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Ecclésiaste 4:5-16

Ecclésiaste 4:5-16 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

L’insensé se croise les mains, et mange sa propre chair. Mieux vaut une main pleine avec repos, que les deux mains pleines avec travail et poursuite du vent. J’ai considéré une autre vanité sous le soleil. Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. Deux valent mieux qu’un, parce qu’ils retirent un bon salaire de leur travail. Car, s’ils tombent, l’un relève son compagnon; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever! De même, si deux couchent ensemble, ils auront chaud; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud? Et si quelqu’un est plus fort qu’un seul, les deux peuvent lui résister; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement. Mieux vaut un enfant pauvre et sage qu’un roi vieux et insensé qui ne sait plus écouter les avis; car il peut sortir de prison pour régner, et même être né pauvre dans son royaume. J’ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil entourer l’enfant qui devait succéder au roi et régner à sa place. Il n’y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c’est encore là une vanité et la poursuite du vent.

Ecclésiaste 4:5-16 Bible J.N. Darby (JND)

Le sot se croise les mains, et mange sa propre chair. Mieux vaut le creux de la main rempli, et le repos, que les deux mains pleines, avec le travail et la poursuite du vent. Et je me tournai, et je vis la vanité sous le soleil : tel est seul sans qu’il y ait de second : il n’a pas non plus de fils ni de frère, et il n’y a pas de fin à tout son labeur ; son œil n’est pas non plus rassasié par la richesse, et [il ne se dit pas] : Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité et une ingrate occupation. Deux valent mieux qu’un ; car ils ont un bon salaire de leur travail. Car, s’ils tombent, l’un relèvera son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul, et qui tombe, et qui n’a pas de second pour le relever ! De même, si l’on couche à deux, on a de la chaleur ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? Et si quelqu’un a le dessus sur un seul, les deux lui tiendront tête ; et la corde triple ne se rompt pas vite. Mieux vaut un jeune garçon pauvre et sage, qu’un roi vieux et sot qui ne sait plus être averti. Car il est sorti de la maison des prisonniers pour régner, lors même qu’il est né pauvre dans son royaume. J’ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil, avec le jeune garçon, le second, qui occupera sa place. Il n’y a pas de fin à tout le peuple, à tous ceux qui ont été devant eux ; cependant ceux qui viendront après ne se réjouiront point en lui. Car cela aussi est vanité et poursuite du vent.

Ecclésiaste 4:5-16 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

C’est vrai, le sot qui ne fait rien se laisse mourir de faim. Mais un peu de repos au creux d’une main vaut mieux que deux mains pleines de travail, d’un travail qui est course après le vent. J’ai vu encore une situation stupide sous le soleil : Il s’agit d’un homme complètement seul. Il n’a pas de fils et pas de frère. Il n’arrête pas de travailler, il a toujours envie d’avoir plus de richesses. Pourtant il se demande : « Je travaille pour qui ? Je me prive de bonheur pour qui ? » Cela non plus n’a pas de sens, c’est une mauvaise façon de passer le temps. Deux hommes associés valent mieux qu’un seul. À deux, ils obtiennent un meilleur résultat pour leur travail. Si l’un des deux tombe, l’autre le relève. Au contraire, celui qui est seul, est bien malheureux. S’il tombe, il n’y a personne pour le relever. De même, quand on peut dormir à deux, on a chaud. Mais celui qui est seul, n’arrive pas à se réchauffer. On peut attaquer facilement celui qui est seul, mais deux personnes peuvent résister. Une corde tressée de plusieurs fils ne casse pas facilement. Un jeune homme, pauvre mais intelligent, vaut mieux qu’un vieux roi stupide qui ne sait pas demander conseil. C’est vrai, même si le jeune homme est sorti de prison pour devenir roi, même s’il a commencé par mendier dans son royaume. J’ai constaté ceci : sous le soleil, tout le monde se met du côté du jeune homme qui va prendre le pouvoir à la place de l’ancien roi. Il devient le chef d’un peuple très nombreux. Pourtant ceux qui viendront ensuite ne se réjouiront plus à cause de lui. Cela non plus n’a pas de sens, autant courir après le vent !

Ecclésiaste 4:5-16 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

L'insensé se croise les mains, et mange sa propre chair. Mieux vaut une main pleine avec repos, que les deux mains pleines avec travail et poursuite du vent. J'ai considéré une autre vanité sous le soleil. Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise. Deux valent mieux qu'un, parce qu'ils retirent un bon salaire de leur travail. Car, s'ils tombent, l'un relève son compagnon; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever! De même, si deux couchent ensemble, ils auront chaud; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud? Et si quelqu'un est plus fort qu'un seul, les deux peuvent lui résister; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement. Mieux vaut un enfant pauvre et sage qu'un roi vieux et insensé qui ne sait plus écouter les avis; car il peut sortir de prison pour régner, et même être né pauvre dans son royaume. J'ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil entourer l'enfant qui devait succéder au roi et régner à sa place. Il n'y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.

Ecclésiaste 4:5-16 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Celui qui se croise les bras est un insensé et il se détruit lui-même. Il vaut mieux une main pleine de repos que deux mains pleines de labeur, que de courir ainsi après le vent. J’ai encore constaté une autre chose dérisoire sous le soleil. Voilà un homme seul qui n’a personne avec lui : ni fils, ni frère, et pourtant, il travaille dur sans jamais s’arrêter. Jamais ses yeux ne se rassasient de richesses. « Pour qui donc est-ce que je travaille si dur ? Pour qui est-ce que je me prive de bonnes choses ? » se dit-il. Cela aussi est dérisoire ; c’est une bien mauvaise affaire. Mieux vaut être à deux que tout seul. On tire alors un bon profit de son labeur. Et si l’un tombe, l’autre le relève, mais malheur à celui qui est seul et qui vient à tomber sans avoir personne pour l’aider à se relever. De même, si deux personnes dorment ensemble, elles se tiennent chaud, mais comment celui qui est seul se réchauffera-t-il ? Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue. Mieux vaut un jeune homme pauvre mais sage qu’un roi âgé et insensé qui ne sait plus écouter les conseils. Mais que le jeune successeur soit sorti de prison pour accéder au trône, ou encore qu’il soit né pauvre dans le royaume, j’ai constaté que tous les humains qui vivent sous le soleil se rallient à lui lorsqu’il prend la place du roi. Il n’y a pas de fin au cortège de tout ce peuple, de tous ces gens dont il a pris la tête. Et pourtant, la génération suivante ne se félicitera pas davantage d’avoir un tel roi ! Cela encore est dérisoire : autant courir après le vent.

Ecclésiaste 4:5-16 Bible Segond 21 (S21)

L’homme stupide croise les bras et se détruit lui-même. Mieux vaut une poignée pleine de repos que deux poignées pleines de travail et d’une activité qui revient à poursuivre le vent. J'ai examiné une autre réalité qui n’est que fumée sous le soleil: un homme peut être seul, sans aucun proche, sans fils ni frère, et pourtant son travail n'a pas de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. «Pour qui donc est-ce que je travaille et me prive de bonheur?» se demande-t-il. Cela aussi, c’est de la fumée et une mauvaise occupation. Il vaut mieux être deux que tout seul, parce qu’à deux on retire un bon profit du travail. En effet, en cas de chute, l'un relève son compagnon, mais malheur à celui qui est seul et qui tombe sans avoir de proche pour le relever! De même, si deux personnes dorment ensemble, elles auront chaud, mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud? Si quelqu'un peut l’emporter contre un seul homme, à deux on peut lui résister; la corde à trois fils ne se coupe pas facilement. Mieux vaut être un enfant pauvre et sage qu'un roi vieux et stupide qui ne sait plus se laisser avertir. Oui, il peut même sortir de prison pour régner ou être né pauvre dans son royaume: j'ai vu tous les êtres vivants qui marchent sous le soleil se rallier à l'enfant destiné à succéder au roi et à régner à sa place; il n'y avait pas de fin à tout ce peuple, à tous ceux dont il avait pris la tête. Pourtant, les générations suivantes ne se réjouiront plus à son sujet. Oui, cela aussi, c’est de la fumée et cela revient à poursuivre le vent.

Ecclésiaste 4:5-16 Bible en français courant (BFC)

Bien sûr, le sot qui se croise les bras se laisse mourir de faim. Mais il vaut mieux s'accorder un peu de repos que s'éreinter à un travail qui est une course après le vent. J'ai observé ici-bas une autre situation décevante comme la fumée: voici un homme absolument seul, sans compagnon, qui n'a ni frère ni fils, et qui travaille à n'en plus finir. Il désire toujours plus de richesses, bien qu'il se demande pour qui il travaille et se prive de bonheur. Voilà encore de la fumée sans lendemain, une mauvaise façon d'occuper sa vie. Deux hommes associés sont plus heureux qu'un homme solitaire. A deux ils tirent un bon profit de leur travail. Si l'un d'eux tombe, l'autre le relève. Par contre celui qui est seul est bien à plaindre, car s'il tombe il n'a personne pour le relever. Lorsqu'on peut dormir à deux on se tient chaud, alors que celui qui est seul n'arrive pas à se réchauffer. Deux personnes peuvent résister à une attaque qui viendrait à bout d'un homme seul. Plus une corde a de brins, plus elle est solide! Mieux vaut un jeune homme pauvre et sage qu'un vieux roi stupide qui refuse les conseils. Et cela, même si le jeune homme est sorti de prison pour régner ou s'il a commencé par être un mendiant dans son futur royaume. J'ai constaté que tout le monde ici-bas se pressait autour du jeune homme en train d'accéder à la place du roi précédent. Il se trouvait à la tête d'une foule innombrable. Pourtant les générations suivantes n'auront plus aucun enthousiasme à son égard. Cela encore n'est que fumée, course après le vent.