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Ézékiel 1:1-28

Ézékiel 1:1-28 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

L’année de mes trente ans, moi, Ézékiel, fils du prêtre Bouzi, j’étais parmi les exilés juifs, au bord du fleuve Kébar. C’était le quatrième mois, le cinquième jour. J’ai vu le ciel s’ouvrir, et Dieu s’est montré à moi. C’était la cinquième année après la déportation du roi Yoakin . Là, dans le pays des Babyloniens, au bord du Kébar, le SEIGNEUR m’a parlé et sa puissance m’a saisi. Voici ce que j’ai vu : un vent violent vient du nord. Il amène un gros nuage entouré de lumière. Des éclairs en sortent de tous côtés. Son centre est en flammes, il brille comme de l’or rougi au feu. Au milieu, on dirait quatre êtres vivants. Ils ressemblent à des hommes. Chacun a quatre visages et quatre ailes. Leurs jambes sont droites, leurs pieds ressemblent aux sabots d’un veau et ils brillent comme du bronze poli. Sous chaque aile, il y a une main humaine. Leurs mains sont tournées dans les quatre directions comme leurs visages et leurs ailes. Les bouts de leurs ailes se touchent. Chacun avance droit devant soi sans se retourner. Chaque être a quatre visages : un visage humain devant, un visage de lion à droite, un visage de taureau à gauche et un visage d’aigle derrière. Deux de leurs ailes sont étendues vers le haut et elles se rejoignent, les deux autres ailes couvrent leurs corps. Chacun avance droit devant soi. Ils vont là où ils veulent, sans se retourner. Entre les êtres vivants, on aperçoit quelque chose qui ressemble à des braises dans le feu. C’est comme des torches qui bougent sans arrêt. Le feu brille, et des éclairs en jaillissent. Les êtres vivants vont et viennent aussi vite que les éclairs. Je les regarde et je vois une roue à terre à côté de chaque être vivant. Ces roues brillent comme une pierre précieuse. Elles ont toute la même forme. Elles fonctionnent comme si une roue se trouvait au milieu de l’autre. Elles peuvent avancer dans les quatre directions sans tourner sur elles-mêmes. Elles forment un cercle immense qui fait peur et elles sont couvertes de points brillants tout autour. Quand les êtres avancent, les roues avancent à côté d’eux, quand ils s’élèvent au-dessus de la terre, elles s’élèvent aussi. Ils vont là où ils veulent, et les roues avancent en même temps qu’eux. En effet, la volonté des êtres fait marcher les roues. Quand ils avancent, elles avancent, quand ils s’arrêtent, elles s’arrêtent, quand ils s’élèvent au-dessus de la terre, les roues s’élèvent aussi. En effet, la volonté des êtres fait marcher les roues. Au-dessus des têtes des êtres vivants, il y a quelque chose qui ressemble à un toit aussi brillant que le cristal. Sous ce toit, chaque être a deux ailes dressées l’une vers l’autre. Les deux autres ailes couvrent son corps. J’entends le bruit de leurs ailes quand ils avancent. Ce bruit ressemble au grondement de la mer, au tonnerre, la voix du Tout-Puissant, ou au bruit d’une armée nombreuse. Quand les êtres vivants s’arrêtent, ils replient leurs ailes. Au-dessus du toit qui domine leurs têtes, on entend aussi du bruit. Là, on voit comme une pierre de saphir qui a la forme d’un siège de roi. Sur cette sorte de siège, tout en haut, il y a une forme qui ressemble à un être humain. Je vois cette forme briller comme du métal poli, elle paraît entourée de feu. Au-dessus et au-dessous de ce qui ressemble à sa taille, je vois quelque chose comme du feu qui l’éclaire de tous côtés. La lumière qui l’entoure ressemble à celle de l’arc-en-ciel qui brille dans les nuages un jour de pluie. C’est le reflet de la gloire du SEIGNEUR. J’ai vu tout cela, je me suis mis à genoux, le front contre le sol. Alors j’ai entendu quelqu’un qui me parlait.

Ézékiel 1:1-28 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Le cinquième jour du quatrième mois de la trentième année, je me trouvais parmi les déportés, près du canal du Kebar. Le ciel s’ouvrit et Dieu m’envoya des visions. Le cinquième jour du mois de cette année-là, c’est-à-dire la cinquième année de la captivité du roi Yehoyakîn, l’Eternel adressa la parole à Ezéchiel, fils du prêtre Bouzi, au pays des Chaldéens, près du canal du Kebar. Là, la main de l’Eternel reposa sur lui. Je vis soudain un vent de tempête venant du nord qui poussait devant lui un énorme nuage sillonné d’éclairs. Ce nuage était entouré d’une clarté éblouissante. En son centre, il y avait l’éclat d’un métal au milieu du feu. En son milieu, je distinguais quelque chose qui ressemblait à quatre êtres vivants ; par leur aspect, ils ressemblaient à des hommes. Chacun d’eux avait quatre faces et quatre ailes. Leurs jambes étaient droites ; leurs pieds étaient comme ceux d’un taureau et brillaient comme du bronze poli. Sous leurs ailes, et à leurs quatre côtés, apparaissaient des mains humaines, et chacun des quatre avait ses faces et ses ailes. Leurs ailes se touchaient l’une l’autre par leurs extrémités. Quand ils se déplaçaient, ils ne se tournaient pas, mais chacun avançait droit devant soi. Leurs faces ressemblaient à celle d’un homme, et ils avaient tous les quatre une face de lion à droite, une face de taureau à gauche, et une face d’aigle. Chacun d’eux avait deux paires d’ailes : deux de ces ailes se déployaient vers le haut et chacune touchait une aile d’un autre être vivant de son côté, les deux autres couvraient leurs corps. Chacun d’eux avançait droit devant soi, ils allaient là où l’Esprit les poussait à aller sans qu’aucun d’eux ne se tourne pour se déplacer. Ces êtres vivants avaient l’aspect de braises incandescentes, et de torches brillantes : ils paraissaient embrasés comme des torches brillantes. Le feu courait entre ces êtres vivants ; ils avaient l’éclat du feu et des éclairs jaillissaient de ce feu. Ces êtres couraient, allant et venant en tous sens, comme des éclairs. En contemplant ces êtres vivants, j’aperçus à côté de chacun d’eux une roue qui touchait terre, vers leurs quatre faces. Les quatre roues étaient pareilles : elles semblaient faites en chrysolithe et paraissaient encastrées l’une au milieu de l’autre. Elles pouvaient donc se déplacer dans les quatre directions sans pivoter. Les jantes des quatre roues étaient d’une dimension énorme et terrifiante. Elles étaient couvertes d’yeux sur toute leur circonférence. Quand les êtres vivants se déplaçaient, les roues se déplaçaient à côté d’eux, et quand ils s’élevaient de terre, elles s’élevaient aussi. Ils allaient là où l’Esprit les poussait à aller. Les roues s’élevaient en même temps qu’eux, car l’Esprit qui animait les êtres vivants animait aussi les roues. Quand les êtres vivants s’avançaient, se tenaient arrêtés ou s’élevaient de terre, les roues s’avançaient, se tenaient arrêtées ou s’élevaient de terre en même temps qu’eux, car l’Esprit qui animait les êtres vivants animait aussi les roues. Au-dessus de la tête de ces êtres vivants s’étendait quelque chose qui ressemblait à une étendue céleste et qui avait l’éclat éblouissant du cristal. Sous cette étendue, ils tendaient leurs ailes jusqu’à toucher celles de leurs voisins, et chacun en avait deux qui lui couvraient le corps. Quand ils se déplaçaient, j’entendais le bruit de leurs ailes, un bruit semblable au grondement de grosses eaux ou à la voix du Tout-Puissant, c’était un bruit de grand tumulte comme celui d’un campement guerrier. Quand ils s’arrêtaient, ils abaissaient leurs ailes. Alors une voix retentit au-dessus de l’étendue céleste qui surplombait leur tête. Par-dessus cette étendue apparaissait comme une pierre de saphir qui avait la forme d’un trône, et au-dessus de ce qui ressemblait à un trône, au point le plus élevé, se tenait un être ayant l’aspect d’un homme. Je vis que la partie supérieure de son corps, au-dessus de ce qui ressemblait à sa taille, avait un éclat étincelant et l’aspect du feu tout autour, et la partie inférieure semblait comme baignée de feu et répandait autour d’elle une vive clarté. La clarté qui l’environnait avait l’aspect de l’arc-en-ciel qui resplendit dans les nuées en un jour de pluie. C’est ainsi que m’apparut ce qui ressemblait à la gloire de l’Eternel. A cette vue, je tombai la face contre terre, et j’entendis quelqu’un me parler.

Ézékiel 1:1-28 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, comme j’étais parmi les captifs du fleuve du Kebar, les cieux s’ouvrirent, et j’eus des visions divines. Le cinquième jour du mois, c’était la cinquième année de la captivité du roi Jojakin, la parole de l’Éternel fut adressée à Ézéchiel, fils de Buzi, le sacrificateur, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve du Kebar; et c’est là que la main de l’Éternel fut sur lui. Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l’airain poli, sortant du milieu du feu. Au centre encore, apparaissaient quatre animaux, dont l’aspect avait une ressemblance humaine. Chacun d’eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes. Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d’un veau, ils étincelaient comme de l’airain poli. Ils avaient des mains d’homme sous les ailes à leurs quatre côtés; et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes. Leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre; ils ne se tournaient point en marchant, mais chacun marchait droit devant soi. Quant à la figure de leurs faces, ils avaient tous une face d’homme, tous quatre une face de lion à droite, tous quatre une face de bœuf à gauche, et tous quatre une face d’aigle. Leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut; deux de leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre, et deux couvraient leurs corps. Chacun marchait droit devant soi; ils allaient où l’esprit les poussait à aller, et ils ne se tournaient point dans leur marche. L’aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c’était comme l’aspect des flambeaux, et ce feu circulait entre les animaux; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs. Et les animaux couraient et revenaient comme la foudre. Je regardais ces animaux; et voici, il y avait une roue sur la terre, près des animaux, devant leurs quatre faces. A leur aspect et à leur structure, ces roues semblaient être en chrysolithe, et toutes les quatre avaient la même forme; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d’une autre roue. En cheminant, elles allaient de leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point dans leur marche. Elles avaient une circonférence et une hauteur effrayantes, et à leur circonférence les quatre roues étaient remplies d’yeux tout autour. Quand les animaux marchaient, les roues cheminaient à côté d’eux; et quand les animaux s’élevaient de terre, les roues s’élevaient aussi. Ils allaient où l’esprit les poussait à aller; et les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux était dans les roues. Quand ils marchaient, elles marchaient; quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient; quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient avec eux, car l’esprit des animaux était dans les roues. Au-dessus des têtes des animaux, il y avait comme un ciel de cristal resplendissant, qui s’étendait sur leurs têtes dans le haut. Sous ce ciel, leurs ailes étaient droites l’une contre l’autre, et ils en avaient chacun deux qui les couvraient, chacun deux qui couvraient leurs corps. J’entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout-Puissant; c’était un bruit tumultueux, comme celui d’une armée; quand ils s’arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes. Et il se faisait un bruit qui partait du ciel étendu sur leurs têtes, lorsqu’ils s’arrêtaient et laissaient tomber leurs ailes. Au-dessus du ciel qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de semblable à une pierre de saphir, en forme de trône; et sur cette forme de trône apparaissait comme une figure d’homme placé dessus en haut. Je vis encore comme de l’airain poli, comme du feu, au-dedans duquel était cet homme, et qui rayonnait tout autour; depuis la forme de ses reins jusqu’en haut, et depuis la forme de ses reins jusqu’en bas, je vis comme du feu, et comme une lumière éclatante, dont il était environné. Tel l’aspect de l’arc qui est dans la nue en un jour de pluie, ainsi était l’aspect de cette lumière éclatante, qui l’entourait: c’était une image de la gloire de l’Éternel. A cette vue, je tombai sur ma face, et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait.

Ézékiel 1:1-28 Bible J.N. Darby (JND)

Et il arriva en la trentième année, au quatrième [mois], le cinquième [jour] du mois, comme j’étais au milieu des captifs, près du fleuve Kebar, que les cieux furent ouverts, et je vis des visions de DIEU. Le cinquième [jour] du mois (c’était la cinquième année de la transportation du roi Jehoïakin), la parole de l’ÉTERNEL vint expressément à Ézéchiel, le sacrificateur, fils de Buzi, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve Kebar ; et la main de l’ÉTERNEL fut là sur lui. Et je vis, et voici, un vent de tempête venait du nord, une grosse nuée, et un feu qui s’entortillait  ; et il y avait une splendeur tout autour, et de son milieu, du milieu du feu, [brillait] comme l’apparence de l’airain luisant  ; et, du milieu, la ressemblance de quatre animaux ; et voici leur aspect : ils avaient la ressemblance d’un homme ; et chacun d’eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes ; et leurs pieds étaient des pieds droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante du pied d’un veau ; et ils étincelaient comme l’apparence de l’airain poli ; et il y avait des mains d’homme sous leurs ailes sur leurs quatre côtés ; et ils avaient, les quatre, leurs faces et leurs ailes ; leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre ; ils ne se tournaient pas quand ils allaient : ils allaient chacun droit devant soi. Et la ressemblance de leurs faces était la face d’un homme ; et, les quatre, ils avaient la face d’un lion, à droite ; et, les quatre, ils avaient la face d’un bœuf, à gauche ; et, les quatre, ils avaient la face d’un aigle ; et leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut : chacun avait deux [ailes] jointes l’une à l’autre, et deux qui couvraient leur corps. Et ils allaient chacun droit devant soi : là où l’Esprit devait aller, ils allaient ; ils ne se tournaient point lorsqu’ils allaient. Et quant à la ressemblance des animaux, leur aspect était comme des charbons de feu brûlants, comme l’aspect de torches ; le [feu] courait entre les animaux ; et le feu avait de l’éclat, et du feu sortaient des éclairs. Et les animaux couraient et retournaient, comme l’aspect du sillon de l’éclair. Et je regardais les animaux, et voici, une roue sur la terre, à côté des animaux, vers leurs quatre faces. L’aspect et la structure des roues étaient comme l’apparence d’une chrysolithe ; et il y avait une même ressemblance pour les quatre, et leur aspect et leur structure étaient comme si une roue avait été au milieu d’une roue. En allant, elles allaient sur leurs quatre côtés ; elles ne se tournaient point quand elles allaient. Et quant à leurs jantes, elles étaient hautes et terribles, – et leurs jantes, à toutes les quatre, étaient pleines d’yeux tout autour. Et quand les animaux allaient, les roues allaient à côté d’eux ; et quand les animaux s’élevaient de dessus la terre, les roues s’élevaient. Là où l’Esprit devait aller, là ils allaient, là [leur] esprit tendait à aller ; et les roues s’élevaient auprès d’eux, car l’esprit de l’animal était dans les roues. Quand ils allaient, elles allaient ; et quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient ; et quand ils s’élevaient de dessus la terre, les roues s’élevaient auprès d’eux, car l’esprit de l’animal était dans les roues. Et au-dessus des têtes de l’animal, il y avait la ressemblance d’une étendue, comme l’apparence d’un cristal terrible étendu sur leurs têtes, en haut. Et au-dessous de l’étendue, leurs ailes se tenaient droites, l’une vers l’autre : chacun en avait deux, qui couvraient [leur corps], d’un côté, et chacun en avait deux, qui couvraient leur corps, de l’autre côté. Et j’entendis le bruit de leurs ailes quand ils volaient, comme le bruit de grandes eaux, comme la voix du Tout-puissant, un bruit tumultueux comme le bruit d’une armée. Quand ils s’arrêtaient, ils abaissaient leurs ailes ; et il y avait une voix au-dessus de l’étendue qui était sur leurs têtes : quand ils s’arrêtaient, ils abaissaient leurs ailes. Et au-dessus de l’étendue qui était sur leurs têtes, il y avait comme l’aspect d’une pierre de saphir, la ressemblance d’un trône ; et, sur la ressemblance du trône, une ressemblance comme l’aspect d’un homme, dessus, en haut. Et je vis comme l’apparence de l’airain luisant, comme l’aspect du feu, au-dedans, tout autour : depuis l’aspect de ses reins vers le haut et depuis l’aspect de ses reins vers le bas, je vis comme l’aspect du feu ; et il y avait une splendeur tout autour. Comme l’aspect de l’arc qui est dans la nuée en un jour de pluie, tel était l’aspect de la splendeur tout autour. C’était là l’aspect de la ressemblance de la gloire de l’ÉTERNEL. Et je vis, et je tombai sur ma face, et j’entendis une voix qui parlait.

Ézékiel 1:1-28 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, comme j'étais parmi les captifs du fleuve du Kebar, les cieux s'ouvrirent, et j'eus des visions divines. Le cinquième jour du mois – c'était la cinquième année de la captivité du roi Jojakin – la parole de l'Eternel fut adressée à Ezéchiel, fils de Buzi, le sacrificateur, dans le pays des Chaldéens, près du fleuve du Kebar; et c'est là que la main de l'Eternel fut sur lui. Je regardai, et voici, il vint du septentrion un vent impétueux, une grosse nuée, et une gerbe de feu, qui répandait de tous côtés une lumière éclatante, au centre de laquelle brillait comme de l'airain poli, sortant du milieu du feu. Au centre encore, apparaissaient quatre animaux, dont l'aspect avait une ressemblance humaine. Chacun d'eux avait quatre faces, et chacun avait quatre ailes. Leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme celle du pied d'un veau; ils étincelaient comme de l'airain poli. Ils avaient des mains d'homme sous les ailes à leurs quatre côtés; et tous les quatre avaient leurs faces et leurs ailes. Leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre; ils ne se tournaient point en marchant, mais chacun marchait droit devant soi. Quant à la figure de leurs faces, ils avaient tous une face d'homme, tous les quatre une face de lion à droite, tous les quatre une face de bœuf à gauche, et tous les quatre une face d'aigle. Leurs faces et leurs ailes étaient séparées par le haut; deux de leurs ailes étaient jointes l'une à l'autre, et deux couvraient leurs corps. Chacun marchait droit devant soi; ils allaient où l'Esprit les poussait à aller, et ils ne se tournaient point dans leur marche. L'aspect de ces animaux ressemblait à des charbons de feu ardents, c'était comme l'aspect des flambeaux, et ce feu circulait entre les animaux; il jetait une lumière éclatante, et il en sortait des éclairs. Et les animaux couraient et revenaient comme la foudre. Je regardais ces animaux; et voici, il y avait une roue sur la terre, près des animaux, devant leurs quatre faces. A leur aspect et à leur structure, ces roues semblaient être en chrysolithe, et toutes les quatre avaient la même forme; leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d'une autre roue. En cheminant, elles allaient de leurs quatre côtés, et elles ne se tournaient point dans leur marche. Elles avaient une circonférence et une hauteur effrayantes, et à leur circonférence les quatre roues étaient remplies d'yeux tout autour. Quand les animaux marchaient, les roues cheminaient à côté d'eux; et quand les animaux s'élevaient de terre, les roues s'élevaient aussi. Ils allaient où l'Esprit les poussait à aller; et les roues s'élevaient avec eux, car l'esprit des animaux était dans les roues. Quand ils marchaient, elles marchaient; quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; quand ils s'élevaient de terre, les roues s'élevaient avec eux, car l'esprit des animaux était dans les roues. Au-dessus des têtes des animaux, il y avait comme un ciel de cristal resplendissant, qui s'étendait sur leurs têtes dans le haut. Sous ce ciel, leurs ailes étaient droites l'une contre l'autre, et ils en avaient chacun deux qui les couvraient, chacun deux qui couvraient leurs corps. J'entendis le bruit de leurs ailes, quand ils marchaient, pareil au bruit de grosses eaux, ou à la voix du Tout-Puissant; c'était un bruit tumultueux, comme celui d'une armée; quand ils s'arrêtaient, ils laissaient tomber leurs ailes. Et il se faisait un bruit qui partait du ciel étendu sur leurs têtes, lorsqu'ils s'arrêtaient et laissaient tomber leurs ailes. Au-dessus du ciel qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de semblable à une pierre de saphir, en forme de trône; et sur cette forme de trône apparaissait comme une figure d'homme placé dessus en haut. Je vis encore comme de l'airain poli, comme du feu, au-dedans duquel était cet homme, et qui rayonnait tout autour; depuis la forme de ses reins jusqu'en haut, et depuis la forme de ses reins jusqu'en bas, je vis comme du feu, et comme une lumière éclatante, dont il était environné. Tel l'aspect de l'arc qui est dans la nue en un jour de pluie, ainsi était l'aspect de cette lumière éclatante, qui l'entourait: c'était une image de la gloire de l'Eternel. A cette vue, je tombai sur ma face, et j'entendis la voix de quelqu'un qui parlait.

Ézékiel 1:1-28 Bible Segond 21 (S21)

La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, je faisais partie des exilés, près du fleuve Kebar. Le ciel s’est ouvert et j’ai eu des visions divines. Le cinquième jour du mois – c'était la cinquième année de l’exil du roi Jojakin – la parole de l'Eternel a été adressée à Ezéchiel, le fils du prêtre Buzi, dans le pays des Babyloniens, près du fleuve Kebar. C’est là que la main de l'Eternel a reposé sur lui. Alors que je regardais, un vent impétueux est arrivé du nord, ainsi qu’une grande nuée et une gerbe de feu. Tout autour, une lumière rayonnait. Au centre, il y avait comme un éclat étincelant qui sortait du milieu du feu. Au centre encore, quelque chose ressemblait à quatre êtres vivants. Leur aspect était proche de celui des hommes. Chacun d'eux avait quatre visages et quatre ailes. Leurs jambes étaient droites, et leurs pieds pareils aux sabots d'un taureau. Ils étincelaient comme du bronze poli. Ils avaient des mains d'homme sous leurs ailes, sur les quatre côtés. Sur les quatre côtés, il y avait aussi leurs visages et leurs ailes, ceci pour chacun des quatre êtres vivants. Leurs ailes se touchaient l'une l'autre. Ils se déplaçaient sans dévier, chacun allait droit devant lui. Un de leurs visages ressemblait à celui des hommes, mais tous les quatre avaient aussi une face de lion à droite, une face de taureau à gauche et une face d'aigle. Voilà pour leurs visages. Leurs ailes étaient déployées vers le haut. Deux de leurs ailes touchaient celle d’un autre et deux couvraient leur corps. Chacun allait droit devant lui. Ils allaient là où l'Esprit allait. Ils se déplaçaient, et ils se déplaçaient sans dévier. Ces êtres vivants ressemblaient, par leur aspect, à des braises incandescentes. C'était pareil à l'aspect de torches enflammées. Un feu circulait entre les êtres vivants. Il jetait de la lumière et il en sortait des éclairs. Les êtres vivants couraient et revenaient comme la foudre. Je regardais ces êtres vivants et j’ai vu que sur la terre se trouvait une roue, à côté de chacun des êtres vivants aux quatre visages. Dans leur aspect et leur structure, les roues avaient un éclat pareil à celui de la chrysolithe, et toutes les quatre étaient pareilles. Leur aspect et leur structure étaient tels que chaque roue paraissait être au milieu d'une autre roue. Dans leurs déplacements, elles pouvaient suivre les quatre directions prises par les êtres vivants, et elles se déplaçaient sans dévier. La hauteur de leurs jantes était effrayante, et les jantes des quatre roues étaient couvertes d'yeux tout autour. Les roues suivaient les êtres vivants dans leurs déplacements: quand les êtres vivants s'élevaient au-dessus de la terre, les roues s'élevaient aussi. Ils allaient là où l'Esprit allait, et les roues s'élevaient simultanément avec eux, car l'esprit des êtres vivants était dans les roues. Quand ils se déplaçaient, elles se déplaçaient, et quand ils s'arrêtaient, elles s'arrêtaient; quand ils s'élevaient au-dessus de la terre, les roues s'élevaient simultanément avec eux, car l'esprit des êtres vivants était dans les roues. Au-dessus de la tête des êtres vivants, la voûte céleste ressemblait à l’éclat d’un cristal. C’était impressionnant. Voilà l’étendue qu’il y avait au-dessus de leurs têtes. Sous la voûte céleste, leurs ailes étaient tendues l'une contre l'autre, et ils en avaient chacun deux qui les couvraient, ils en avaient chacun deux qui couvraient leur corps. J’ai entendu le bruit de leurs ailes, quand ils se déplaçaient: pareil au bruit des grandes eaux ou à la voix du Tout-Puissant, c'était un bruit aussi tumultueux que celui d'une armée. Quand ils s'arrêtaient, ils laissaient retomber leurs ailes. Une voix retentissait au-dessus de la voûte céleste qui était sur leurs têtes, lorsqu'ils s'arrêtaient et laissaient retomber leurs ailes. Au-dessus de la voûte céleste qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose de similaire à une pierre de saphir, qui ressemblait à un trône, et sur cette forme de trône apparaissait quelqu’un dont l’aspect ressemblait à celui d’un homme, tout en haut. J’ai vu comme un éclat étincelant, comme du feu, qui l’enveloppait tout autour. Depuis ce qui semblait être ses hanches jusqu'en haut et depuis ce qui semblait être ses hanches jusqu'en bas, j’ai vu quelque chose de similaire à du feu, une lumière qui rayonnait tout autour. Cette lumière qui rayonnait tout autour de lui avait le même aspect que l’arc-en-ciel dans les nuages un jour de pluie: c'était un reflet de la gloire de l'Eternel. A cette vue, je suis tombé le visage contre terre, puis j’ai entendu quelqu'un me parler.

Ézékiel 1:1-28 Bible en français courant (BFC)

Le cinquième jour du quatrième mois de ma trentième année, je me trouvai parmi les déportés sur les rives du Kébar; je vis le ciel s'ouvrir et Dieu m'envoya des visions. C'était la cinquième année depuis que le roi Joakin avait été déporté. C'est ainsi que, dans le pays des Babyloniens, sur les rives du Kébar, le Seigneur m'adressa sa parole, à moi, Ézékiel, fils du prêtre Bouzi; là, la puissance du Seigneur me saisit. Voici ce que je vis: une rafale de vent arrivait du nord, amenant un gros nuage d'où jaillissaient des flammes. Le nuage était entouré de clarté. Son centre embrasé scintillait comme un métal brillant. On y distinguait les formes de quatre êtres vivants qui présentaient une apparence humaine. Chacun d'eux avait quatre visages et quatre ailes. Leurs jambes étaient droites; leurs pieds ressemblaient aux sabots d'un veau et brillaient comme du bronze poli. Sous chacune de leurs quatre ailes, il y avait une main d'homme. Ces mains étaient tournées dans les quatre directions comme leurs visages et leurs ailes. Les extrémités de leurs ailes se touchaient l'une l'autre. Ils avançaient droit devant eux sans tourner leur corps. Leurs visages étaient comme des faces humaines, et chacun d'eux avait une face de lion à droite, une face de taureau à gauche et une face d'aigle. Deux de leurs ailes, déployées vers le haut, se rejoignaient entre elles, et deux leur couvraient le corps. Ils avançaient chacun droit devant soi. Ils allaient là où ils voulaient sans avoir à tourner leur corps. Entre les êtres vivants on apercevait comme des braises enflammées, on voyait bouger des sortes de torches. Le feu était éblouissant et des éclairs en jaillissaient. Les êtres vivants allaient et venaient à toute allure; ils semblaient aussi rapides que la foudre. En les observant, je vis à côté de chacun d'eux une roue qui touchait terre. Les roues offraient l'aspect scintillant d'une pierre précieuse. Elles étaient toutes semblables et paraissaient construites de telle manière qu'elles s'imbriquaient les unes dans les autres. Elles pouvaient se déplacer dans les quatre directions sans avoir à pivoter. Elles étaient d'une hauteur effrayante et couvertes de reflets brillants sur tout leur pourtour. Lorsque les êtres vivants avançaient, les roues avançaient à côté d'eux, et lorsqu'ils s'élevaient de terre, elles s'élevaient également. Ils allaient là où ils voulaient et les roues se déplaçaient en même temps qu'eux, car la volonté des êtres vivants animait les roues. Ainsi, chaque fois qu'ils avançaient, qu'ils s'arrêtaient ou qu'ils s'élevaient de terre, les roues faisaient le même mouvement en même temps, puisqu'elles étaient animées par la volonté des êtres. Une sorte de voûte s'étendait au-dessus des têtes des êtres vivants, aussi resplendissante de clarté que le cristal. Sous cette voûte, chacun des êtres avait deux ailes tendues bien droit l'une vers l'autre, tandis que les deux autres lui couvraient le corps. J'entendis le bruit que faisaient leurs ailes quand ils se déplaçaient. C'était un bruit pareil au grondement de la mer, au roulement du tonnerre ou au tumulte d'une immense armée. Quand ils s'arrêtaient, ils repliaient leurs ailes. Au-dessus de la voûte qui dominait leurs têtes, il y avait aussi du bruit et l'on y distinguait comme une pierre de saphir qui avait les contours d'un trône. Sur cette sorte de trône, tout en haut, se tenait une forme qui avait une apparence humaine. Je vis que cette forme scintillait comme du métal brillant et qu'elle paraissait entourée de feu. Au-dessus et au-dessous de ce qui semblait être sa taille, je voyais comme du feu l'inondant de clarté. La lumière environnante ressemblait à celle de l'arc-en-ciel qui resplendit en un jour de pluie. C'était le reflet de la glorieuse présence du Seigneur. A cette vue, je tombai la face contre terre. Alors j'entendis quelqu'un me parler.