Ecclésiaste 1:2-11
Ecclésiaste 1:2-11 Bible J.N. Darby (JND)
Vanité des vanités, dit le prédicateur ; vanité des vanités ! Tout est vanité. Quel profit a l’homme de tout son labeur dont il se tourmente sous le soleil ? Une génération s’en va, et une génération vient ; et la terre subsiste toujours. Et le soleil se lève, et le soleil se couche, et il se hâte vers son lieu où il se lève. Le vent va vers le midi, et il tourne vers le nord ; il tourne et retourne ; et le vent revient sur ses circuits. Toutes les rivières vont vers la mer, et la mer n’est pas remplie ; au lieu où les rivières allaient, là elles vont de nouveau. Toutes choses travaillent, l’homme ne peut le dire ; l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se satisfait pas d’entendre. Ce qui a été, c’est ce qui sera ; et ce qui a été fait, c’est ce qui se fera ; et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Y a-t-il une chose dont on puisse dire : Regarde ceci, c’est nouveau ? – Elle a été déjà, dans les siècles qui furent avant nous. Il n’y a pas de souvenir des choses qui ont précédé ; et de même, de celles qui seront après, il n’y en aura pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
Ecclésiaste 1:2-11 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Le Sage dit : Tout part en fumée, rien ne sert à rien, rien ne mène à rien. Les êtres humains travaillent durement sur terre. Mais qu’est-ce que cela leur rapporte ? Une génération passe, une génération naît, et le monde est toujours là. Le soleil se lève, le soleil se couche, puis il court vers l’endroit où il se lève. Le vent souffle vers le sud, puis il tourne vers le nord. Il tourne, tourne et s’en retourne, puis il recommence à tourner. Tous les fleuves se jettent dans la mer, pourtant, la mer n’est jamais remplie. Les fleuves coulent vers un endroit et, là, ils reviennent aussitôt. Tout cela est ennuyeux, on ne pourra jamais le dire assez. Les yeux voient et ils veulent voir toujours plus, les oreilles entendent et elles veulent entendre toujours plus. Ce qui a existé existera encore. Ce qui a été fait se fera encore. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. On peut dire de quelque chose : « Voyez, c’est nouveau ! » Pourtant, cela existait longtemps, longtemps avant nous. Nous, nous oublions ce qui s’est passé autrefois. Et ceux qui viendront ensuite oublieront à leur tour ce qui va se passer après nous.
Ecclésiaste 1:2-11 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil? Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent. Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu'on peut dire; l'œil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre. Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
Ecclésiaste 1:2-11 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Dérisoire, absolument dérisoire, dit le Maître, oui dérisoire, absolument dérisoire, tout est dérisoire ! Quel avantage l’homme retire-t-il de tout le labeur pour lequel il trime sous le soleil ? Une génération s’en va, une autre vient, et la terre est toujours là. Le soleil se lève, le soleil se couche, et il aspire à se retrouver à l’endroit d’où il devra de nouveau se lever. Il va vers le sud, puis il tourne vers le nord, il tourne et tourne encore : ainsi va le vent. Et il reprend les mêmes tours, le vent. Tous les fleuves vont se jeter dans la mer, mais la mer n’est pas remplie. Les fleuves ne cessent de couler toujours vers le même endroit en suivant leur cours. Tout est en travail, plus qu’on ne peut le dire. L’œil n’est jamais rassasié de voir. L’oreille n’est jamais remplie de ce qu’elle entend. Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera : il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Si l’on dit : « Tenez ! Voilà quelque chose de nouveau », en fait, cela a déjà existé dans les temps qui nous ont précédés depuis longtemps. Seulement, on ne se souvient plus de ce qui s’est passé autrefois, et il en sera de même pour ce qui se produira dans l’avenir : ceux qui viendront après n’en auront aucun souvenir.
Ecclésiaste 1:2-11 La Bible Segond 21 (S21)
Comble de l'inconsistance, dit l'Ecclésiaste, comble de l'inconsistance, tout n'est que fumée! Quel avantage l'homme retire-t-il de toute la peine qu'il se donne sous le soleil? Une génération s'en va, une autre arrive et la terre est toujours là. Le soleil se lève, le soleil se couche, il soupire après l'endroit d'où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le sud, tourne vers le nord, puis il tourne encore et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, mais la mer n'est pas remplie et ils continuent d'aller vers leur destination. Tout est en mouvement, plus qu'on ne peut le dire. L'œil ne sera jamais rassasié de voir et l'oreille ne sera jamais remplie au point de ne plus pouvoir écouter. Ce qui a existé, c'est ce qui existera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Si l'on dit à propos de quelque chose: «Regarde ceci, c'est nouveau», en réalité cela existait déjà dans les siècles précédents. On ne se souvient pas de ce qui est ancien, et ce qui arrivera par la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
Ecclésiaste 1:2-11 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil? Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d’où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n’est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent. Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu’on peut dire; l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre. Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. S’il est une chose dont on dise: Vois ceci, c’est nouveau! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.
Ecclésiaste 1:2-11 Bible en français courant (BFC)
De la fumée, dit le Sage, tout n'est que fumée, tout part en fumée. Les humains travaillent durement ici-bas mais quel profit en tirent-ils? Une génération passe, une nouvelle génération lui succède, mais le monde demeure indéfiniment. Le soleil se lève, le soleil se couche, puis il se hâte de retourner à son point de départ. Le vent souffle tantôt vers le sud, tantôt vers le nord. Le vent souffle, le vent tourne, puis il reprend sa première direction. Tous les fleuves se jettent dans la mer, mais la mer n'est jamais remplie. Sans arrêt pourtant, les fleuves se déversent à ce même endroit. On ne pourra jamais assez dire combien tout cela est lassant: l'œil n'a jamais fini de voir ni l'oreille d'entendre. Ce qui est arrivé arrivera encore. Ce qui a été fait se fera encore. Rien de nouveau ne se produit ici-bas. S'il y a quelque chose dont nous disons: «Voilà du neuf!», en réalité cela avait déjà existé bien longtemps avant nous. Mais nous oublions ce qui est arrivé à nos ancêtres. Les hommes qui viendront après nous ne laisseront pas non plus de souvenir à ceux qui leur succéderont.