Ésaïe 9:1-4
Ésaïe 9:1-4 Bible J.N. Darby (JND)
le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière ; ceux qui habitaient dans le pays de l’ombre de la mort,… la lumière a resplendi sur eux ! Tu as multiplié la nation, tu lui as accru la joie ; ils se réjouissent devant toi, comme la joie à la moisson, comme on est transporté de joie quand on partage le butin. Car tu as cassé le joug qui pesait sur elle, et la verge de son épaule, le bâton de son oppresseur, comme au jour de Madian. Car toute chaussure de guerre qu’on chausse pour le tumulte, et le manteau roulé dans le sang, seront un embrasement, la pâture du feu.
Ésaïe 9:1-4 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Le peuple qui marche dans la nuit voit une grande lumière. Pour ceux qui vivent dans le pays de l’obscurité, une lumière se met à briller. SEIGNEUR, tu les inondes de bonheur, tu fais grandir leur joie. Ils se réjouissent devant toi comme on se réjouit en faisant les récoltes, comme on crie de joie en partageant les richesses des ennemis vaincus. Oui, tu arraches ton peuple au pouvoir qui pèse sur lui. Le bâton qui blesse ses épaules, le fouet qui le frappe, tu les brises comme tu l’as fait le jour où tu as vaincu les Madianites . Toutes les chaussures des ennemis qui font trembler le sol, tous les habits couverts de sang sont dévorés par le feu.
Ésaïe 9:1-4 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Le peuple qui marchait dans les ténèbres Voit une grande lumière; Sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre de la mort Une lumière resplendit. Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d'allégresse au partage du butin. Car le joug qui pesait sur lui, Le bâton qui frappait son dos, La verge de celui qui l'opprimait, Tu les brises, comme à la journée de Madian. Car toute chaussure qu'on porte dans la mêlée, Et tout vêtement guerrier roulé dans le sang, Seront livrés aux flammes, Pour être dévorés par le feu.
Ésaïe 9:1-4 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Le peuple qui marchait ╵dans les ténèbres verra briller ╵une grande lumière : elle resplendira sur ceux qui habitaient ╵le pays dominé ╵par d’épaisses ténèbres. O Eternel, ╵tu fais abonder l’allégresse, tu fais jaillir ╵une très grande joie et l’on se réjouit devant toi ╵tout comme au temps de la moisson, ou comme on crie de joie ╵lors du partage d’un butin. Car le joug qui pesait sur lui, le bâton qui frappait son dos, le gourdin de son oppresseur, toi, tu les as brisés ╵tout comme au jour ╵de la défaite de Madian. Toute chaussure de guerrier ╵qui martèle le sol, et tout manteau ╵que l’on a roulé dans le sang seront livrés aux flammes, pour être consumés.
Ésaïe 9:1-4 Bible Segond 21 (S21)
Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière, sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre de la mort une lumière a brillé. Tu rends la nation nombreuse, tu augmentes sa joie; elle se réjouit devant toi comme on le fait lors de la moisson, comme on jubile au partage du butin. En effet, le fardeau qui pesait sur elle, le gourdin qui frappait son dos, le bâton de celui qui l'opprimait, tu les brises comme tu l’as fait lors de la victoire sur Madian. Oui, toute chaussure portée dans la bataille et tout habit roulé dans le sang seront livrés aux flammes pour être réduits en cendres.
Ésaïe 9:1-4 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Le peuple qui marchait dans les ténèbres Voit une grande lumière; Sur ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort Une lumière resplendit. Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d’allégresse au partage du butin. Car le joug qui pesait sur lui, Le bâton qui frappait son dos, La verge de celui qui l’opprimait, Tu les brises, comme à la journée de Madian. Car toute chaussure qu’on porte dans la mêlée, Et tout vêtement guerrier roulé dans le sang, Seront livrés aux flammes, Pour être dévorés par le feu.
Ésaïe 9:1-4 Bible en français courant (BFC)
Le peuple qui marche dans la nuit voit une grande lumière. Sur ceux qui vivent au pays des ténèbres, une lumière se met à luire. Seigneur, tu fais grandir la nation, tu rends sa joie immense. On se réjouit en ta présence comme on se réjouit à la moisson, comme on crie de joie en partageant le butin. Ainsi que tu le fis autrefois, quand tu mis les Madianites en déroute, tu brises aujourd'hui le joug de l'oppression qui pèse sur ton peuple, la barre qui écrase ses épaules, le gourdin dont on le frappe. Et toute botte ennemie martelant le sol, tout manteau roulé taché de sang s'enflamment et deviennent la proie du feu.