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Hébreux 9:3-13

Hébreux 9:3-13 Bible J.N. Darby (JND)

et, après le second voile, un tabernacle qui est appelé saint des saints, ayant l’encensoir d’or, et l’arche de l’alliance entièrement couverte d’or tout autour, dans laquelle était la cruche d’or qui renfermait la manne, et la verge d’Aaron qui avait bourgeonné, et les tables de l’alliance ; et, au-dessus de l’arche, des chérubins de gloire ombrageant le propitiatoire ; sur quoi nous n’avons pas à parler dans ce moment en détail. Or ces choses étant ainsi disposées, les sacrificateurs entrent constamment dans le premier tabernacle, accomplissant le service  ; mais, dans le second, le seul souverain sacrificateur, une fois l’an, non sans du sang qu’il offre pour lui-même et pour les fautes du peuple, l’Esprit Saint indiquant ceci : le chemin des lieux saints n’a pas encore été manifesté, tandis que le premier tabernacle a encore sa place, lequel est une figure pour le temps présent, dans lequel sont offerts des dons et des sacrifices qui ne peuvent pas rendre parfait quant à la conscience celui qui rend le culte, [culte qui consiste] seulement en viandes, en breuvages, en diverses ablutions, ordonnances charnelles imposées jusqu’au temps du redressement. Mais Christ étant venu, souverain sacrificateur des biens à venir, par le tabernacle plus grand et plus parfait qui n’est pas fait de main, c’est-à-dire qui n’est pas de cette création, et non avec le sang de boucs et de veaux, mais avec son propre sang, est entré une fois pour toutes dans les lieux saints, ayant obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang de boucs et de taureaux, – et la cendre d’une génisse avec laquelle on fait aspersion sur ceux qui sont souillés, – sanctifie pour la pureté de la chair

Hébreux 9:3-13 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Puis, derrière le deuxième rideau, c’était l’autre partie de la tente. On l’appelait « le lieu très saint ». Là, il y avait un autel en or pour brûler le parfum. Il y avait aussi le coffre de l’alliance tout couvert d’or. Ce coffre contenait un récipient en or rempli de manne et le bâton d’Aaron qui avait fleuri. De plus, il contenait les pierres où les paroles de l’alliance étaient gravées. Au-dessus du coffre, il y avait les statues des chérubins glorieux qui indiquaient la présence de Dieu. Leurs ailes couvraient de leur ombre le couvercle du coffre. Mais ce n’est pas le moment d’entrer dans les détails. La tente se compose donc de deux parties. Les prêtres entrent tous les jours dans la première partie de la tente pour célébrer le culte. Mais seul le grand-prêtre entre dans la deuxième partie de la tente, et seulement une fois par an. À cet endroit, il doit apporter du sang d’animal et l’offrir à Dieu, pour lui-même et pour les fautes du peuple. Voici ce que le Saint-Esprit veut montrer par là : le chemin du lieu très saint n’est pas encore ouvert, tant que la première partie de la tente existe. C’est une image pour aujourd’hui. Elle veut dire ceci : les dons et les sacrifices offerts à Dieu ne peuvent pas rendre parfait le cœur de celui qui célèbre ce culte. Ce sont seulement des règles humaines au sujet de la nourriture, de la boisson, des différents bains qui rendent pur. Ces règles étaient valables jusqu’au moment où Dieu allait changer les choses. Mais le Christ est venu comme grand-prêtre pour nous accorder les biens qui sont déjà là. Il est passé par une tente plus grande et plus parfaite. Celle-ci n’a pas été faite par des mains humaines, c’est-à-dire qu’elle n’appartient pas à notre monde créé. Le Christ est entré une fois pour toutes dans le lieu saint, auprès de Dieu. Il n’a pas offert le sang des boucs et des jeunes taureaux, mais il a offert son sang à lui, et il nous a libérés pour toujours. Selon la coutume, on répand le sang des boucs et des taureaux et les cendres d’une vache brûlée sur ceux qui ont fait une faute. Ensuite, leur corps est purifié de cette faute, et ils peuvent de nouveau célébrer le culte.

Hébreux 9:3-13 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Derrière le second voile se trouvait la partie du tabernacle appelée le saint des saints, renfermant l'encensoir d'or pour les parfums, et l'arche de l'alliance, entièrement recouverte d'or. Il y avait dans l'arche un vase d'or contenant la manne, la verge d'Aaron, qui avait fleuri, et les tables de l'alliance. Au-dessus de l'arche étaient les chérubins de la gloire, couvrant de leur ombre le propitiatoire. Ce n'est pas le moment de parler en détail là-dessus. Or, ces choses étant ainsi disposées, les sacrificateurs qui font le service entrent en tout temps dans la première partie du tabernacle; et dans la seconde le souverain sacrificateur seul entre une fois par an, non sans y porter du sang qu'il offre pour lui-même et pour les péchés du peuple. Le Saint-Esprit montrait par là que le chemin du lieu très saint n'était pas encore ouvert, tant que le premier tabernacle subsistait. C'est un symbole pour le temps présent; il signifie que les dons et sacrifices présentés ne peuvent rendre parfait sous le rapport de la conscience celui qui rend ce culte; ils étaient avec les aliments, les boissons et les diverses ablutions, des ordonnances charnelles imposées seulement jusqu'à une époque de réformation. Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'est pas construit de main d'homme, c'est-à-dire qui n'est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre d'une vache répandue sur ceux qui sont souillés, sanctifient et procurent la pureté de la chair

Hébreux 9:3-13 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Derrière le second rideau venait la partie de la tente qu’on appelait le « lieu très saint ». Là étaient placés un brûle-parfum en or et le coffre de l’alliance, entièrement plaqué d’or. Ce coffre contenait un vase d’or avec de la manne, le bâton d’Aaron qui avait fleuri et les tablettes de pierre sur lesquelles étaient gravées les paroles de l’alliance. Au-dessus du coffre, les chérubins glorieux couvraient le propitiatoire de l’ombre de leurs ailes. Mais ce n’est pas le moment de parler de chacun de ces objets en détail. Cet ensemble étant ainsi installé, les prêtres entrent en tout temps dans la première partie du tabernacle pour accomplir leur service. Dans la seconde, le grand-prêtre est le seul à pénétrer, et cela une seule fois par an. Or, il ne peut y entrer sans apporter le sang de sacrifices qu’il offre pour lui-même et pour les fautes que le peuple a commises par ignorance. Le Saint-Esprit montre par là que l’accès au lieu très saint n’est pas ouvert tant que subsiste le premier tabernacle. Nous avons là une représentation symbolique en vue de l’époque actuelle. Elle signifie que les offrandes et les sacrifices qu’on présente ainsi à Dieu sont incapables de donner une conscience parfaitement nette à celui qui rend un tel culte. En effet, il n’y a là que des prescriptions portant sur des rites d’ordre matériel, concernant des aliments, des boissons et des ablutions diverses. Elles ne devaient rester en vigueur que jusqu’au temps où Dieu instituerait un ordre nouveau. Or, Christ est venu en tant que grand-prêtre pour nous procurer les biens qu’il nous a désormais acquis. Il a traversé un tabernacle plus grand et plus parfait que le sanctuaire terrestre, un tabernacle qui n’a pas été fabriqué par des mains humaines, c’est-à-dire qui n’appartient pas à ce monde créé. Il a pénétré une fois pour toutes dans le sanctuaire ; il y a offert, non le sang de boucs ou de veaux, mais son propre sang. Il nous a ainsi acquis un salut éternel. En effet, le sang des boucs et des taureaux et les cendres d’une vache que l’on répand sur des personnes rituellement impures

Hébreux 9:3-13 Bible Segond 21 (S21)

Derrière le second voile se trouvait la partie du tabernacle appelée le lieu très saint; elle abritait l'encensoir en or pour les parfums ainsi que l'arche de l'alliance, entièrement recouverte d'or. Ce coffre contenait un vase d'or rempli de manne, le bâton d'Aaron qui avait fleuri et les tables de l'alliance. Au-dessus de l'arche se trouvaient les glorieux chérubins qui couvraient le propitiatoire de leur ombre. Ce n'est pas le moment de parler en détail là-dessus. L'ensemble étant ainsi disposé, les prêtres qui font le service entrent en tout temps dans la première partie du tabernacle. Mais dans la seconde, seul le grand-prêtre entre, et ce une fois par an, non sans y apporter du sang qu'il offre pour lui-même et pour les péchés du peuple. Le Saint-Esprit montrait par là que le chemin du lieu très saint n'était pas révélé tant que le premier tabernacle était dressé. C'est une illustration pour le temps présent; elle signifie que les dons et les sacrifices présentés ne peuvent pas rendre parfait, sur le plan de la conscience, celui qui prend part à ce culte. Avec les aliments, les boissons, les diverses ablutions et les règles relatives au corps, c’étaient des prescriptions imposées seulement jusqu'à une époque de réforme. Quant à Christ, il est venu comme grand-prêtre des biens à venir. Il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait qui n'est pas construit par la main de l'homme – c'est-à-dire qui n’appartient pas à cette création – et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non pas avec le sang de boucs et de jeunes taureaux, mais avec son propre sang. Il nous a ainsi obtenu un rachat éternel. En effet, le sang des boucs et des taureaux ainsi que la cendre d'une vache, dont on asperge ceux qui sont souillés, les rendent saints en leur procurant une pureté rituelle.

Hébreux 9:3-13 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Derrière le second voile se trouvait la partie du tabernacle appelée le saint des saints, renfermant l’autel d’or pour les parfums, et l’arche de l’alliance, entièrement recouverte d’or. Il y avait dans l’arche un vase d’or contenant la manne, la verge d’Aaron, qui avait fleuri, et les tables de l’alliance. Au-dessus de l’arche étaient les chérubins de la gloire, couvrant de leur ombre le propitiatoire. Ce n’est pas le moment de parler en détail là-dessus. Or, ces choses étant ainsi disposées, les sacrificateurs qui font le service entrent en tout temps dans la première partie du tabernacle; et dans la seconde le souverain sacrificateur seul entre une fois par an, non sans y porter du sang qu’il offre pour lui-même et pour les péchés du peuple. Le Saint-Esprit montrait par là que le chemin du lieu très saint n’était pas encore ouvert, tant que le premier tabernacle subsistait. C’est une figure pour le temps actuel, où l’on présente des offrandes et des sacrifices qui ne peuvent rendre parfait sous le rapport de la conscience celui qui rend ce culte, et qui, avec les aliments, les boissons et les diverses ablutions, étaient des ordonnances charnelles imposées seulement jusqu’à une époque de réformation. Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre d’une vache, répandue sur ceux qui sont souillés, sanctifient et procurent la pureté de la chair

Hébreux 9:3-13 Bible en français courant (BFC)

Derrière le second rideau se trouvait l'autre partie, appelée le lieu très saint, avec l'autel en or où l'on brûlait l'encens, et le coffre de l'alliance entièrement recouvert d'or. Dans le coffre se trouvaient le vase d'or qui contenait la manne, le bâton d'Aaron qui avait fleuri et les tablettes de pierre avec les commandements de l'alliance. Au-dessus du coffre se tenaient les chérubins qui signalaient la présence divine; ils étendaient leurs ailes au-dessus de l'endroit où l'on offrait le sang pour le pardon des péchés. Mais ce n'est pas le moment de parler de tout cela en détail. L'ensemble étant ainsi disposé, les prêtres entrent jour après jour dans la première partie de la tente pour accomplir leur service. Mais seul le grand-prêtre entre dans la seconde partie, et il ne le fait qu'une fois par an. Il doit y apporter du sang d'animal qu'il offre à Dieu pour lui-même et pour les fautes que le peuple a commises involontairement. Le Saint-Esprit montre ainsi que le chemin du lieu très saint n'est pas encore ouvert aussi longtemps que subsiste la première tente. C'est là une image qui se rapporte au temps présent. Elle signifie que les dons et les sacrifices d'animaux offerts à Dieu ne peuvent pas rendre parfait le cœur de quiconque pratique ce culte. Il y est question seulement d'aliments, de boissons et de diverses cérémonies de purification. Il s'agissait de règles d'ordre matériel qui n'étaient valables que jusqu'au temps où Dieu réforma toutes choses. Mais le Christ est venu comme grand-prêtre des biens déjà présents. Il a pénétré dans une tente plus importante et plus parfaite, qui n'est pas construite par des hommes, autrement dit qui n'appartient pas à ce monde créé. Quand le Christ est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, il n'a pas offert du sang de boucs et de veaux; il a offert son propre sang et nous a ainsi délivrés définitivement de nos péchés. Le sang des boucs et des taureaux et les cendres de la vache brûlée, que l'on répand sur les personnes impures par rapport aux rites, les purifient de cette souillure extérieure.