qui porte les beaux habits et vous lui dites : « Vous, asseyez-vous ici, à cette bonne place ! » Au pauvre, vous dites : « Toi, reste debout ! » ou bien : « Assieds-toi là, par terre, à mes pieds ! » Quand vous agissez ainsi, est-ce que vous ne faites pas des différences entre vous ? Est-ce que vous ne jugez pas avec un cœur mauvais ? Écoutez, mes frères et mes sœurs très aimés ! Est-ce que Dieu ne choisit pas justement ceux qui sont pauvres aux yeux du monde ? Il veut les rendre riches en leur donnant la foi, il veut qu’ils reçoivent le Royaume promis à ceux qui ont de l’amour pour lui. Mais vous, vous méprisez les pauvres ! Pourtant, qui vous écrase ? Qui vous traîne devant les tribunaux ? Ce sont les riches, n’est-ce pas ? Ce sont les riches qui se moquent du beau nom que Dieu vous a donné. Les Livres Saints disent : « Aime ton prochain comme toi-même. » C’est la loi du Royaume, et si vous obéissez à cette règle, vous agissez bien. Mais si vous faites des différences entre les gens, vous péchez, et la loi de Moïse vous condamne parce que vous désobéissez.
Jacques 2:2-9 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Supposez, en effet, qu'il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d'or et un habit magnifique, et qu'il y entre aussi un pauvre misérablement vêtu; si, tournant vos regards vers celui qui porte l'habit magnifique, vous lui dites: Toi, assieds-toi ici à cette place d'honneur! et si vous dites au pauvre: Toi, tiens-toi là debout! ou bien: Assieds-toi au-dessous de mon marchepied! ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et n'êtes-vous pas des juges aux pensées mauvaises? Ecoutez, mes frères bien-aimés: Dieu n'a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu'ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment? Et vous, vous avilissez le pauvre! N'est-ce pas les riches qui vous oppriment et qui vous traînent devant les tribunaux? N'est-ce pas eux qui outragent le beau nom que vous portez? Si vous accomplissez la loi royale, selon l'Ecriture: Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si vous faites du favoritisme, vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des transgresseurs.
Jacques 2:2-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Supposez, en effet, qu’un homme vêtu d’habits somptueux, portant une bague en or entre dans votre assemblée, et qu’entre aussi un pauvre en haillons. Si, voyant l’homme somptueusement vêtu, vous vous empressez autour de lui et vous lui dites : « Veuillez vous asseoir ici, c’est une bonne place ! » tandis que vous dites au pauvre : « Tenez-vous là, debout, ou asseyez-vous par terre, à mes pieds », ne faites-vous pas des différences parmi vous, et ne portez-vous pas des jugements fondés sur de mauvaises raisons ? Ecoutez, mes chers frères et sœurs, Dieu n’a-t-il pas choisi ceux qui sont pauvres dans ce monde pour qu’ils soient riches dans la foi et qu’ils héritent du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ? Et vous, vous méprisez le pauvre ? Ce sont pourtant les riches qui vous oppriment et qui vous traînent en justice devant les tribunaux ! Ce sont encore eux qui outragent le beau nom que l’on a invoqué sur vous. Si, au contraire, vous vous conformez à la loi du royaume de Dieu, telle qu’on la trouve dans l’Ecriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même , alors vous agissez bien. Mais si vous faites preuve de favoritisme, vous commettez un péché et vous voilà condamnés par la Loi, parce que vous lui désobéissez.
Jacques 2:2-9 Bible Segond 21 (S21)
Supposez en effet qu’entre dans votre assemblée un homme portant un anneau d'or et des habits somptueux, et qu’entre aussi un pauvre aux habits crasseux. Si vous tournez les regards vers celui qui porte les habits somptueux pour lui dire: «Toi, assieds-toi ici à cette place d'honneur» et que vous disiez au pauvre: «Toi, tiens-toi là debout» ou bien: «Assieds-toi par terre, à mes pieds», ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction et ne devenez-vous pas des juges aux mauvais raisonnements? Ecoutez, mes frères et sœurs bien-aimés: Dieu n'a-t-il pas choisi ceux qui sont pauvres aux yeux du monde pour les rendre riches dans la foi et héritiers du royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment? Et vous, vous méprisez le pauvre! N'est-ce pas les riches qui vous oppriment et qui vous traînent devant les tribunaux? N'est-ce pas eux qui insultent le beau nom que vous portez? Si vous accomplissez la loi royale d’après l'Ecriture: Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si vous faites du favoritisme, vous commettez un péché; la loi vous dénonce comme étant coupables.
Jacques 2:2-9 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Supposez, en effet, qu’il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d’or et un habit magnifique, et qu’il y entre aussi un pauvre misérablement vêtu; si, tournant vos regards vers celui qui porte l’habit magnifique, vous lui dites: Toi, assieds-toi ici à cette place d’honneur! Et si vous dites au pauvre: Toi, tiens-toi là debout! Ou bien: Assieds-toi au-dessous de mon marchepied! ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et ne jugez-vous pas sous l’inspiration de pensées mauvaises? Écoutez, mes frères bien-aimés: Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu’ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment? Et vous, vous avilissez le pauvre! Ne sont-ce pas les riches qui vous oppriment, et qui vous traînent devant les tribunaux? Ne sont-ce pas eux qui outragent le beau nom que vous portez? Si vous accomplissez la loi royale, selon l’Écriture: Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. Mais si vous faites acception de personnes, vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des transgresseurs.
Jacques 2:2-9 Bible en français courant (BFC)
Supposez ceci: un homme riche portant un anneau d'or et des vêtements magnifiques entre dans votre assemblée; un homme pauvre, aux vêtements usés, y entre aussi. Vous manifestez alors un respect particulier pour l'homme magnifiquement vêtu et vous lui dites: «Veuillez vous asseoir ici, à cette place d'honneur»; mais vous dites au pauvre: «Toi, reste debout, ou assieds-toi là, par terre, à mes pieds.» Si tel est le cas, vous faites des distinctions entre vous et vous portez des jugements fondés sur de mauvaises raisons. Écoutez, mes chers frères: Dieu a choisi ceux qui sont pauvres aux yeux du monde pour qu'ils deviennent riches dans la foi et reçoivent le Royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment. Mais vous, vous méprisez le pauvre! Ceux qui vous oppriment et vous traînent devant les tribunaux, ce sont les riches, n'est-ce pas? Ce sont eux qui font insulte au beau nom qui vous a été donné. Certes, vous faites bien si vous accomplissez la loi du Royaume, telle que l'Écriture la présente: «Tu dois aimer ton prochain comme toi-même.» Mais si vous agissez avec partialité, vous commettez un péché et la loi vous condamne parce que vous lui désobéissez.