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Galates 2:1-14

Galates 2:1-14 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Puis, 14 ans après, je suis retourné à Jérusalem avec Barnabas, j’ai pris aussi Tite avec moi. J’y suis retourné parce que Dieu m’avait dit de le faire. À Jérusalem, j’ai présenté aux chrétiens la Bonne Nouvelle que j’annonce à ceux qui ne sont pas juifs. Je l’ai aussi présentée aux responsables de l’Église dans une réunion à part. En effet, je ne voulais pas que mon travail d’aujourd’hui et d’hier soit perdu. Mais on n’a même pas obligé Tite, qui était avec moi et qui est grec, à se faire circoncire. Pourtant, des faux frères le voulaient. Ils étaient venus au milieu de nous comme des ennemis. Ils venaient voir comment nous utilisions notre liberté, cette liberté qui nous vient du Christ Jésus. Ils voulaient nous rendre esclaves. Mais nous n’avons pas voulu céder à ces gens-là, même pas un moment, afin de garder pour vous la vérité de la Bonne Nouvelle. Il y avait aussi les responsables de l’Église. D’ailleurs, ce qu’ils étaient, ce n’est pas important pour moi, car Dieu ne fait pas de différence entre les gens. Ces responsables ne m’ont pas obligé à faire quelque chose en plus. Au contraire, ils ont vu ceci : Dieu m’avait demandé d’annoncer la Bonne Nouvelle à ceux qui ne sont pas juifs, et il avait demandé à Pierre de l’annoncer aux Juifs. Dieu a fait de Pierre l’apôtre des Juifs et il a fait de moi l’apôtre de ceux qui ne sont pas juifs. Jacques, Céphas et Jean, sont considérés comme les chefs de l’Église. Eh bien, eux, ils ont reconnu le don que Dieu m’avait fait. Ils nous ont tendu la main, à moi et à Barnabas, pour montrer qu’ils étaient d’accord avec nous. Nous devions partir vers les non-Juifs, et eux, ils devaient aller vers les Juifs. Ils nous ont seulement demandé de nous souvenir des pauvres de leur Église, et je l’ai fait de tout mon cœur. Mais quand Céphas est arrivé à Antioche de Syrie, je me suis opposé à lui devant tout le monde, parce qu’il avait tort. En effet, avant l’arrivée de certaines personnes proches de Jacques, Céphas mangeait avec les frères qui ne sont pas d’origine juive. Mais quand les autres sont arrivés, il s’est éloigné, il n’est plus allé avec les non-Juifs, il avait peur des chrétiens qui défendaient les coutumes juives. Tous les autres frères d’origine juive ont été aussi faux que lui, et leur conduite fausse a même entraîné Barnabas ! Eh bien, j’ai vu qu’ils ne marchaient pas droit selon la vérité de la Bonne Nouvelle. Alors j’ai dit à Céphas devant tout le monde : « Toi, Juif, tu as vécu ici comme ceux qui ne sont pas juifs, tu n’as pas vécu selon la loi de Moïse. Mais maintenant, tu veux forcer ceux qui ne sont pas juifs à faire comme les Juifs ! Pourquoi donc ? »

Galates 2:1-14 Bible J.N. Darby (JND)

Ensuite, au bout de 14 ans, je montai de nouveau à Jérusalem avec Barnabas, prenant aussi Tite avec moi. Or j’y montai selon une révélation, et je leur exposai l’évangile que je prêche parmi les nations, mais, dans le particulier, à ceux qui étaient considérés, de peur qu’en quelque manière je ne coure ou n’aie couru en vain (cependant, même Tite qui était avec moi, quoiqu’il soit Grec, ne fut pas contraint à être circoncis) : et cela à cause des faux frères, furtivement introduits, qui s’étaient insinués pour épier la liberté que nous avons dans le christ Jésus, afin de nous réduire à la servitude ; auxquels nous n’avons pas cédé par soumission, non pas même un moment, afin que la vérité de l’évangile demeure avec vous. Or, de ceux qui étaient considérés comme étant quelque chose…, quels qu’ils aient pu être, cela ne m’importe en rien : DIEU n’a point égard à l’apparence de l’homme…, à moi, certes, ceux qui étaient considérés n’ont rien communiqué de plus ; mais au contraire, ayant vu que l’évangile de l’incirconcision m’a été confié, comme celui de la circoncision l’a été à Pierre, (car celui qui a opéré en Pierre pour l’apostolat de la circoncision a opéré en moi aussi envers les nations), et ayant reconnu la grâce qui m’a été donnée, Jacques, et Céphas, et Jean, qui étaient considérés comme étant des colonnes, me donnèrent, à moi et à Barnabas, la main d’association, afin que nous [allions] vers les nations, et eux vers la circoncision, [voulant] seulement que nous nous souvenions des pauvres, ce qu’aussi je me suis appliqué à faire. Mais quand Céphas vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu’il était condamné. Car, avant que quelques-uns soient venus d’auprès de Jacques, il mangeait avec ceux des nations  ; mais quand ceux-là furent venus, il se retira et se sépara lui-même, craignant ceux de la circoncision ; et les autres Juifs aussi usèrent de dissimulation avec lui, de sorte que Barnabas même fut entraîné avec eux par leur dissimulation. Mais quand je vis qu’ils ne marchaient pas droit, selon la vérité de l’évangile, je dis à Céphas devant tous : Si toi qui es Juif, tu vis comme les nations et non pas comme les Juifs, comment contrains-tu les nations à judaïser ?

Galates 2:1-14 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Quatorze ans après, je montai de nouveau à Jérusalem avec Barnabas, ayant aussi pris Tite avec moi; et ce fut d'après une révélation que j'y montai. Je leur exposai l'Evangile que je prêche parmi les païens; je l'exposai en particulier à ceux qui sont les plus considérés, afin de ne pas courir ou avoir couru en vain. Mais Tite, qui était avec moi, et qui était Grec, ne fut même pas contraint de se faire circoncire. Et cela, à cause des faux frères qui s'étaient secrètement introduits et glissés parmi nous, pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, avec l'intention de nous asservir. Nous ne leur cédâmes pas un instant et nous résistâmes à leurs exigences, afin que la vérité de l'Evangile soit maintenue parmi vous. Ceux qui sont les plus considérés – quels qu'ils aient été jadis, cela ne m'importe pas: Dieu ne fait point de favoritisme – ceux qui sont les plus considérés ne m'imposèrent rien. Au contraire, voyant que l'Evangile m'avait été confié pour les incirconcis, comme à Pierre pour les circoncis – car celui qui a fait de Pierre l'apôtre des circoncis a aussi fait de moi l'apôtre des païens – et ayant reconnu la grâce qui m'avait été accordée, Jacques, Céphas et Jean, qui sont regardés comme des colonnes, me donnèrent, à moi et à Barnabas, la main d'association, afin que nous allions, nous vers les païens, et eux vers les circoncis. Ils nous recommandèrent seulement de nous souvenir des pauvres, ce que j'ai eu bien soin de faire. Mais lorsque Céphas vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu'il était répréhensible. En effet, avant l'arrivée de quelques personnes de l'entourage de Jacques, il mangeait avec les païens, et, quand elles furent venues, il s'esquiva et se tint à l'écart, par crainte des circoncis. Avec lui les autres Juifs usèrent aussi de dissimulation, en sorte que Barnabas même fut entraîné par leur hypocrisie. Voyant qu'ils ne marchaient pas droit selon la vérité de l'Evangile, je dis à Céphas en présence de tous: Si toi qui es Juif, tu vis à la manière des païens et non à la manière des Juifs, pourquoi forces-tu les païens à judaïser?

Galates 2:1-14 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Ce n’est que quatorze ans plus tard que je suis remonté à Jérusalem en compagnie de Barnabas. J’avais aussi emmené Tite avec moi. J’ai fait ce voyage pour obéir à une révélation divine. J’y ai exposé l’Evangile que j’annonce parmi les non-Juifs, je l’ai exposé dans un entretien particulier à ceux qui sont les plus considérés. Car je ne voulais pas que tout mon travail passé et futur soit compromis. Or Tite, mon compagnon, était d’origine païenne. Eh bien, on ne l’a même pas obligé à se soumettre au rite de la circoncision. Et cela, malgré la présence de faux frères, des intrus qui s’étaient infiltrés dans nos rangs pour espionner la liberté dont nous jouissons dans notre union avec Jésus-Christ. Ils voulaient faire de nous des esclaves. Mais nous ne leur avons pas cédé un seul instant ni fait la moindre concession afin que la vérité de l’Evangile soit maintenue pour vous. Quelle a été, à cet égard, l’attitude des personnes les plus considérées ? – En fait, ce qu’elles étaient alors m’importe peu, car Dieu ne fait pas de favoritisme. – Eh bien, ces personnes-là ne m’ont pas imposé d’autres directives. Au contraire ! Ils ont constaté que Dieu m’avait confié la charge d’annoncer l’Evangile aux non-Juifs comme à Pierre celle de l’annoncer aux Juifs. – Car celui qui a agi en Pierre pour qu’il soit l’apôtre des Juifs a aussi agi en moi pour que je sois celui des non-Juifs. – Ainsi Jacques, Pierre et Jean, qui sont considérés comme « colonnes » de l’Eglise, ont reconnu que Dieu, dans sa grâce, m’avait confié cette tâche particulière. C’est pourquoi ils nous ont serré la main, à Barnabas et à moi, en signe d’accord et de communion ; et nous avons convenu ensemble que nous irions, nous, vers les peuples païens tandis qu’eux se consacreraient aux Juifs. Ils nous ont seulement demandé de nous souvenir des pauvres – ce que j’ai bien pris soin de faire. Mais, lorsque Pierre est venu à Antioche, je me suis opposé ouvertement à lui, car il avait tort. En effet, avant l’arrivée de quelques personnes de l’entourage de Jacques, il prenait part aux repas communs avec les croyants non juifs ; mais après leur venue, il s’est esquivé et s’est tenu à l’écart, parce qu’il craignait les croyants d’origine juive. Comme lui, les autres chrétiens d’origine juive se sont mis, eux aussi, à cacher leurs véritables convictions, au point que Barnabas lui-même s’est laissé entraîner par leur dissimulation. Mais quand j’ai vu qu’ils ne marchaient pas droit, selon la vérité de l’Evangile, j’ai dit à Pierre devant tous les frères : « Toi qui es juif, tu vis comme un croyant d’origine païenne, et non comme un Juif. Comment peux-tu vouloir obliger les frères et sœurs d’origine païenne à vivre comme des Juifs ? »

Galates 2:1-14 Bible Segond 21 (S21)

Quatorze ans plus tard, je suis monté de nouveau à Jérusalem avec Barnabas; j'avais aussi pris Tite avec moi. J’y suis monté à la suite d'une révélation et je leur ai présenté l'Evangile que je prêche parmi les non-Juifs; je l'ai exposé en privé à ceux qui sont les plus considérés afin de ne pas courir ou avoir couru pour rien. Or Tite, qui était avec moi et qui est grec, n’a même pas été contraint de se faire circoncire, malgré les prétendus frères qui s'étaient furtivement glissés parmi nous pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, avec l'intention de nous asservir. Nous ne leur avons pas cédé un seul instant, afin que la vérité de l'Evangile soit maintenue pour vous. Quant à ceux qui sont les plus considérés – ce qu'ils étaient autrefois m’importe peu, Dieu ne fait pas de favoritisme – ils ne m'ont rien imposé de plus. Au contraire, ils ont vu que l'Evangile m'avait été confié pour les incirconcis comme à Pierre pour les circoncis – car celui qui a fait de Pierre l'apôtre des circoncis a aussi fait de moi l'apôtre des non-Juifs – et ils ont reconnu la grâce qui m'avait été accordée. Jacques, Céphas et Jean, qui sont considérés comme des piliers, nous ont alors donné la main d'association, à Barnabas et à moi, afin que nous allions, nous vers les non-Juifs, eux vers les circoncis. Ils nous ont seulement recommandé de nous souvenir des pauvres, ce que j'ai eu bien soin de faire. Mais lorsque Pierre est venu à Antioche, je me suis ouvertement opposé à lui, parce qu'il était condamnable. En effet, avant la venue de quelques personnes de l'entourage de Jacques, il mangeait avec les non-Juifs, mais après leur arrivée, il s’est esquivé et s’est tenu à l'écart par crainte des circoncis. Les autres Juifs ont pratiqué avec lui ce double jeu, de telle sorte que même Barnabas a été entraîné dans leur hypocrisie. Quand j'ai vu qu'ils ne marchaient pas droit, puisqu’ils ne respectaient pas la vérité de l'Evangile, j'ai dit à Pierre devant tous: «Si toi, qui es juif, tu vis à la manière des non-Juifs et non à la manière des Juifs, pourquoi veux-tu forcer les non-Juifs à se comporter comme des Juifs?

Galates 2:1-14 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Quatorze ans après, je montai de nouveau à Jérusalem avec Barnabas, ayant aussi pris Tite avec moi; et ce fut d’après une révélation que j’y montai. Je leur exposai l’Évangile que je prêche parmi les païens, je l’exposai en particulier à ceux qui sont les plus considérés, afin de ne pas courir ou avoir couru en vain. Mais Tite, qui était avec moi, et qui était Grec, ne fut pas même contraint de se faire circoncire. Et cela, à cause des faux frères qui s’étaient furtivement introduits et glissés parmi nous, pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, avec l’intention de nous asservir. Nous ne leur cédâmes pas un instant et nous résistâmes à leurs exigences, afin que la vérité de l’Évangile fût maintenue parmi vous. Ceux qui sont les plus considérés-quels qu’ils aient été jadis, cela ne m’importe pas: Dieu ne fait point acception de personnes, ceux qui sont les plus considérés ne m’imposèrent rien. Au contraire, voyant que l’Évangile m’avait été confié pour les incirconcis, comme à Pierre pour les circoncis, car celui qui a fait de Pierre l’apôtre des circoncis a aussi fait de moi l’apôtre des païens, et ayant reconnu la grâce qui m’avait été accordée, Jacques, Céphas et Jean, qui sont regardés comme des colonnes, me donnèrent, à moi et à Barnabas, la main d’association, afin que nous allassions, nous vers les païens, et eux vers les circoncis. Ils nous recommandèrent seulement de nous souvenir des pauvres, ce que j’ai bien eu soin de faire. Mais lorsque Céphas vint à Antioche, je lui résistai en face, parce qu’il était répréhensible. En effet, avant l’arrivée de quelques personnes envoyées par Jacques, il mangeait avec les païens; et, quand elles furent venues, il s’esquiva et se tint à l’écart, par crainte des circoncis. Avec lui les autres Juifs usèrent aussi de dissimulation, en sorte que Barnabas même fut entraîné par leur hypocrisie. Voyant qu’ils ne marchaient pas droit selon la vérité de l’Évangile, je dis à Céphas, en présence de tous: Si toi qui es Juif, tu vis à la manière des païens et non à la manière des Juifs, pourquoi forces-tu les païens à judaïser?

Galates 2:1-14 Bible en français courant (BFC)

Quatorze ans plus tard, je suis retourné à Jérusalem avec Barnabas; j'ai également emmené Tite avec moi. J'y suis allé pour obéir à une révélation divine. Dans une réunion privée que j'ai eue avec les personnes les plus influentes, je leur ai expliqué la Bonne Nouvelle que je prêche aux non-Juifs. Je ne voulais pas que mon travail passé ou présent s'avère inutile. Eh bien, Tite mon compagnon, qui est grec, n'a pas même été obligé de se faire circoncire, malgré des faux frères qui s'étaient mêlés à nous et voulaient le circoncire. Ces gens s'étaient glissés dans notre groupe pour espionner la liberté qui nous vient de Jésus-Christ et nous ramener à l'esclavage de la loi. Pas un seul instant nous ne leur avons cédé, afin de maintenir pour vous la vérité de la Bonne Nouvelle. Mais les personnes considérées comme les plus influentes – en fait, ce qu'elles étaient ne m'importe pas, car Dieu ne juge pas sur les apparences –, ces personnes, donc, ne m'imposèrent pas de nouvelles prescriptions. Au contraire, elles virent que Dieu m'avait chargé d'annoncer la Bonne Nouvelle aux non-Juifs, tout comme il avait chargé Pierre de l'annoncer aux Juifs. Car Dieu a fait de moi l'apôtre destiné aux autres nations, tout comme il a fait de Pierre l'apôtre destiné aux Juifs. Jacques, Pierre et Jean, qui étaient considérés comme les colonnes de l'Église, reconnurent que Dieu m'avait confié cette tâche particulière; ils nous serrèrent alors la main, à Barnabas et à moi, en signe d'accord. Ainsi, nous avons convenu tous ensemble que, pour notre part, nous irions travailler parmi les non-Juifs et qu'ils iraient, eux, parmi les Juifs. Ils nous demandèrent seulement de nous souvenir des pauvres de leur Église, à Jérusalem, ce que j'ai pris grand soin de faire. Mais quand Pierre vint à Antioche, je me suis opposé à lui ouvertement, parce qu'il avait tort. En effet, avant l'arrivée de quelques personnes envoyées par Jacques, il mangeait avec les frères non juifs. Mais après leur arrivée, il prit ses distances et cessa de manger avec les non-Juifs par peur des partisans de la circoncision. Les autres frères juifs se comportèrent aussi lâchement que Pierre, et Barnabas lui-même se laissa entraîner par leur hypocrisie. Quand j'ai vu qu'ils ne se conduisaient pas d'une façon droite, conforme à la vérité de la Bonne Nouvelle, j'ai dit à Pierre devant tout le monde: «Toi qui es Juif, tu as vécu ici à la manière de ceux qui ne le sont pas, et non selon la loi juive. Comment peux-tu donc vouloir forcer les non-Juifs à vivre à la manière des Juifs?»