Ésaïe 64:1-9
Ésaïe 64:1-9 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Comme s’allume un feu de bois sec, Comme s’évapore l’eau qui bouillonne; Tes ennemis connaîtraient ton nom, Et les nations trembleraient devant toi. Lorsque tu fis des prodiges que nous n’attendions pas, Tu descendis, et les montagnes s’ébranlèrent devant toi. Jamais on n’a appris ni entendu dire, Et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi Fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui. Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, De ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché; Et nous en souffrons longtemps jusqu’à ce que nous soyons sauvés. Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent. Il n’y a personne qui invoque ton nom, Qui se réveille pour s’attacher à toi: Aussi nous as-tu caché ta face, Et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes. Cependant, ô Éternel, tu es notre père; Nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. Ne t’irrite pas à l’extrême, ô Éternel, Et ne te souviens pas à toujours du crime; Regarde donc, nous sommes tous ton peuple. Tes villes saintes sont un désert; Sion est un désert, Jérusalem une solitude.
Ésaïe 64:1-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Comme le feu ╵consume les taillis et fait bouillonner l’eau, ainsi tu ferais connaître ton nom ╵à tous tes adversaires, et tous les peuples ╵trembleraient devant toi. Si tu accomplissais ╵des actes redoutables que nous n’attendons pas, oui, si tu descendais, devant toi, les montagnes ╵s’effondreraient. Jamais on n’a appris, ╵ni jamais entendu, jamais un œil n’a vu qu’un autre dieu que toi ait agi en faveur ╵de qui compte sur lui. Tu viens à la rencontre de celui qui pratique ╵la justice avec joie, et tient compte de toi ╵pour suivre les chemins ╵que tu prescris. Mais tu t’es irrité ╵car nous avons péché. C’est sur ces chemins de toujours ╵que nous serons sauvés. Nous sommes tous semblables ╵à des êtres impurs, toute notre « justice » ╵est comme des linges souillés. Nous sommes tous flétris ╵comme un feuillage, nos fautes nous emportent ╵comme le vent. Personne ne t’invoque, personne ne se ressaisit ╵pour s’attacher à toi. Car tu t’es détourné de nous et tu nous as fait défaillir sous le poids de nos fautes. Et pourtant, Eternel, ╵toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier ╵qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage ╵que tes mains ont formé. Ne sois pas courroucé ╵à l’excès, Eternel. Ne nous tiens pas rigueur ╵à toujours de nos fautes ! Et daigne porter tes regards ╵sur nous tous qui sommes ton peuple ! Voici : tes villes saintes ╵sont dépeuplées. Sion est un désert, Jérusalem est désolée
Ésaïe 64:1-9 Bible J.N. Darby (JND)
[descendre] comme le feu brûle les broussailles, comme le feu fait bouillonner l’eau, pour faire connaître ton nom à tes ennemis, en sorte que les nations tremblent devant toi ! Quand tu fis des choses terribles que nous n’attendions pas, tu descendis : devant toi les montagnes se fondirent. Et jamais on n’a entendu, [jamais] on n’a entendu de l’oreille, [jamais] l’œil n’a vu, hors toi, ô DIEU, ce que [DIEU] a préparé pour celui qui s’attend à lui. Tu viens à la rencontre de celui qui se réjouit à pratiquer la justice, [de ceux] qui se souviennent de toi dans tes voies ! Voici, tu as été courroucé, et nous avons péché ;… en tes voies est la perpétuité, et nous serons sauvés. Et tous, nous sommes devenus comme une chose impure, et toutes nos justices, comme un vêtement souillé ; et nous sommes tous fanés comme une feuille, et nos iniquités, comme le vent, nous emportent ; et il n’y a personne qui invoque ton nom, qui se réveille pour te saisir ! Car tu as caché ta face de nous, et tu nous as fait fondre par nos iniquités. Or maintenant, ÉTERNEL, tu es notre père : nous sommes l’argile, tu es celui qui nous as formés, et nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. Ne sois pas extrêmement courroucé, ô ÉTERNEL, et ne te souviens pas à toujours de l’iniquité. Voici, regarde : nous sommes tous ton peuple. Tes villes saintes sont devenues un désert ; Sion est un désert, Jérusalem, une désolation
Ésaïe 64:1-9 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Tu serais comme le feu qui brûle les buissons, ou qui fait bouillir l’eau. Ainsi tu ferais savoir à tes ennemis qui tu es. Devant toi, les peuples trembleraient quand tu ferais des choses terribles qu’on n’attend pas. Oui, tu descendrais, et les montagnes trembleraient devant toi. Aucun autre dieu que toi n’agit de cette façon pour ceux qui ont confiance en lui. Non, personne n’en a jamais entendu parler, personne ne l’a jamais appris, aucun œil ne l’a jamais vu. Tu viens à la rencontre de ceux qui pratiquent la justice avec joie, qui se souviennent de toi pour suivre ton chemin. Tu t’es mis en colère à cause de nos fautes. Mais nous serons sauvés en suivant les chemins d’autrefois. Nous sommes tous comme des gens impurs, et nos meilleures actions sont aussi dégoûtantes qu’un linge taché de sang. Nos fautes nous rendent semblables à des feuilles mortes emportées par le vent. Personne ne fait plus appel à toi, personne ne se réveille pour s’attacher à toi. En effet, tu ne veux plus nous voir et tu nous as abandonnés au pouvoir de nos fautes. Pourtant, SEIGNEUR, tu es notre père. Nous sommes l’argile, et tu es le potier. Tes mains nous ont tous formés. Ne sois pas trop en colère, SEIGNEUR. Ne te souviens pas pour toujours de nos fautes. Regarde, nous t’en prions, nous sommes tous ton peuple. Tes villes saintes n’ont plus d’habitants, Jérusalem est devenue un désert, Sion est un tas de pierres abandonnées.
Ésaïe 64:1-9 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Comme s'allume un feu de bois sec, Comme s'évapore l'eau qui bouillonne; Tes ennemis connaîtraient ton nom, Et les nations trembleraient devant toi. Lorsque tu fis des prodiges que nous n'attendions pas, Tu descendis, et les montagnes s'ébranlèrent devant toi. Jamais on n'a appris ni entendu dire, Et jamais l'œil n'a vu qu'un autre dieu que toi Fasse de telles choses pour ceux qui se confient en lui. Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, De ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché; Et nous en souffrons longtemps jusqu'à ce que nous soyons sauvés. Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent. Il n'y a personne qui invoque ton nom, Qui se réveille pour s'attacher à toi: Aussi nous as-tu caché ta face, Et nous laisses-tu périr par l'effet de nos crimes. Cependant, ô Eternel, tu es notre père; Nous sommes l'argile, et c'est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l'ouvrage de tes mains. Ne t'irrite pas à l'extrême, ô Eternel, Et ne te souviens pas à toujours du crime; Regarde donc, nous sommes tous ton peuple. Tes villes saintes sont un désert; Sion est un désert, Jérusalem une solitude.
Ésaïe 64:1-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Comme le feu ╵consume les taillis et fait bouillonner l’eau, ainsi tu ferais connaître ton nom ╵à tous tes adversaires, et tous les peuples ╵trembleraient devant toi. Si tu accomplissais ╵des actes redoutables que nous n’attendons pas, oui, si tu descendais, devant toi, les montagnes ╵s’effondreraient. Jamais on n’a appris, ╵ni jamais entendu, jamais un œil n’a vu qu’un autre dieu que toi ait agi en faveur ╵de qui compte sur lui. Tu viens à la rencontre de celui qui pratique ╵la justice avec joie, et tient compte de toi ╵pour suivre les chemins ╵que tu prescris. Mais tu t’es irrité ╵car nous avons péché. C’est sur ces chemins de toujours ╵que nous serons sauvés. Nous sommes tous semblables ╵à des êtres impurs, toute notre « justice » ╵est comme des linges souillés. Nous sommes tous flétris ╵comme un feuillage, nos fautes nous emportent ╵comme le vent. Personne ne t’invoque, personne ne se ressaisit ╵pour s’attacher à toi. Car tu t’es détourné de nous et tu nous as fait défaillir sous le poids de nos fautes. Et pourtant, Eternel, ╵toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier ╵qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage ╵que tes mains ont formé. Ne sois pas courroucé ╵à l’excès, Eternel. Ne nous tiens pas rigueur ╵à toujours de nos fautes ! Et daigne porter tes regards ╵sur nous tous qui sommes ton peuple ! Voici : tes villes saintes ╵sont dépeuplées. Sion est un désert, Jérusalem est désolée
Ésaïe 64:1-9 La Bible Segond 21 (S21)
»Tu serais pareil au feu qui allume des brindilles ou fait bouillir l'eau: tes adversaires connaîtraient ton nom et les nations trembleraient devant toi. »Lorsque tu as fait des prodiges que nous n'attendions pas, tu es descendu et les montagnes se sont effondrées devant toi. *Jamais on n'a appris ni entendu dire pareille chose, jamais aucun œil n'a vu un autre dieu que toi agir de cette manière pour ceux qui comptent sur lui. Tu vas à la rencontre de celui qui pratique avec joie la justice, de ceux qui se souviennent de toi en marchant dans tes voies. Cependant, tu as été irrité parce que nous avons péché. Pourtant, c'est en les suivant toujours que nous pouvons être sauvés. »Nous sommes tous devenus comme des objets impurs et toute notre justice est pareille à un habit taché de sang, nous sommes tous aussi fanés qu'une feuille et nos fautes nous emportent comme le vent. Il n'y a personne qui fasse appel à ton nom, qui se réveille pour s'attacher à toi. C'est que tu t'es caché à nous et tu nous laisses nous liquéfier par l'intermédiaire de nos propres fautes. »Cependant, Eternel, c'est toi qui es notre père. Nous sommes l'argile, tu es notre potier, nous sommes tous l'œuvre de tes mains. Ne t'irrite pas à l'excès, Eternel, et ne te souviens pas indéfiniment de notre faute! Regarde donc: nous sommes tous ton peuple. »Pourtant, tes villes saintes se sont transformées en désert: Sion est un désert, Jérusalem un endroit dévasté.
Ésaïe 64:1-9 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Comme s’allume un feu de bois sec, Comme s’évapore l’eau qui bouillonne; Tes ennemis connaîtraient ton nom, Et les nations trembleraient devant toi. Lorsque tu fis des prodiges que nous n’attendions pas, Tu descendis, et les montagnes s’ébranlèrent devant toi. Jamais on n’a appris ni entendu dire, Et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi Fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui. Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, De ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché; Et nous en souffrons longtemps jusqu’à ce que nous soyons sauvés. Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent. Il n’y a personne qui invoque ton nom, Qui se réveille pour s’attacher à toi: Aussi nous as-tu caché ta face, Et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes. Cependant, ô Éternel, tu es notre père; Nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l’ouvrage de tes mains. Ne t’irrite pas à l’extrême, ô Éternel, Et ne te souviens pas à toujours du crime; Regarde donc, nous sommes tous ton peuple. Tes villes saintes sont un désert; Sion est un désert, Jérusalem une solitude.
Ésaïe 64:1-9 Bible en français courant (BFC)
Tu serais comme un feu embrasant des brindilles ou mettant l'eau en ébullition. Et tu ferais savoir ainsi à tous tes adversaires quel Dieu tu es. Devant toi, les nations seraient prises de panique, quand tu accomplirais des prodiges inattendus. Oui, tu descendrais, et devant toi, les montagnes seraient ébranlées. Jamais on n'a entendu dire, jamais on n'a remarqué, jamais un œil n'a vu qu'un autre dieu que toi ait agi de la sorte pour ceux qui comptent sur lui. Tu viens à la rencontre de ceux qui font ta volonté, qui la font avec joie, et qui pensent à suivre les chemins que tu as tracés. Si tu t'es irrité, c'est que nous étions coupables. Mais c'est toujours sur ces chemins que nous trouverons le salut. Nous sommes tous impropres à ton service, comme un objet impur; et toutes nos belles actions sont aussi répugnantes qu'un linge taché de sang. Nos torts nous emportent tous comme les feuilles mortes balayées par le vent. Il n'y a plus personne pour s'adresser à toi, pour se ressaisir et s'attacher à toi. Car tu refuses de nous voir, et tu nous as livrés découragés au pouvoir de nos fautes. Et pourtant, Seigneur, c'est toi qui es notre père. Nous sommes l'argile, et tu es le potier, tu nous as tous façonnés. Seigneur, ne sois pas trop irrité, ne te rappelle pas sans cesse nos torts. Veuille considérer que nous sommes tous ton peuple. Les villes qui te sont consacrées sont dépeuplées, Jérusalem n'est plus qu'un désert et Sion un lieu dévasté.