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Ésaïe 53:1-9

Ésaïe 53:1-9 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Qui a cru à notre message ? A qui a été révélée ╵l’intervention de l’Eternel  ? Il a grandi tout droit ╵comme une jeune pousse ou comme une racine ╵sortant d’un sol aride. Il n’avait ni prestance ni beauté pour retenir notre attention ni rien dans son aspect ╵qui pût nous attirer. Il était méprisé, ╵abandonné des hommes, un homme de douleur habitué à la souffrance. Oui, il était semblable ╵à ceux devant lesquels ╵on détourne les yeux. Il était méprisé, et nous n’avons fait de lui aucun cas. Pourtant, en vérité, ╵c’est de nos maladies ╵qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances ╵qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions ╵que Dieu l’avait puni, frappé et humilié. Mais c’est pour nos péchés ╵qu’il a été percé, c’est pour nos fautes ╵qu’il a été brisé. Le châtiment ╵qui nous donne la paix ╵est retombé sur lui et c’est par ses blessures ╵que nous sommes guéris. Nous étions tous errants, ╵pareils à des brebis, chacun de nous allait ╵par son propre chemin : l’Eternel a fait retomber sur lui ╵les fautes de nous tous. Il était maltraité, ╵et il s’est humilié, il n’a pas dit un mot. Semblable à un agneau ╵mené à l’abattoir, tout comme la brebis muette ╵devant ceux qui la tondent, il n’a pas dit un mot. Il a été arraché à la vie ╵avec violence, ╵suite à un jugement. Et qui, parmi les gens ╵de sa génération, ╵s’est soucié de son sort, lorsqu’on l’a retranché du pays des vivants ? Il a été frappé à mort à cause des péchés ╵que mon peuple a commis. On a mis son tombeau ╵avec celui des criminels et son sépulcre ╵avec celui des riches, alors qu’il n’avait pas commis ╵d’acte de violence et que jamais ses lèvres ╵n’avaient produit la tromperie.

Ésaïe 53:1-9 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l’Éternel? Il s’est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d’une terre desséchée; Il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu’il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple? On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu’il n’eût point commis de violence Et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche.

Ésaïe 53:1-9 Bible J.N. Darby (JND)

Qui a cru à ce que nous avons fait entendre, et à qui le bras de l’ÉTERNEL a-t-il été révélé ? Il montera devant lui comme un rejeton, et comme une racine [sortant] d’une terre aride. Il n’a ni forme, ni éclat ; quand nous le voyons, il n’y a point d’apparence [en lui] pour nous le faire désirer. Il est méprisé et délaissé des hommes, homme de douleurs, et sachant ce que c’est que la langueur, et comme quelqu’un de qui on cache sa face ; il est méprisé, et nous n’avons eu pour lui aucune estime. Certainement, lui, a porté nos langueurs, et s’est chargé de nos douleurs ; et nous, nous l’avons estimé battu, frappé de DIEU, et affligé ; mais il a été blessé pour nos transgressions, il a été meurtri pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix a été sur lui, et par ses meurtrissures nous sommes guéris. Nous avons tous été errants comme des brebis, nous nous sommes tournés chacun vers son propre chemin, et l’ÉTERNEL a fait tomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été opprimé et affligé, et il n’a pas ouvert sa bouche. Il a été amené comme un agneau à la boucherie, et a été comme une brebis muette devant ceux qui la tondent ; et il n’a pas ouvert sa bouche. Il est ôté de l’angoisse et du jugement ; et sa génération, qui la racontera ? Car il a été retranché de la terre des vivants ; à cause de la transgression de mon peuple, lui, a été frappé. Et on lui donna son sépulcre avec les méchants ; mais il a été avec le riche dans sa mort, parce qu’il n’avait fait aucune violence, et qu’il n’y avait pas de fraude dans sa bouche.

Ésaïe 53:1-9 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Qui a cru à la nouvelle que nous avons apprise ? Qui a reconnu la puissance du SEIGNEUR ? Devant le SEIGNEUR, le serviteur a grandi comme une petite plante, comme une racine qui sort d’une terre sèche. Il n’avait ni la beauté ni le prestige qui attirent les regards. Son apparence n’avait rien pour nous plaire. Tout le monde le méprisait et l’évitait. C’était un homme qui souffrait, habitué à la douleur. Il était comme quelqu’un que personne ne veut regarder. Nous le méprisions, nous le comptions pour rien. Pourtant, ce sont nos maladies qu’il supportait, c’est de notre souffrance qu’il s’était chargé. Et nous, nous pensions : c’est Dieu qui le punit de cette façon, c’est Dieu qui le frappe et l’abaisse. Mais il était blessé à cause de nos fautes, il était écrasé à cause de nos péchés. La punition qui nous donne la paix est tombée sur lui. Et c’est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous comme des moutons perdus, chacun suivait son propre chemin. Et le SEIGNEUR a fait retomber sur lui nos fautes à nous tous. On l’a fait souffrir, mais lui, il a accepté cela, il a gardé le silence. Comme un agneau qu’on mène à l’abattoir, comme un mouton qui ne crie pas quand on lui coupe sa laine, il a gardé le silence. On l’a arrêté, jugé, puis supprimé. Mais qui a fait attention à ce qui lui arrivait ? Oui, on l’a enlevé du monde des vivants. Il a été frappé à mort à cause des fautes de son peuple. Il a été enterré avec les gens mauvais. Sa tombe est avec les riches. Pourtant, il n’avait rien fait de mal et il n’avait jamais trompé personne.

Ésaïe 53:1-9 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Qui a cru à ce qui nous était annoncé? Qui a reconnu le bras de l'Eternel? Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et l'Eternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple? On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'ait point commis de violence Et qu'il n'y ait point eu de fraude dans sa bouche.

Ésaïe 53:1-9 Bible Segond 21 (S21)

*Qui a cru à notre prédication? A qui le bras de l’Eternel a-t-il été révélé? Il a grandi devant lui comme une jeune plante, comme un rejeton qui sort d'une terre toute sèche. Il n'avait ni beauté ni splendeur propre à attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire. Méprisé et délaissé par les hommes, homme de douleur, habitué à la souffrance, il était pareil à celui face auquel on détourne la tête: nous l'avons méprisé, nous n'avons fait aucun cas de lui. Pourtant, *ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé. Et nous, nous l'avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié. Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes: la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et *c'est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous comme des brebis égarées: chacun suivait sa propre voie, et l'Eternel a fait retomber sur lui nos fautes à tous. Il a été maltraité, il s’est humilié et n'a pas ouvert la bouche. *Pareil à un agneau qu'on mène à l’abattoir, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n'a pas ouvert la bouche. Il a été enlevé sous la contrainte et sous le jugement, et dans sa génération qui s’est inquiété de son sort? Qui s’est soucié de ce qu’il était exclu de la terre des vivants, frappé à cause de la révolte de mon peuple? On a mis son tombeau parmi les méchants, sa tombe avec le riche, alors qu'il *n'avait pas commis de violence et qu'il n'y avait pas eu de tromperie dans sa bouche.

Ésaïe 53:1-9 Bible en français courant (BFC)

Qui de nous a cru la nouvelle que nous avons apprise? Qui de nous a reconnu que le Seigneur était intervenu? Car, devant le Seigneur, le serviteur avait grandi comme une simple pousse, comme une pauvre plante qui sort d'un sol desséché. Il n'avait pas l'allure ni le genre de beauté qui attirent les regards. Il était trop effacé pour se faire remarquer. Il était celui qu'on dédaigne, celui qu'on ignore, la victime, le souffre-douleur. Nous l'avons dédaigné, nous l'avons compté pour rien, comme quelqu'un qu'on n'ose pas regarder. Or il supportait les maladies qui auraient dû nous atteindre, il subissait la souffrance que nous méritions. Mais nous pensions que c'était Dieu qui le punissait ainsi, qui le frappait et l'humiliait. Pourtant il n'était blessé que du fait de nos crimes, il n'était accablé que par l'effet de nos propres torts. Il a subi notre punition, et nous sommes acquittés; il a reçu les coups, et nous sommes épargnés. Nous errions tous ça et là comme un troupeau éparpillé, c'était chacun pour soi. Mais le Seigneur lui a fait subir les conséquences de nos fautes à tous. Il s'est laissé maltraiter sans protester, sans rien dire, comme un agneau qu'on mène à l'abattoir, comme une brebis devant ceux qui la tondent. On l'a arrêté, jugé, supprimé, mais qui se souciait de son sort? Or, il était éliminé du monde des vivants, il était frappé à mort du fait des crimes de mon peuple. On l'a enterré avec les criminels, dans la mort, on l'a mis avec les riches, bien qu'il n'ait pas commis de violence ni pratiqué la fraude.